Les mots ont été très durs contre Yahya Abdoul Kane, le ministre des Télécommunication. En conférence de presse, ils ont accusé ce dernier d'avoir inventé ce qu'il a dit sur la 4G.
"Après vérification de la Direction générale, nous sommes en mesure d'apporter les précisions suivantes: Sonatel n'a jamais été consultée par l'Etat du Sénégal pour faire une offre. Sonatel n'a jamais fait une offre à l'Etat ou à l'Artp encore moins au ministre des télécommunications. Donc les affirmations du ministre sont contraires à la vérité. Parce qu'il a dit que les opérateurs ont fait des offres allant de 12 à 26 milliards de francs Cfa. Nous aimerions savoir où est-ce que le ministre a trouvé ce chiffres là», a déclaré Demba Diarra Mbodj, Président de l'association des cadres de la Sonatel.
Sur l’arrêt de la phase pilote de la 4G d’Orange et les montants jugés insignifiants par les autorités, les cadres trouve absurde le raisonnement du ministre relatif à la redevance à payer pour l’octroi des fréquences 4G. Selon l'association, l’Etat qui « prêche la bonne Gouvernance doit commencer par la consultation des opérateurs qui sont sur place et les acteurs concernés. »
«Il y a une volonté effrénée de l’Etat de se faire le maximum de ressources sur le secteur des télécoms qui est imposé de manière extraordinaire. Il y a tellement de taxes exceptionnelles que vous ne verrez que dans le secteur des télécoms. Comment pouvons-nous disposer d’une licence globale, et qu’on puisse nous demander à chaque fois qu’il y a une évolution technologique, des dizaines et des centaines de milliards. C’est absurde. Dans des pays comme le Japon, les gens ont librement demandé aux acteurs d’y aller de faire une gratuité pour la population pendant un certain temps», a dénoncé Demba Diarra Mbodj, Président de l’association des cadres de la Sonatel.
"Après vérification de la Direction générale, nous sommes en mesure d'apporter les précisions suivantes: Sonatel n'a jamais été consultée par l'Etat du Sénégal pour faire une offre. Sonatel n'a jamais fait une offre à l'Etat ou à l'Artp encore moins au ministre des télécommunications. Donc les affirmations du ministre sont contraires à la vérité. Parce qu'il a dit que les opérateurs ont fait des offres allant de 12 à 26 milliards de francs Cfa. Nous aimerions savoir où est-ce que le ministre a trouvé ce chiffres là», a déclaré Demba Diarra Mbodj, Président de l'association des cadres de la Sonatel.
Sur l’arrêt de la phase pilote de la 4G d’Orange et les montants jugés insignifiants par les autorités, les cadres trouve absurde le raisonnement du ministre relatif à la redevance à payer pour l’octroi des fréquences 4G. Selon l'association, l’Etat qui « prêche la bonne Gouvernance doit commencer par la consultation des opérateurs qui sont sur place et les acteurs concernés. »
«Il y a une volonté effrénée de l’Etat de se faire le maximum de ressources sur le secteur des télécoms qui est imposé de manière extraordinaire. Il y a tellement de taxes exceptionnelles que vous ne verrez que dans le secteur des télécoms. Comment pouvons-nous disposer d’une licence globale, et qu’on puisse nous demander à chaque fois qu’il y a une évolution technologique, des dizaines et des centaines de milliards. C’est absurde. Dans des pays comme le Japon, les gens ont librement demandé aux acteurs d’y aller de faire une gratuité pour la population pendant un certain temps», a dénoncé Demba Diarra Mbodj, Président de l’association des cadres de la Sonatel.