Le maçon polygame Modou Abdoulaye Diouf, accusé d’avoir violé la mineure de 13 ans, a été jugé hier, mardi 16 avril 2024, devant la Chambre criminelle de Dakar. Ces faits dont il est accusé, remontent à 2021.
Polygame et père de 5 enfants, il risque 10 ans de réclusion criminelle pour viol, pédophilie, détournement de mineure et complicité de vol. En effet d’après le récit de la victime repris par "Les Echos", Modou Abdoulaye Diouf, à chaque fois qu’elle descendait de l’école, attendait que les lieux soient déserts pour l’entraîner dans un bâtiment en construction et la violer sous la menace d’un couteau.
Pis, puisque sa mère est une gérante de tontine dans leur quartier de Rufisque, dit-elle, l’accusé l’obligeait aussi à voler cet argent pour le lui remettre. Les agissements de cet accusé, qui était auparavant le coiffeur du père de la gamine, ont été découverts par l’institutrice de cette dernière. Un jour, alors que la fillette était à l’école comme à son habitude, son institutrice a remarqué un changement de sa démarche.
C’est là qu’elle l’a soumise à un sommaire interrogatoire. C. Sall avoue alors avoir subi des viols répétitifs de la part de Modou Abdoulaye Diouf. Ainsi, l’institutrice a fait un rapport qu’elle a adressé à I’Inspection générale de l’éducation et de la formation, (Ief) de Rufisque. C’est ladite inspection qui a saisi les enquêteurs d’une plainte qui a été instruite par le commissaire de Jaxaay et qui a abouti à l’arrestation de Modou Abdoulaye Diouf, lit-on dans "Senenews".
Celui-ci, 2 ans après les faits, a tout nié devant la Chambre criminelle où il était jugé. Il parle d’une histoire montée de toutes pièces. Dans ses réquisitions, le procureur a soutenu que la victime C. Sall a dit la vérité de bout en bout, dans cette affaire. De ce fait, il a requis 10 ans de réclusion criminelle contre lui. Délibéré au 7 mai 2024.
Polygame et père de 5 enfants, il risque 10 ans de réclusion criminelle pour viol, pédophilie, détournement de mineure et complicité de vol. En effet d’après le récit de la victime repris par "Les Echos", Modou Abdoulaye Diouf, à chaque fois qu’elle descendait de l’école, attendait que les lieux soient déserts pour l’entraîner dans un bâtiment en construction et la violer sous la menace d’un couteau.
Pis, puisque sa mère est une gérante de tontine dans leur quartier de Rufisque, dit-elle, l’accusé l’obligeait aussi à voler cet argent pour le lui remettre. Les agissements de cet accusé, qui était auparavant le coiffeur du père de la gamine, ont été découverts par l’institutrice de cette dernière. Un jour, alors que la fillette était à l’école comme à son habitude, son institutrice a remarqué un changement de sa démarche.
C’est là qu’elle l’a soumise à un sommaire interrogatoire. C. Sall avoue alors avoir subi des viols répétitifs de la part de Modou Abdoulaye Diouf. Ainsi, l’institutrice a fait un rapport qu’elle a adressé à I’Inspection générale de l’éducation et de la formation, (Ief) de Rufisque. C’est ladite inspection qui a saisi les enquêteurs d’une plainte qui a été instruite par le commissaire de Jaxaay et qui a abouti à l’arrestation de Modou Abdoulaye Diouf, lit-on dans "Senenews".
Celui-ci, 2 ans après les faits, a tout nié devant la Chambre criminelle où il était jugé. Il parle d’une histoire montée de toutes pièces. Dans ses réquisitions, le procureur a soutenu que la victime C. Sall a dit la vérité de bout en bout, dans cette affaire. De ce fait, il a requis 10 ans de réclusion criminelle contre lui. Délibéré au 7 mai 2024.