ntre le maire de Mbour et l’ex-Pastef, la relation conflictuelle est loin de connaître son épilogue. Hier, au tribunal, les deux camps se sont donnés en spectacle. Le maire de la commune, Cheikh Issa Sall, par ailleurs Directeur général de la Caisse des dépôts et consignations, était au tribunal pour assister au procès qui l’oppose à Mansour Cissé, membre de la eJunesse patriotique (Jps), dans la commune de Mbour. L’avocat de la partie civile,, Me El Hadji Diouf a demandé le renvoi afin que le tribunal lui permette de mieux s’imprégner du dossier.
Voulant à tout prix que l’affaire soit jugée, Maître Abdoulaye Tall, avocat de Mansour Cissé, a insisté étant donné qu’il perçoit comme une anomalie que la partie civile ne maîtrise pas un dossier, alors qu’elle a eu le temps de déposer une plainte.
Finalement, le président du tribunal qui a présidé la séance, a accordé à la partie civile, le renvoi et l’audience est fixée pour mardi prochain. Voulant tirer son client des liens de la détention, Me Tall a demandé une liberté provisoire pour l’enseignant, dont la détention a causé un préjudice à ses élèves. Dans une salle archicomble, prise d’assaut par les militants des deux camps, le président du tribunal a mis de l’ordre dans la salle. Il a recadré Me El Hadji Diouf, qui a traité le prévenu de délinquant. Après que le président a rejeté la demande de liberté provisoire, la salle s’est vidée, rapporte "L'As".
Voulant à tout prix que l’affaire soit jugée, Maître Abdoulaye Tall, avocat de Mansour Cissé, a insisté étant donné qu’il perçoit comme une anomalie que la partie civile ne maîtrise pas un dossier, alors qu’elle a eu le temps de déposer une plainte.
Finalement, le président du tribunal qui a présidé la séance, a accordé à la partie civile, le renvoi et l’audience est fixée pour mardi prochain. Voulant tirer son client des liens de la détention, Me Tall a demandé une liberté provisoire pour l’enseignant, dont la détention a causé un préjudice à ses élèves. Dans une salle archicomble, prise d’assaut par les militants des deux camps, le président du tribunal a mis de l’ordre dans la salle. Il a recadré Me El Hadji Diouf, qui a traité le prévenu de délinquant. Après que le président a rejeté la demande de liberté provisoire, la salle s’est vidée, rapporte "L'As".