Le Syndicat des Travailleurs de la Justice (Sytjust) qui ne décolère pas contre sa tutelle tend toutefois la main au gouvernement pour trouver une solution à sa plateforme revendicative, informe "L’As".
Enchaînant les mots d’ordre de grève, ajoute le journal, le Sytjust souligne qu’il a été et demeure toujours dans les dispositions de rencontrer le gouvernement et en particulier le ministre de la Justice pour l’entendre répondre sur ses doléances.
Néanmoins, ces travailleurs qui ont paralysé le système judiciaire, regrettent que le gouvernement et plus particulièrement le ministre de la Justice n’ait pris aucune disposition pour rencontrer le syndicat, afin d’apporter des réponses à ses trois différentes exigences formulées dans le préavis.
Or, dans la pratique au Sénégal, ajoute le secrétaire général du Sytjust, El hadji Aya Boun Malick Diop, lorsqu’un syndicat d’agents de la Fonction publique dépose un préavis de grève, il revient toujours au ministre de tutelle de convier les plénipotentiaires dudit syndicat à des rencontres pour échanger sur leur plateforme.
Il considère le silence du gouvernement comme une rupture unilatérale du dialogue.
Enchaînant les mots d’ordre de grève, ajoute le journal, le Sytjust souligne qu’il a été et demeure toujours dans les dispositions de rencontrer le gouvernement et en particulier le ministre de la Justice pour l’entendre répondre sur ses doléances.
Néanmoins, ces travailleurs qui ont paralysé le système judiciaire, regrettent que le gouvernement et plus particulièrement le ministre de la Justice n’ait pris aucune disposition pour rencontrer le syndicat, afin d’apporter des réponses à ses trois différentes exigences formulées dans le préavis.
Or, dans la pratique au Sénégal, ajoute le secrétaire général du Sytjust, El hadji Aya Boun Malick Diop, lorsqu’un syndicat d’agents de la Fonction publique dépose un préavis de grève, il revient toujours au ministre de tutelle de convier les plénipotentiaires dudit syndicat à des rencontres pour échanger sur leur plateforme.
Il considère le silence du gouvernement comme une rupture unilatérale du dialogue.