Le chef d’entreprise de la société »Suxali Sine » relaxé du délit d’abus de confiance, a été toutefois condamné à payer 208 millions de francs Cfa à la coopérative d’habitat du personnel de la Société nationale de recouvrement (Snr) par le tribunal des flagrants délits de Dakar.
D’après les informations de L’Observateur, reprises par nos confrères, l’affaire remonte au mois de juillet 2020. La coopération et le patron de la société Suxali Sine signent un contrat de prestation de services ayant pour objet la viabilisation d’un terrain d’une superficie de 2,5 hectares, sis à Niacourab. Pour exécuter les travaux (lotir le site, le terrasser, l’équiper, aménager la voirie, effectuer l’adduction d’eau, l’éclairage, entre autres), le chef d’entreprise avait reçu la somme de 400 millions.
Lequel soutient que le maître d’œuvre n’a pas non seulement effectué les démarches nécessaires pour l’autorisation devant lui permettre de procéder au lotissement du site. Mais aussi, il lui est reproché, entre autres griefs, d’avoir empoché 10 millions supplémentaires pour cette autorisation alors que cette démarche lui incombait.
Il s’y ajoute, confie le journal, qu’à la place de l’adduction d’eau et de l’éclairage public, le prévenu a érigé un mur de clôture pour, avance-t-il, protéger le site. Des travaux qu’il a surfacturé à 120 millions. Or, d’après la partie civile, ce mur existait depuis 2015 au moment de l’acquisition du terrain.
Faye, qui avait assuré avoir effectué 85% des travaux, est aussi accusé d’avoir encaissé 63 millions pour la Taxe sur la valeur ajoutée (Tva). Une somme qu’il n’aurait jamais versée alors que le délai contractuel est de six mois.
D’après les informations de L’Observateur, reprises par nos confrères, l’affaire remonte au mois de juillet 2020. La coopération et le patron de la société Suxali Sine signent un contrat de prestation de services ayant pour objet la viabilisation d’un terrain d’une superficie de 2,5 hectares, sis à Niacourab. Pour exécuter les travaux (lotir le site, le terrasser, l’équiper, aménager la voirie, effectuer l’adduction d’eau, l’éclairage, entre autres), le chef d’entreprise avait reçu la somme de 400 millions.
Lequel soutient que le maître d’œuvre n’a pas non seulement effectué les démarches nécessaires pour l’autorisation devant lui permettre de procéder au lotissement du site. Mais aussi, il lui est reproché, entre autres griefs, d’avoir empoché 10 millions supplémentaires pour cette autorisation alors que cette démarche lui incombait.
Il s’y ajoute, confie le journal, qu’à la place de l’adduction d’eau et de l’éclairage public, le prévenu a érigé un mur de clôture pour, avance-t-il, protéger le site. Des travaux qu’il a surfacturé à 120 millions. Or, d’après la partie civile, ce mur existait depuis 2015 au moment de l’acquisition du terrain.
Faye, qui avait assuré avoir effectué 85% des travaux, est aussi accusé d’avoir encaissé 63 millions pour la Taxe sur la valeur ajoutée (Tva). Une somme qu’il n’aurait jamais versée alors que le délai contractuel est de six mois.