Une nouvelle stratégie de marketing s’invite considérablement dans le milieu musical sénégalais. Il s’avère très efficace, pour certaines stars de la chanson, de vendre ou de se faire connaître en exhibant, en quelque sorte, leur corps. C’est la mode chez une grande partie des chanteuses sénégalaises de s’afficher dans les médias et de créer l’événement.
Quelles qu’en soient les conséquences, les stars de la musique adoptent le look des décolletés, robes moulantes et autres petites tenues. Viviane Ndour, Titi, Coumba Gawlo Seck, Adiouza, Facoly, Queen Biz, Guigui ou Déesse Major, entre autres, n’échappent pas à cette tendance.
Pour ces musiciennes, l’apparence physique représente beaucoup dans leur carrière. C’est même primordial.
Beaucoup de chanteuses ont très tôt senti une soi-disant complémentarité entre la voix et le physique de l’artiste. Le look est donc un facteur clé chez ces personnes. Viviane Ndour a semblé comprendre cette règle depuis bien longtemps. En effet, sans trop faire dans le scandale, elle a misé, en plus de sa voix, sur son physique depuis ses premières apparitions.
Spécialiste des robes moulantes, décolletés et dos nus, Viviane Ndour a fini de séduire un grand nombre de fans. Elle a initié le rituel consistant à offrir ses robes à ses inconditionnels lors d’un concert annuel. Ensuite, elle a créé sa propre boutique.
Arame Thioye, Guigui, Facoly ou Déesse Major s’inscrivent également dans ce même registre. Dès leurs débuts, elles se sont singularisées des autres en imposant un look sexy.
Pendant que certaines d’entre elles misent sur l’accoutrement pour être au-devant de la scène, les autres ont opté pour des coiffures rocambolesques, digne des stars américaines. « Je suis une artiste jeune et je dois me mettre en valeur. Il faut bien que je vende mon album. Pour cela, le côté esthétique compte beaucoup ».
On se rappelle encore ces paroles qu’avait tenues la fille d’Ouza Diallo, il y a quelque temps, dans nos colonnes. En effet, revendiquant une audience beaucoup plus « modernisée et un public masculin », Adiouza entend utiliser son charme comme un atout majeur, capable de renforcer son image et sa belle voix.
« C’est la loi du marché ! Le public masculin aime voir de belles artistes. Le show-biz exige qu’on soit sexy pour percer. Autrement dit, pour vendre, de nos jours, il faut être sexy. Sinon les hommes ne vont même pas jeter un coup d’œil sur mon album », prétend l’auteur de "Cëy Love".
Cette manière de voir les choses diffère de quelques convictions affichées auparavant. A l’instar de Coumba Gawlo Seck avec son titre "Femme Objet", Adiouza avait commis le titre "A Qui La Faute" pour déplorer la dégradation de l'image de la femme dans la société et, plus particulièrement, dans les médias.
Dans ces chansons, Adiouza et Coumba Gawlo sensibilisaient leurs consœurs sur la préservation des coutumes et valeurs.
Titi a également ses décolletés. Elle aussi n’hésite pas à se montrer vulgaire lors de ses sorties en public. « Je suis en phase avec moi-même. Maintenant que mes fans reproduisent ce que je fais, il n’y a aucun mal », s’est défendue Ndèye Fatou Tine dite Titi.
Le Soleil
Quelles qu’en soient les conséquences, les stars de la musique adoptent le look des décolletés, robes moulantes et autres petites tenues. Viviane Ndour, Titi, Coumba Gawlo Seck, Adiouza, Facoly, Queen Biz, Guigui ou Déesse Major, entre autres, n’échappent pas à cette tendance.
Pour ces musiciennes, l’apparence physique représente beaucoup dans leur carrière. C’est même primordial.
Beaucoup de chanteuses ont très tôt senti une soi-disant complémentarité entre la voix et le physique de l’artiste. Le look est donc un facteur clé chez ces personnes. Viviane Ndour a semblé comprendre cette règle depuis bien longtemps. En effet, sans trop faire dans le scandale, elle a misé, en plus de sa voix, sur son physique depuis ses premières apparitions.
Spécialiste des robes moulantes, décolletés et dos nus, Viviane Ndour a fini de séduire un grand nombre de fans. Elle a initié le rituel consistant à offrir ses robes à ses inconditionnels lors d’un concert annuel. Ensuite, elle a créé sa propre boutique.
Arame Thioye, Guigui, Facoly ou Déesse Major s’inscrivent également dans ce même registre. Dès leurs débuts, elles se sont singularisées des autres en imposant un look sexy.
Pendant que certaines d’entre elles misent sur l’accoutrement pour être au-devant de la scène, les autres ont opté pour des coiffures rocambolesques, digne des stars américaines. « Je suis une artiste jeune et je dois me mettre en valeur. Il faut bien que je vende mon album. Pour cela, le côté esthétique compte beaucoup ».
On se rappelle encore ces paroles qu’avait tenues la fille d’Ouza Diallo, il y a quelque temps, dans nos colonnes. En effet, revendiquant une audience beaucoup plus « modernisée et un public masculin », Adiouza entend utiliser son charme comme un atout majeur, capable de renforcer son image et sa belle voix.
« C’est la loi du marché ! Le public masculin aime voir de belles artistes. Le show-biz exige qu’on soit sexy pour percer. Autrement dit, pour vendre, de nos jours, il faut être sexy. Sinon les hommes ne vont même pas jeter un coup d’œil sur mon album », prétend l’auteur de "Cëy Love".
Cette manière de voir les choses diffère de quelques convictions affichées auparavant. A l’instar de Coumba Gawlo Seck avec son titre "Femme Objet", Adiouza avait commis le titre "A Qui La Faute" pour déplorer la dégradation de l'image de la femme dans la société et, plus particulièrement, dans les médias.
Dans ces chansons, Adiouza et Coumba Gawlo sensibilisaient leurs consœurs sur la préservation des coutumes et valeurs.
Titi a également ses décolletés. Elle aussi n’hésite pas à se montrer vulgaire lors de ses sorties en public. « Je suis en phase avec moi-même. Maintenant que mes fans reproduisent ce que je fais, il n’y a aucun mal », s’est défendue Ndèye Fatou Tine dite Titi.
Le Soleil