La bijouterie est le secteur dans lequel les ressortissants sénégalais vivant au Burkina Faso s'investissent le plus et avec succès dans ce pays au point d'en prendre le contrôle, tout en s'activant dans plusieurs autres domaines de l'économie, a indiqué l’ambassadeur du Sénégal au Burkina Faso, Mbaba Coura Ndiaye, dans un entretien accordé à l'APS, en marge de l'édition 2023 du Fespaco (du 25 février au 4 mars).
Dans certaines artères de la ville de Ouagadougou, des restaurants sénégalais ont pignon sur rue comme le restaurant sénégalais "chez Mme Sall", sis non loin du marché central. D'autres restaurant sont installés un peu partout dans la capitale burkinabè.
A en croire l'Aps, le diplomate indique que les Sénégalais du Burkina Faso s'activent de façon générale dans l'informel, notamment dans la restauration, la bijouterie, l'artisanat. Mais ils sont aussi dans d'autres secteurs plus innovants comme l'informatique et la téléphonie.
Il y a également de nombreux cadres travaillant pour le systèmes des Nations unies ou des organisations sous-régionales comme l'UEMOA, l'Union économique et monétaire ouest africaine.
Le diplomate souligne que ses compatriotes sont très intégrés dans la société burkinabè. "Ils font leur travail et sont souvent dans leurs dahiras. Il y a de grands dahiras mourides, tidianes, niassènes et d'autres. Ils s'occupent de leurs activités et ne sont pas dans certains problèmes", rassure Mbaba Coura Ndiaye.
Si beaucoup d'entre eux sont installés à Ouagadougou, la grande majorité d'entre eux est établie à Bobo-Dioulasso, la capitale économique du Burkina Faso. "On se déplace souvent sur Bobo et dans les zones sécurisées pour voir nos compatriotes", confie Mbaba Coura Ndiaye.
Selon l'ambassadeur, aucun besoin de rapatriement n'a été exprimé, sauf pour certains ressortissants sénégalais confrontés à des problèmes et qui sollicitent l'ambassade pour leur retour au Sénégal.
"La communauté qui est là , est dirigée par Harouna Dia [homme d'affaires] et l'ambassade essaie d'aider au rapatriement. Il n'y a pas de vagues, mais juste des individualités qui expriment leur désir de rentrer", explique-t-il.
Dans certaines artères de la ville de Ouagadougou, des restaurants sénégalais ont pignon sur rue comme le restaurant sénégalais "chez Mme Sall", sis non loin du marché central. D'autres restaurant sont installés un peu partout dans la capitale burkinabè.
A en croire l'Aps, le diplomate indique que les Sénégalais du Burkina Faso s'activent de façon générale dans l'informel, notamment dans la restauration, la bijouterie, l'artisanat. Mais ils sont aussi dans d'autres secteurs plus innovants comme l'informatique et la téléphonie.
Il y a également de nombreux cadres travaillant pour le systèmes des Nations unies ou des organisations sous-régionales comme l'UEMOA, l'Union économique et monétaire ouest africaine.
Le diplomate souligne que ses compatriotes sont très intégrés dans la société burkinabè. "Ils font leur travail et sont souvent dans leurs dahiras. Il y a de grands dahiras mourides, tidianes, niassènes et d'autres. Ils s'occupent de leurs activités et ne sont pas dans certains problèmes", rassure Mbaba Coura Ndiaye.
Si beaucoup d'entre eux sont installés à Ouagadougou, la grande majorité d'entre eux est établie à Bobo-Dioulasso, la capitale économique du Burkina Faso. "On se déplace souvent sur Bobo et dans les zones sécurisées pour voir nos compatriotes", confie Mbaba Coura Ndiaye.
Selon l'ambassadeur, aucun besoin de rapatriement n'a été exprimé, sauf pour certains ressortissants sénégalais confrontés à des problèmes et qui sollicitent l'ambassade pour leur retour au Sénégal.
"La communauté qui est là , est dirigée par Harouna Dia [homme d'affaires] et l'ambassade essaie d'aider au rapatriement. Il n'y a pas de vagues, mais juste des individualités qui expriment leur désir de rentrer", explique-t-il.