Ce qui est devenu l’ « affaire Idrissa Seck » prend des proportions qui dépassent nos frontières. Ce ne sont pas seulement les musulmans du Sénégal qui s’offusquent de la déclaration du leader de Rewmi, au sujet de l’islam, de la Mecque et du pèlerinage musulman. Apres la Ligue des Imams et Prédicateurs du Sénégal, le monde arabe prend le relais de l’indignation.
Dans un communiqué rendu public hier, depuis son siège à Rabat (Maroc), l’Organisation islamique pour l’éducation, les sciences et la culture (ISESCO) déplore les propos de l’ancien Premier ministre.
« L’ISESCO condamne fermement les propos de M. Idrissa Seck, ancien Premier ministre sénégalais et actuel président du parti Rewmi au sujet des lieux saints du pèlerinage de l'islam de la Mecque, en ce sens qu’il a avancé qu’il dispose de preuves et arguments confirmant qu’elle n’est pas le lieu exact du pèlerinage », souligne ledit communiqué.
Selon l’ISESCO, ces « déclarations irresponsables » ne devraient pas être prononcées par un ancien ministre et du moins un candidat à la présidence de la République d’un Etat membre de l'ISESCO. Au bout du compte, l’ISESCO appelle l’Etat du Sénégal à prendre une position ferme face à ces déclarations suspectes, qui risquent de créer la zizanie et la discorde et tendent à contredire les vérités constantes prescrites par le Saint Coran et la Sunna.
L’Egypte, l’Arabie Saoudite ont aussi condamné les déclarations de l’ex-Premier ministre.
Walfquotidien
Dans un communiqué rendu public hier, depuis son siège à Rabat (Maroc), l’Organisation islamique pour l’éducation, les sciences et la culture (ISESCO) déplore les propos de l’ancien Premier ministre.
« L’ISESCO condamne fermement les propos de M. Idrissa Seck, ancien Premier ministre sénégalais et actuel président du parti Rewmi au sujet des lieux saints du pèlerinage de l'islam de la Mecque, en ce sens qu’il a avancé qu’il dispose de preuves et arguments confirmant qu’elle n’est pas le lieu exact du pèlerinage », souligne ledit communiqué.
Selon l’ISESCO, ces « déclarations irresponsables » ne devraient pas être prononcées par un ancien ministre et du moins un candidat à la présidence de la République d’un Etat membre de l'ISESCO. Au bout du compte, l’ISESCO appelle l’Etat du Sénégal à prendre une position ferme face à ces déclarations suspectes, qui risquent de créer la zizanie et la discorde et tendent à contredire les vérités constantes prescrites par le Saint Coran et la Sunna.
L’Egypte, l’Arabie Saoudite ont aussi condamné les déclarations de l’ex-Premier ministre.
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