En effet, en 2017, Hingst, un ingéÂnieur de Melbourne de 56 ans, avait pourÂsuivi son ancien employeur ConsÂtrucÂtion EngiÂneeÂring. D’après lui, la société aurait laissé son supéÂrieur hiérarÂchique, Greg Short, le harceÂler pendant des années à coup d’inÂtiÂmiÂdaÂtions verbales et de flatuÂlences nauséaÂbondes. Il s’agisÂsait, disait-il, d’un complot pour le faire démisÂsionÂner. À l’époque, Greg Short avait admis s’être rendu dans le bureau de son collègue une ou deux fois, mais sans mauvaises intenÂtions. Après avoir entendu les deux parties, la juge Rita Zammit a finaÂleÂment classé l’afÂfaire sans suite, estiÂmant qu’il s’agisÂsait de « plaiÂsanÂteÂries typiques » plus que d’inÂtiÂmiÂdaÂtions.
Hingst a donc décidé de faire appel de cette déciÂsion, jugeant ne pas avoir bénéÂfiÂcié d’un procès équiÂtable la première fois. Il y a quelques jours, il a raconté une nouvelle fois son histoire. « J’étais assis face contre le mur et il entrait dans la pièce, qui était petite et n’avait pas de fenêtre », a déclaré David Hingst après son audiÂtion devant la Cour le 25 mars. Il a ajouté que Greg Short pétait ensuite à tout va dans son dos, avant de tourÂner les talons. « Il le faisait cinq ou six fois par jour. »
Mais la Cour d’apÂpel a décidé de rejeÂter l’afÂfaire de David Hingst, expliquant que quand même bien cette histoire de flatuÂlences intemÂpesÂtives se révéÂlait fondée, cela ne signiÂfiait pas forcéÂment qu’il était victime de harcèÂleÂment, ni même d’inÂtiÂmiÂdaÂtion. Hingst a déclaré qu’il allait à présent faire appel de ce jugeÂment devant la Haute cour d’AusÂtraÂlie, plus haute juriÂdicÂtion du pays.
Source : The IndeÂpendent
Hingst a donc décidé de faire appel de cette déciÂsion, jugeant ne pas avoir bénéÂfiÂcié d’un procès équiÂtable la première fois. Il y a quelques jours, il a raconté une nouvelle fois son histoire. « J’étais assis face contre le mur et il entrait dans la pièce, qui était petite et n’avait pas de fenêtre », a déclaré David Hingst après son audiÂtion devant la Cour le 25 mars. Il a ajouté que Greg Short pétait ensuite à tout va dans son dos, avant de tourÂner les talons. « Il le faisait cinq ou six fois par jour. »
Mais la Cour d’apÂpel a décidé de rejeÂter l’afÂfaire de David Hingst, expliquant que quand même bien cette histoire de flatuÂlences intemÂpesÂtives se révéÂlait fondée, cela ne signiÂfiait pas forcéÂment qu’il était victime de harcèÂleÂment, ni même d’inÂtiÂmiÂdaÂtion. Hingst a déclaré qu’il allait à présent faire appel de ce jugeÂment devant la Haute cour d’AusÂtraÂlie, plus haute juriÂdicÂtion du pays.
Source : The IndeÂpendent