Philip Soubry faisait partie du groupe des neuf Belges rapatriés depuis Wuhan vers Melsbroek, dimanche dernier. Dans la nuit de lundi à mardi, il a quitté l’hôpital militaire pour rejoindre le CHU Saint-Pierre de Bruxelles. “Lundi vers 20 heures, ils sont venus me dire qu’ils avaient de mauvaises nouvelles pour moi. J’ai dû prendre une douche, puis enfiler une combinaison blanche de protection pour pouvoir être transporté en ambulance à Bruxelles”, entame-t-il, interrogé par Het Laatste Nieuws.
“Pour le moment, je suis assis seul dans une chambre, sans grand confort. Je m’ennuie, mais je n’ai aucune exigence à formuler. Et c’est rassurant de savoir que je suis suivi. Tous les deux jours, des examens seront effectués pour vérifier si je suis toujours porteur du virus.”
Philip Soubry ne souhaitait pas quitter la Chine, c’est son employeur qui lui a soumis l’idée d’un rapatriement. “Je me suis donc lancé dans cette aventure. Ma femme est restée en Chine pour s’occuper d’un membre de la famille (…) Il y a de fortes chances qu’elle soit également porteuse du virus. Mais tant qu’elle n’a pas de symptômes, elle ferait mieux de rester chez elle. À l’hôpital, elle court un plus grand risque de devenir vraiment malade.”
“Pour le moment, je suis assis seul dans une chambre, sans grand confort. Je m’ennuie, mais je n’ai aucune exigence à formuler. Et c’est rassurant de savoir que je suis suivi. Tous les deux jours, des examens seront effectués pour vérifier si je suis toujours porteur du virus.”
Philip Soubry ne souhaitait pas quitter la Chine, c’est son employeur qui lui a soumis l’idée d’un rapatriement. “Je me suis donc lancé dans cette aventure. Ma femme est restée en Chine pour s’occuper d’un membre de la famille (…) Il y a de fortes chances qu’elle soit également porteuse du virus. Mais tant qu’elle n’a pas de symptômes, elle ferait mieux de rester chez elle. À l’hôpital, elle court un plus grand risque de devenir vraiment malade.”