Un nouveau gouvernement est en vue, apprend t-on. Ce nouvel attelage devrait être un gouvernement de rassemblement et pourrait ne peut être dirigé par l'actuel premier ministre, Amadou Ba. Avec les attaques en provenance de son camp, jusque dans le gouvernement qu'il pilote, Amadou Ba est poussé à la démission par ses contempteurs tapis dans l’establishment.
Si le premier ministre ne démissionne pas, il risque d’être démis de ses fonctions
Certains ne s’en cachent pas. D’autres toujours encagoulés tirent sur les ficèles afin qu’il rende le tablier. Et si le candidat contesté de la mouvance présidentielle ne démissionne pas, il risque d’être démis de ses fonctions. En fait, le report de la présidentielle a dopé les ardeurs des détracteurs d’Amadou Ba, leur donnant une occasion rêvée pour en finir avec lui.
Vers un gouvernement dit de rassemblement
Amadou Ba qui risque de ne plus être le candidat de Benno à la prochaine présidentielle pourrait être une des principales victimes de la situation qui a conduit à l’annulation du décret de convocation du collège électoral le 25 février dernier. S’il est démis de ses fonction de chef du gouvernement, il pourra avec l’aide de ses alliés, aller à la présidentielle sous sa propre bannière. En tout cas, la contestation de sa candidature pourrait enfler ces jours ci et risque d’ aboutir à son limogeage et au choix d’un autre candidat pour Benno avant la tenue du scrutin de la présidentielle.
La contestation de la candidature d’Amadou Ba va enfler dans les prochains jours
Avec le report, Amadou Ba qui a toujours été dans le collimateur des faucons, qui a tout de même eu le temps de placer des hommes, mais qui n’a pas d’emprise sur les grands électeurs de la mouvance présidentielle, va devoir encore faire face à leurs manœuvres. Avec la frivolité des politiciens, certains de ses partisans n’hésiteront pas à lui tourner le dos dès que la situation lui sera défavorable. Pour rappel, la réticence à la candidature d’Amadou Ba ne date pas d’aujourd’hui.
Amadou Ba, prendra t-il la décision d’aller à l’élection sous sa propre bannière ?
Elle s’est déclarée avant l’annonce de son choix par Macky Sall, aboutissant à des défiances ouvertes qui conduiront au départ d’ Aly Ngouille Ndiaye, de Mame Boye Diao, Mouhamadou Boune Abdallah Dionne.
Alors qu’on croyait que la contestation allait terminer avec ces départs, le choix de Amadou Ba est toujours de plus en plus contesté au sein de la Coalition Bennoo Bokk Yaakar et de l’Alliance pour la République. Le Premier ministre, Amadou Ba fait face à une opposition en interne.
Des adversaires qui semblent décider à lui rendre la vie dure, sont encore aux aguets pas prêts à le lâcher. Y’en a qui sont dans l’ombre, au cœur du gouvernement, d’autres dans les arcanes de l’Assemblée et de la haute administration. Si certains préfèrent adopter une attitude de sous-marin, d’autres encagoulés vont très rapidement sortir du bois pour que Amadou Ba ne soit plus leur candidat.
Contre la sa candidature, on peut citer entre autres responsables de la mouvance qui s’en cachent pas, Souleymane Ndiaye, Thèrèse Faye, Mame Mbaye Niang, Souleymane Jules Diop, Abdoulaye Bibi Baldé et beaucoup d’autres …
Tribune
Si le premier ministre ne démissionne pas, il risque d’être démis de ses fonctions
Certains ne s’en cachent pas. D’autres toujours encagoulés tirent sur les ficèles afin qu’il rende le tablier. Et si le candidat contesté de la mouvance présidentielle ne démissionne pas, il risque d’être démis de ses fonctions. En fait, le report de la présidentielle a dopé les ardeurs des détracteurs d’Amadou Ba, leur donnant une occasion rêvée pour en finir avec lui.
Vers un gouvernement dit de rassemblement
Amadou Ba qui risque de ne plus être le candidat de Benno à la prochaine présidentielle pourrait être une des principales victimes de la situation qui a conduit à l’annulation du décret de convocation du collège électoral le 25 février dernier. S’il est démis de ses fonction de chef du gouvernement, il pourra avec l’aide de ses alliés, aller à la présidentielle sous sa propre bannière. En tout cas, la contestation de sa candidature pourrait enfler ces jours ci et risque d’ aboutir à son limogeage et au choix d’un autre candidat pour Benno avant la tenue du scrutin de la présidentielle.
La contestation de la candidature d’Amadou Ba va enfler dans les prochains jours
Avec le report, Amadou Ba qui a toujours été dans le collimateur des faucons, qui a tout de même eu le temps de placer des hommes, mais qui n’a pas d’emprise sur les grands électeurs de la mouvance présidentielle, va devoir encore faire face à leurs manœuvres. Avec la frivolité des politiciens, certains de ses partisans n’hésiteront pas à lui tourner le dos dès que la situation lui sera défavorable. Pour rappel, la réticence à la candidature d’Amadou Ba ne date pas d’aujourd’hui.
Amadou Ba, prendra t-il la décision d’aller à l’élection sous sa propre bannière ?
Elle s’est déclarée avant l’annonce de son choix par Macky Sall, aboutissant à des défiances ouvertes qui conduiront au départ d’ Aly Ngouille Ndiaye, de Mame Boye Diao, Mouhamadou Boune Abdallah Dionne.
Alors qu’on croyait que la contestation allait terminer avec ces départs, le choix de Amadou Ba est toujours de plus en plus contesté au sein de la Coalition Bennoo Bokk Yaakar et de l’Alliance pour la République. Le Premier ministre, Amadou Ba fait face à une opposition en interne.
Des adversaires qui semblent décider à lui rendre la vie dure, sont encore aux aguets pas prêts à le lâcher. Y’en a qui sont dans l’ombre, au cœur du gouvernement, d’autres dans les arcanes de l’Assemblée et de la haute administration. Si certains préfèrent adopter une attitude de sous-marin, d’autres encagoulés vont très rapidement sortir du bois pour que Amadou Ba ne soit plus leur candidat.
Contre la sa candidature, on peut citer entre autres responsables de la mouvance qui s’en cachent pas, Souleymane Ndiaye, Thèrèse Faye, Mame Mbaye Niang, Souleymane Jules Diop, Abdoulaye Bibi Baldé et beaucoup d’autres …
Tribune