Au nom du président Macky Sall, le ministre de la Justice a indiqué que «le Sénégal va utiliser tous les moyens diplomatiques, en tant que membre non permanent au Conseil de sécurité des Nations Unies pour l’aboutissement d’une solution politique dans les pourparlers de Genève. Malgré les positions tranchées entre le pouvoir syrien et son opposition, les pourparlers de Genève ont connu un succès sans précédent car, en une journée, 10 milliards de dollars ont été recueillis pour aider la Syrie à se reconstruire dans la paix et la sécurité.
Lors de sa prise de parole, le ministre de la Justice a indiqué la nécessité de trouver une solution durable qui passe par un cessez-le-feu définitif, mais aussi par la mise en place d’un processus politique engageant tous les acteurs politiques pour mettre fin à la tragédie humaine en Syrie. Il s’agit, dira-t-il, d’abréger la souffrance du peuple syrien qui dure depuis cinq ans. Le retour à la paix passe également, soutient le ministre de la Justice, par une coopération durable de toute la communauté internationale afin que les Syriens participent à la reconstruction de leur pays. Il faut soutenir les pays limitrophes et ceux qui accueillent les migrants syriens afin que leurs enfants puissent recevoir une éducation convenable. A présent, lance le ministre, c’est le temps de l’action pour traduire en actes concrets cet engagement sans précédent.
Lors de sa prise de parole, le ministre de la Justice a indiqué la nécessité de trouver une solution durable qui passe par un cessez-le-feu définitif, mais aussi par la mise en place d’un processus politique engageant tous les acteurs politiques pour mettre fin à la tragédie humaine en Syrie. Il s’agit, dira-t-il, d’abréger la souffrance du peuple syrien qui dure depuis cinq ans. Le retour à la paix passe également, soutient le ministre de la Justice, par une coopération durable de toute la communauté internationale afin que les Syriens participent à la reconstruction de leur pays. Il faut soutenir les pays limitrophes et ceux qui accueillent les migrants syriens afin que leurs enfants puissent recevoir une éducation convenable. A présent, lance le ministre, c’est le temps de l’action pour traduire en actes concrets cet engagement sans précédent.