‘’Une rupture de stock de certains produits alimentaires comme le thé ou la mayonnaise se fait sentir à Bamako. En cause, un changement de politique au port de Dakar en ce qui concerne le traitement des conteneurs qui transitent par le port sénégalais’’, lit-on sur le site de Jeune Afrique.
La réglementation douanière stipule qu’un conteneur en transit, donc non destiné au marché sénégalais, doit être embarqué tel quel vers son pays de destination, car il ne doit pas y avoir de rupture de charge.
Les autorités sénégalaises ont interdit aux transitaires de dépoter les conteneurs sur le port de Dakar, pour poursuivre le transport en camions dans des conteneurs plus grands qui dépassent les standards internationaux.
Les autorités sénégalaises ont demandé aux logisticiens en charge du transit de désormais embarquer dans les camions les conteneurs tels qu’ils arrivent au port. Le dépotage relevait jusqu’ici d’une tolérance des autorités portuaires et douanières locales.
La réglementation en vigueur est juste appliquée avec un peu plus de rigueur pour des raisons de sécurité, mais aussi de compétitivité. Toutefois, l’administration douanière est ouverte à toutes discussions avec les Maliens qui restent des partenaires commerciaux essentiels pour le Sénégal, rapporte le site Jeune Afrique qui relayait les propos d’un responsable du Port de Dakar.
Le respect de la règlementation n’a pas été bien accueillie côté malien. « C’est un manque à gagner de près de 10 milliards de francs CFA pour la douane malienne » a dit Babalaye Ndao, président du Conseil malien des chargeurs, de retour au Mali ce vendredi après avoir rencontré les autorités sénégalaises pour essayer de débloquer la situation.
Ce dernier estime à 200 le nombre de camions à faire la navette chaque jour jusqu’au port de Dakar, pour ensuite reprendre la route du Mali.
Des transporteurs maliens ont confié à « Jeune Afrique que Depuis une semaine, les autorités sénégalaises bloquent les marchandises transitant par le port de Dakar destinées à des pays continentaux, notamment le Mali.
Assane Ndao (Azactu.net)
La réglementation douanière stipule qu’un conteneur en transit, donc non destiné au marché sénégalais, doit être embarqué tel quel vers son pays de destination, car il ne doit pas y avoir de rupture de charge.
Les autorités sénégalaises ont interdit aux transitaires de dépoter les conteneurs sur le port de Dakar, pour poursuivre le transport en camions dans des conteneurs plus grands qui dépassent les standards internationaux.
Les autorités sénégalaises ont demandé aux logisticiens en charge du transit de désormais embarquer dans les camions les conteneurs tels qu’ils arrivent au port. Le dépotage relevait jusqu’ici d’une tolérance des autorités portuaires et douanières locales.
La réglementation en vigueur est juste appliquée avec un peu plus de rigueur pour des raisons de sécurité, mais aussi de compétitivité. Toutefois, l’administration douanière est ouverte à toutes discussions avec les Maliens qui restent des partenaires commerciaux essentiels pour le Sénégal, rapporte le site Jeune Afrique qui relayait les propos d’un responsable du Port de Dakar.
Le respect de la règlementation n’a pas été bien accueillie côté malien. « C’est un manque à gagner de près de 10 milliards de francs CFA pour la douane malienne » a dit Babalaye Ndao, président du Conseil malien des chargeurs, de retour au Mali ce vendredi après avoir rencontré les autorités sénégalaises pour essayer de débloquer la situation.
Ce dernier estime à 200 le nombre de camions à faire la navette chaque jour jusqu’au port de Dakar, pour ensuite reprendre la route du Mali.
Des transporteurs maliens ont confié à « Jeune Afrique que Depuis une semaine, les autorités sénégalaises bloquent les marchandises transitant par le port de Dakar destinées à des pays continentaux, notamment le Mali.
Assane Ndao (Azactu.net)