Le responsable du Collectif de la défense de Monsieur Ousmane Sonko, candidat à l’élection présidentielle du 25 Février 2024, Maître Mouhamadou Bamba Cissé, a reçu hier matin 28 décembre 2023, une notification d’un pourvoi en cassation introduit par l’Etat du Sénégal, relate "Le Témoin".
Selon Me Ciré Clédor Ly, à travers un communiqué de presse, « l’opinion publique nationale et internationale aura appris et compris que l’Etat du Sénégal a introduit son recours à l’ultime heure, le dernier jour du délai prévu par le code électoral. L’Etat n’a donc pas abdiqué et s’enlise dans les limbes pourris de la décadence conseillée par des hommes et des femmes, qui l’ont précipité dans des contentieux qui ont sabordé et affaissé la démocratie, décrédibilisé le pouvoir exécutif et rompu définitivement, les amarres qui le liaient à l’Etat de droit ».
Poursuivant, la robe noire au nom du Collectif des avocats d'Ousmane Sonko ajoute que « les Sénégalais ont tourné la page d´un pouvoir totalitaire, que l’indignité a poussé au point de se dénuder pour donner la preuve d’un complot d’Etat avorté, extenué en voulant détruire politiquement Monsieur Ousmane Sonko. L’Etat, mal éclairé, n’a toujours pas compris que le destin du Sénégal a été pris en main par le Conseil Constitutionnel depuis le 11 décembre 2023 et que les hommes qui gouvernent actuellement, ne font que brûler les immondices de leur passé, pour échapper au châtiment d’un peuple, dont les illusions et les aspirations légitimes n’ont eu comme répondant que barbarie, tuerie, confiscation des droits et libertés démocratiques, l’effondrement de l’Etat de droit ».
Très en verve, Me Ciré Clédor LY estime que « la responsabilité des Sages du Conseil Constitutionnel est historique, car il appartient à ces derniers de trancher par leurs sept (7 )signatures, dans le destin non seulement des Sénégalais, mais aussi de toute l’Afrique, qui aspire à un mieux-être et un mieux vivre, dans le pluralisme démocratique, où la justice assurerait pleinement et en toute indépendance, l’équilibre dans le tissu économique et social ».
« Avec son pourvoi en cassation de la dernière heure, l’ Etat est resté dans une arène où les lampions s’étaient éteints et le vainqueur déjà couronné, pour retard inconsidéré d’un adversaire qui manque de neutralité et de loyauté dans la gestion démocratique des affaires de la cité, par ce jeu inélégant et irresponsable. Il tente de décrédibiliser l’institution judiciaire, qu’il veut rendre responsable de ses propres turpitudes et de sa médiocrité dans la gestion du processus électoral. La libération de Monsieur Ousmane Sonko est une exigence sociale, sa participation à la campagne électorale pour briguer le suffrage des Sénégalais dans une élection transparente et paisible, une exigence et un impératif démocratiques », conclut la robe noire.
Selon Me Ciré Clédor Ly, à travers un communiqué de presse, « l’opinion publique nationale et internationale aura appris et compris que l’Etat du Sénégal a introduit son recours à l’ultime heure, le dernier jour du délai prévu par le code électoral. L’Etat n’a donc pas abdiqué et s’enlise dans les limbes pourris de la décadence conseillée par des hommes et des femmes, qui l’ont précipité dans des contentieux qui ont sabordé et affaissé la démocratie, décrédibilisé le pouvoir exécutif et rompu définitivement, les amarres qui le liaient à l’Etat de droit ».
Poursuivant, la robe noire au nom du Collectif des avocats d'Ousmane Sonko ajoute que « les Sénégalais ont tourné la page d´un pouvoir totalitaire, que l’indignité a poussé au point de se dénuder pour donner la preuve d’un complot d’Etat avorté, extenué en voulant détruire politiquement Monsieur Ousmane Sonko. L’Etat, mal éclairé, n’a toujours pas compris que le destin du Sénégal a été pris en main par le Conseil Constitutionnel depuis le 11 décembre 2023 et que les hommes qui gouvernent actuellement, ne font que brûler les immondices de leur passé, pour échapper au châtiment d’un peuple, dont les illusions et les aspirations légitimes n’ont eu comme répondant que barbarie, tuerie, confiscation des droits et libertés démocratiques, l’effondrement de l’Etat de droit ».
Très en verve, Me Ciré Clédor LY estime que « la responsabilité des Sages du Conseil Constitutionnel est historique, car il appartient à ces derniers de trancher par leurs sept (7 )signatures, dans le destin non seulement des Sénégalais, mais aussi de toute l’Afrique, qui aspire à un mieux-être et un mieux vivre, dans le pluralisme démocratique, où la justice assurerait pleinement et en toute indépendance, l’équilibre dans le tissu économique et social ».
« Avec son pourvoi en cassation de la dernière heure, l’ Etat est resté dans une arène où les lampions s’étaient éteints et le vainqueur déjà couronné, pour retard inconsidéré d’un adversaire qui manque de neutralité et de loyauté dans la gestion démocratique des affaires de la cité, par ce jeu inélégant et irresponsable. Il tente de décrédibiliser l’institution judiciaire, qu’il veut rendre responsable de ses propres turpitudes et de sa médiocrité dans la gestion du processus électoral. La libération de Monsieur Ousmane Sonko est une exigence sociale, sa participation à la campagne électorale pour briguer le suffrage des Sénégalais dans une élection transparente et paisible, une exigence et un impératif démocratiques », conclut la robe noire.