Tout ceci s’est passé devant son fils. Ce dernier s’est d’ailleurs heurté au refus des policiers lorsqu’il a demandé les clefs du véhicule pour aller chercher les médicaments. C’est triste, car il n’a bénéficié d’aucune assistance alors que tout le monde était témoin de sa souffrance», a tristement témoigné un taximan gardé à vue en même temps que Cheikh Niass.
Par ailleurs, le témoin dit n’avoir assisté à aucune scène de violence physique entre Cheikh Niass et les agents du commissariat de police de Wakinane Nimzat.
«Il a d’abord été entendu dans le bureau du commandant avant d’être conduit au violon. Il manifestait des signes de fatigue et demandait de l’eau. C’est ainsi que les choses ont commencé et la suite vous la connaissez», a-t-il ajouté.
Pour son oncle Cheikh Thiam et les responsables de l’Association pour le soutien et la réinsertion sociale des détenus (Asred), les policiers sont les seuls responsables de la mort de Cheikh Niass dans des conditions supposées douloureuses. Ils exigent l’ouverture immédiate d’une enquête impartiale.
Ils demandent également au Procureur de la République de se saisir du dossier pour faire jaillir la lumière. Rejetant la thèse d’une mort naturelle liée à un taux de sucre élevé, la famille de Cheikh Niass exige également la mise à disposition du corps pour une contre-expertise médicale.
Tribune
Par ailleurs, le témoin dit n’avoir assisté à aucune scène de violence physique entre Cheikh Niass et les agents du commissariat de police de Wakinane Nimzat.
«Il a d’abord été entendu dans le bureau du commandant avant d’être conduit au violon. Il manifestait des signes de fatigue et demandait de l’eau. C’est ainsi que les choses ont commencé et la suite vous la connaissez», a-t-il ajouté.
Pour son oncle Cheikh Thiam et les responsables de l’Association pour le soutien et la réinsertion sociale des détenus (Asred), les policiers sont les seuls responsables de la mort de Cheikh Niass dans des conditions supposées douloureuses. Ils exigent l’ouverture immédiate d’une enquête impartiale.
Ils demandent également au Procureur de la République de se saisir du dossier pour faire jaillir la lumière. Rejetant la thèse d’une mort naturelle liée à un taux de sucre élevé, la famille de Cheikh Niass exige également la mise à disposition du corps pour une contre-expertise médicale.
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