Pour 1000 francs, le chauffeur T. Sylla s’est ouvert les portes de la prison pour avoir fait perdre l’oeil droit à son collègue M. Kane. Selon les sources de « L’As », les faits se sont produits au Resto dancing « Le Patio » établi aux Almadies.
Chauffeur de son état, Kane a sollicité les services de son collègue T. Sylla pour lui donner des clients qu’il transporte moyennant 1000 francs de commission. Le marché est conclu et Kane prend son départ pour rallier Dakar-Plateau.
C’est le surlendemain qu’il revient sur les lieux. Dès que Sylla le voit, il lui réclame ses 1000 francs de commission. Kane lui déclare qu’il ne dispose pas de monnaie. Ce qui met Sylla dans tous ses états, et il choisit la voie de la violence pour solder ses comptes, en lui assénant un uppercut sur l’oeil droit.
Ce dernier tombe, gisant dans son sang. Conduit à l’hôpital Aristide le Dantec pour les besoins de soins intensifs, Kane apprend qu’il a perdu son oeil. L’ophtalmologue révèle un éclatement du globe suivi d’une éviscératrice du bloc. Ce qui va occasionner l’infirmité de l’œil droit et du coup, il ne va plus pouvoir exercer sa fonction de chauffeur.
D’ailleurs, le médecin a fait établir un certificat d’incapacité temporaire de travail de 30 jours à M. Kane. Muni du document, il se rend à la Police de Wakhinane-Nimzaat pour porter plainte contre son agresseur.
Mais T. Sylla refuse de déférer à la convocation des policiers et va se réfugier dans son village, vers Thiès. Plusieurs mois plus tard, alors qu’il croyait l’affaire close, Sylla débarque à Dakar. Mais mal lui en a pris. Car les éléments de la Brigade de recherches de la Police de Wakhinane-Nimzaat surveillaient ses moindres déplacements.
Ainsi les hommes de l’adjudant Ahmet Béchir Ndiaye, au cours d’une traditionnelle mission de sécurisation, ont réussi à mettre la main sur lui pour ensuite le conduire au poste de Polic. Face aux limiers, T. Sylla qui reconnaît ses fautes déclare avoir agi ainsi pour avoir été provoqué par son collègue qui l’aurait insulté et frappé avec une barre de fer.
Blessé, il a riposté. Des blessures qui, selon Sylla, l’ont conduit à l’hôpital Amadou Sakhir Ndiéguène où il s’est fait établir un certificat médical de 30 jours. Il dit avoir porté plainte à son tour au Commissariat central de Guédiawaye. Il a été déféré au parquet pour coups et blessures volontaires ayant entraîné une infirmité permanente de l’oeil droit d’un individu.
Chauffeur de son état, Kane a sollicité les services de son collègue T. Sylla pour lui donner des clients qu’il transporte moyennant 1000 francs de commission. Le marché est conclu et Kane prend son départ pour rallier Dakar-Plateau.
C’est le surlendemain qu’il revient sur les lieux. Dès que Sylla le voit, il lui réclame ses 1000 francs de commission. Kane lui déclare qu’il ne dispose pas de monnaie. Ce qui met Sylla dans tous ses états, et il choisit la voie de la violence pour solder ses comptes, en lui assénant un uppercut sur l’oeil droit.
Ce dernier tombe, gisant dans son sang. Conduit à l’hôpital Aristide le Dantec pour les besoins de soins intensifs, Kane apprend qu’il a perdu son oeil. L’ophtalmologue révèle un éclatement du globe suivi d’une éviscératrice du bloc. Ce qui va occasionner l’infirmité de l’œil droit et du coup, il ne va plus pouvoir exercer sa fonction de chauffeur.
D’ailleurs, le médecin a fait établir un certificat d’incapacité temporaire de travail de 30 jours à M. Kane. Muni du document, il se rend à la Police de Wakhinane-Nimzaat pour porter plainte contre son agresseur.
Mais T. Sylla refuse de déférer à la convocation des policiers et va se réfugier dans son village, vers Thiès. Plusieurs mois plus tard, alors qu’il croyait l’affaire close, Sylla débarque à Dakar. Mais mal lui en a pris. Car les éléments de la Brigade de recherches de la Police de Wakhinane-Nimzaat surveillaient ses moindres déplacements.
Ainsi les hommes de l’adjudant Ahmet Béchir Ndiaye, au cours d’une traditionnelle mission de sécurisation, ont réussi à mettre la main sur lui pour ensuite le conduire au poste de Polic. Face aux limiers, T. Sylla qui reconnaît ses fautes déclare avoir agi ainsi pour avoir été provoqué par son collègue qui l’aurait insulté et frappé avec une barre de fer.
Blessé, il a riposté. Des blessures qui, selon Sylla, l’ont conduit à l’hôpital Amadou Sakhir Ndiéguène où il s’est fait établir un certificat médical de 30 jours. Il dit avoir porté plainte à son tour au Commissariat central de Guédiawaye. Il a été déféré au parquet pour coups et blessures volontaires ayant entraîné une infirmité permanente de l’oeil droit d’un individu.
