Entré en vigueur depuis cinq jours, le cessez-le-feu mis sur pied par les Etats-Unis et la Russie en Syrie semble de plus en plus fragile, après que Moscou et Damas ont accusé, samedi 17 septembre, la coalition américaine d’avoir bombardé une position de l’armée syrienne près de l’aéroport de Deir ez-Zor, dans l’est du pays, tuant entre 60 et 80 soldats selon différentes sources, a indiqué le Monde.fr
La coalition internationale menée par les Etats-Unis, censée attaquer les groupes islamistes en activité en Syrie, a admis avoir bombardé ce qu’elle pensait être une position du groupe Etat islamique (EI) en Syrie. Les Etats-Unis ont exprimé leurs regrets. Un communiqué du commandement des forces américaines au Moyen-Orient (Centcom) a donné plus de précisions : « Les forces de la coalition pensaient qu’elles frappaient une position de combat de l’EI, qu’elles suivaient depuis un certain temps avant le bombardement. La coalition ne ciblerait jamais intentionnellement une unité militaire syrienne. »
La coalition internationale menée par les Etats-Unis, censée attaquer les groupes islamistes en activité en Syrie, a admis avoir bombardé ce qu’elle pensait être une position du groupe Etat islamique (EI) en Syrie. Les Etats-Unis ont exprimé leurs regrets. Un communiqué du commandement des forces américaines au Moyen-Orient (Centcom) a donné plus de précisions : « Les forces de la coalition pensaient qu’elles frappaient une position de combat de l’EI, qu’elles suivaient depuis un certain temps avant le bombardement. La coalition ne ciblerait jamais intentionnellement une unité militaire syrienne. »