Ils ne l'ont pas raté ! Ils, ce sont les "Jeunesses Wadistes", qui se sont réunis en Assemblée Générale ce samedi. Sous la houlette de leur chef de file, Mohamed Lamine Massaly, ces jeunes acquis à la cause de Me Abdoulaye Wade ont , comme s'ils s'étaient passés le mot, tiré à bout portant sur le patron du parti "Rewmi".
Par la voix de leur porte parole, Ibrahima Dione, ces "Wadistes" comme ils se définissent ont d'emblée répliqué au commentaire d'Idrissa Seck sur l'appel au dialogue lancé par le chef de l'Etat. "Il ne faut pas chercher midi à quatorze heures, Idrissa Seck donne la preuve qu’il ne sait plus où il va. Sa perte de popularité, la dégringolade de sa légitimité et sa rupture avec les citoyens qui voient désormais en lui l’expression du mal font de lui un homme disqualifié.
Idrissa Seck a été un looser et il restera le plus grand perdant car il est discrédité à jamais. Fort heureusement, les Sénégalais ne sont pas aussi amnésiques. La mémoire collective Sénégalaise garde encore vivace ses propos indigne, ses actes tortueux. Comment prendre prendre pour parole d'évangile les propos d'un Idrisssa Seck, qui s'est jusqu'ici caractérisé par son jeu à la fois faux et tortueux? Tout en lui s’est effrité. Sa réaction porte à croire qu'il n'est pas dans les dispositions de participer au dialogue. Fort heureusement , les Sénégalais ne sont pas dupes, ils savent distinguer la bonne graine de l'ivraie. L'on se rappelle encore qu'il avait traité Me Wade,son "père", notre "pater politique", d' "ancien ancien spermatozoïde, future cadavre. entre autres vilénies".
Cependant, dans leur communiqué, ces jeunes Wadistes ont salué l'appel au dialogue, "compte tenu du fait que le Sénégal et les Sénégalais se caractérisent par le sens du dialogue".
Etayant leur argumentaire, ces libéraux de renchérir: "nous Sénégalais avons de tous temps recouru au dialogue chaque fois que nous sommes appelés à résoudre une crise qui menace la survie de la patrie. Il faut reconnaitre que le pays est bloqué, une crise la secoue, les affaires marchent au ralenti... Conscient du danger qui pèse sur le pays, le Président Sall, en sa qualité de garant de la constitution, de la paix et la sécurité, a finalement décidé de convoquer les acteurs de la vie politique Sénégalaise à un dialogue politique national et inclusif. Nous nous en félicitions à l'image de notre mentor, Abdoulaye Wade. Qui a déclaré à haute et intelligible voix qu'il est partant pour le dialogue (...)"
Mais, les jeunes Wadistes insistent sur le fait que ce dialogue porte sur un processus consensuel, crédible et apaisé afin de mettre fin aux contestations téméraires et aux violences surtout post électorales.
Poursuivant, ils ont plaidé la cause de Karim Wade, sa libération. " Pour avoir connu les rigueurs d'un séjour carcéral, même votre pire ennemi, vous ne devez pas lui souhaiter la prison" a glissé Massaly.
A leurs yeux, ils sont malheureusement légion ces leaders "encore tapis dans leur parti" à ne pas souhaiter l'élargissement de Wade fils, "pour la bonne et simple raison que Karim reste un obstacle pour eux, leur épanouissement ou par simple jalousie"
Par la voix de leur porte parole, Ibrahima Dione, ces "Wadistes" comme ils se définissent ont d'emblée répliqué au commentaire d'Idrissa Seck sur l'appel au dialogue lancé par le chef de l'Etat. "Il ne faut pas chercher midi à quatorze heures, Idrissa Seck donne la preuve qu’il ne sait plus où il va. Sa perte de popularité, la dégringolade de sa légitimité et sa rupture avec les citoyens qui voient désormais en lui l’expression du mal font de lui un homme disqualifié.
Idrissa Seck a été un looser et il restera le plus grand perdant car il est discrédité à jamais. Fort heureusement, les Sénégalais ne sont pas aussi amnésiques. La mémoire collective Sénégalaise garde encore vivace ses propos indigne, ses actes tortueux. Comment prendre prendre pour parole d'évangile les propos d'un Idrisssa Seck, qui s'est jusqu'ici caractérisé par son jeu à la fois faux et tortueux? Tout en lui s’est effrité. Sa réaction porte à croire qu'il n'est pas dans les dispositions de participer au dialogue. Fort heureusement , les Sénégalais ne sont pas dupes, ils savent distinguer la bonne graine de l'ivraie. L'on se rappelle encore qu'il avait traité Me Wade,son "père", notre "pater politique", d' "ancien ancien spermatozoïde, future cadavre. entre autres vilénies".
Cependant, dans leur communiqué, ces jeunes Wadistes ont salué l'appel au dialogue, "compte tenu du fait que le Sénégal et les Sénégalais se caractérisent par le sens du dialogue".
Etayant leur argumentaire, ces libéraux de renchérir: "nous Sénégalais avons de tous temps recouru au dialogue chaque fois que nous sommes appelés à résoudre une crise qui menace la survie de la patrie. Il faut reconnaitre que le pays est bloqué, une crise la secoue, les affaires marchent au ralenti... Conscient du danger qui pèse sur le pays, le Président Sall, en sa qualité de garant de la constitution, de la paix et la sécurité, a finalement décidé de convoquer les acteurs de la vie politique Sénégalaise à un dialogue politique national et inclusif. Nous nous en félicitions à l'image de notre mentor, Abdoulaye Wade. Qui a déclaré à haute et intelligible voix qu'il est partant pour le dialogue (...)"
Mais, les jeunes Wadistes insistent sur le fait que ce dialogue porte sur un processus consensuel, crédible et apaisé afin de mettre fin aux contestations téméraires et aux violences surtout post électorales.
Poursuivant, ils ont plaidé la cause de Karim Wade, sa libération. " Pour avoir connu les rigueurs d'un séjour carcéral, même votre pire ennemi, vous ne devez pas lui souhaiter la prison" a glissé Massaly.
A leurs yeux, ils sont malheureusement légion ces leaders "encore tapis dans leur parti" à ne pas souhaiter l'élargissement de Wade fils, "pour la bonne et simple raison que Karim reste un obstacle pour eux, leur épanouissement ou par simple jalousie"