Alioune Badara Ndiaye est le plus chanceux des lauréats du Concours général, édition 2016. Élevé à Yawuz Selim, ce brillant bachelier, amputé d’une jambe à l’âge de 10 ans des suites d’une fracture, va "recouvrir" enfin sa mobilité. Le président de la République Macky Sall a décidé de prendre en charge les frais médicaux de sa pose de prothèse jambe à l’étranger. L’ancien pensionnaire de Yawuz Selim va aussi bénéficier, de la part la Fondation Computer land pour l’excellence, d’une bourse de quatre années d’études en droit en France et de deux billets d’avions Dakar-Paris-Dakar, chaque année d’étude, de la part de la Compagnie Corsair. Entre autres cadeaux, Alioune Bara Ndiaye a reçus une enveloppe de 500 mille et un ordinateur de la Lonase.
Un geste qu’Alioune Badara Ndiaye apprécie à sa juste valeur. Revenant sur son parcours scolaire, il souligne que le chemin a été long. Dans l’abnégation et la persévérance, il est parvenu à faire des performances dans ses études. Récompensé aujourd’hui pour ses efforts Alioune Badara Ndiaye souhaite aller plus haut et plus loin. « Ça a été très difficile depuis mon enfance jusqu’à maintenant. Mais je me suis toujours dis que j’avais une seule option : c’est apprendre. Je ne pouvais rien faire à part apprendre et j’ai fait tout ce que j’ai pu faire, avec l’aide de ma famille d’abord, de l’administration des écoles où j’ai passé, mais aussi de l’ensemble de mes encadreurs qui m’ont permis de cultiver mes compétences et de devenir lauréats du Concours général aujourd’hui », a soutenu l’heureux primé.
Convaincu qu’avec sa condition physique il n’était pas évident pour lui de réussir, Alioune Badara s’est battu parce que dira-t-il : « J’avais une seule option donc je me suis toujours dis que je n’abandonnerai jamais, parce que ceux qui abandonnent ont d'autres options alors que moi j'en ai qu'une ». Parlant de son handicap, le nouveau bachelier de dire :« Pour moi, il n’y a qu’un seul handicap, c’est celui mental qui ne nous permet pas d’être homme comme les autres ». Il estime donc que le handicap physique ne doit pas être un frein à la culture des compétences. « Donc ce n’est pas une excuse, pour les autres et pour moi aussi de se dire telle est ma condition actuelle, je ne dois pas aller de l’avant. C’est pas un prétexte », soutient-il.
Passionné de droit, Alioune Badara Ndiaye rêve de faire des études supérieures en droit et devenir magistrat. Un rêve qui va enfin se réaliser avec l'appui du gouvernement du Sénégal et de la Fondation Computer land pour l’excellence.
Un geste qu’Alioune Badara Ndiaye apprécie à sa juste valeur. Revenant sur son parcours scolaire, il souligne que le chemin a été long. Dans l’abnégation et la persévérance, il est parvenu à faire des performances dans ses études. Récompensé aujourd’hui pour ses efforts Alioune Badara Ndiaye souhaite aller plus haut et plus loin. « Ça a été très difficile depuis mon enfance jusqu’à maintenant. Mais je me suis toujours dis que j’avais une seule option : c’est apprendre. Je ne pouvais rien faire à part apprendre et j’ai fait tout ce que j’ai pu faire, avec l’aide de ma famille d’abord, de l’administration des écoles où j’ai passé, mais aussi de l’ensemble de mes encadreurs qui m’ont permis de cultiver mes compétences et de devenir lauréats du Concours général aujourd’hui », a soutenu l’heureux primé.
Convaincu qu’avec sa condition physique il n’était pas évident pour lui de réussir, Alioune Badara s’est battu parce que dira-t-il : « J’avais une seule option donc je me suis toujours dis que je n’abandonnerai jamais, parce que ceux qui abandonnent ont d'autres options alors que moi j'en ai qu'une ». Parlant de son handicap, le nouveau bachelier de dire :« Pour moi, il n’y a qu’un seul handicap, c’est celui mental qui ne nous permet pas d’être homme comme les autres ». Il estime donc que le handicap physique ne doit pas être un frein à la culture des compétences. « Donc ce n’est pas une excuse, pour les autres et pour moi aussi de se dire telle est ma condition actuelle, je ne dois pas aller de l’avant. C’est pas un prétexte », soutient-il.
Passionné de droit, Alioune Badara Ndiaye rêve de faire des études supérieures en droit et devenir magistrat. Un rêve qui va enfin se réaliser avec l'appui du gouvernement du Sénégal et de la Fondation Computer land pour l’excellence.