Il faut étre atteint d’une cécité intellectuelle ou de mauvaise foi ou les deux ensembles pour ne pas reconnaître qu’en deux ans d’exercice du pouvoir les autorités sénégalaises ont posé les jalons d’une véritable rupture par rapport à ce que les gouvernants d’alors nous avaient souvent habitués. Et il faut être victime d’une incurable allergie au régime ou d’une jalousie obsessionnelle pour ne pas rendre à Macky Sall la part essentielle qui lui revient dans cette spectaculaire transformation. D’éminents et honnêtes intellectuels sénégalais, d’ici et d’ailleurs, ont attesté avoir hautement apprécié les actions qu’en si peu de temps les gouvernements successifs du Président Macky Sall ont réalisées.
En déclarant que le Sénégal est en de bonnes mains, le Président Abdou Diouf ne s’y est pas trompé. Homme de progrès, discipliné, respectueux, généreux, pédagogue rigoureux et humaniste d’un grand cœur au point que certains esprits faibles n’hésitent pas à le taxer de président pris en otage par ses alliés , le Président Macky Sall, dès son accession à la magistrature suprême, s’est résolument engagé dans la bataille pour la restauration de l'Etat de droit, des valeurs de la République, du redressement économique, financier et dans l’âpre combat pour promouvoir un sénégalais nouveau, confiant en lui, travailleur, honnête et imbu de la culture de l'intérêt général.
Républicain, social libéral et décomplexé, partisan de la libération totale, de l’émancipation des peuples d’Afrique et de l’égalité des chances pour tous les hommes, son objectif de toujours n’a été rien moins que de sortir le Sénégal du sous-développement. Qu’on se comprenne bien, il ne s’agira pas dans ce papier de faire une énumération exhaustive des réalisations faites, l’aurais je voulu je n’y parviendrais pas, mais juste un bref exposé pour que nul n’en ignore que le slogan du premier ministre « au travail » plus qu’une vaine logomachie est en passe de devenir une réalité. Jugez-en par vous-même.
La lutte contre l’injustice sociale étant au cœur de ses préoccupations, le Président Macky Sall a, aux premières heures de sa gouvernance, fait voter une loi baissant les loyers des baux à usage d’habitation, instauré des bourses de sécurité pour les familles défavorisées et revalorisé le traitement salarial par une diminution d’impôts. Ces mesures ont entraîné non seulement une économie pour les fonctionnaires de l’ordre de 15% mais aussi la possibilité pour les ménages de subvenir à leurs besoins les plus élémentaires. Cela est la marque tangible de l’intérêt que le Président porte aux populations qui, mieux que quiconque, par delà la personne du Président qu’elles affectionnent, cependant beaucoup, apprécient davantage l’homme d’action qu’il est car, comme le dit Durkheim : « ce qui me lie à autrui, ce n’est rien de ce qui constitue son individualité empirique, c’est la fin suprême dont il est le serviteur et l’organe». Et Kant de considérer l'homme comme une fin et non comme un moyen.
Les dernières élections locales du 29 juin dernier en sont la parfaite illustration. L’alliance pour la République (APR) n’a-t-elle pas gagné les communes à hauteur de 80% et à 77% les départements ?
Convaincu comme Danton qui disait, au lendemain de la révolution française « qu’après le pain, l’instruction est le premier besoin du peuple », le Président a convoqué les Assises de l’Education afin de mettre au point un nouveau système éducatif qui, sans renoncer à prodiguer à l’enfant des connaissances théoriques, cherche surtout à lui assurer une compréhension globale du milieu physique, économique, social et culturel dans lequel il vit en vue de pouvoir y promouvoir des activités productrices lui garantissant des revenus monétaires.
Sachant par ailleurs que la sérénité de l’âme et la culture de l’esprit dépendent étroitement de la santé du corps, le Président a pris des mesures tout aussi pertinentes que salutaires. La gratuité des soins pour les enfants de moins de 5 ans en prélude de la couverture maladie universelle, et la création de cases de santé partout et pour tous, l’installation un peu partout de maternités rurales illustrent de façon éloquente l’importance que le Président accorde aux soins de santé primaire.
Grâce à la mise en œuvre de sa vision agricole et l’action dynamique des autorités en charge de l’agriculture (au sens large), l’ouverture prochaine d’universités exclusivement consacrées à l’agriculture, sans compter la création sous peu de centres de démonstration et de technique agricoles, sont des preuves certaines de la volonté du Président de permettre à nos paysans, pasteurs et pécheurs de produire mieux de commercialiser plus et partant, leur faire entrer dans une ère d’autarcie alimentaire. Plus est, le Sénégal est le seul pays de la sous-région à avoir diminué le prix des engrais nonobstant le contexte pluviométrique qui n’est pas des meilleurs. S’y ajoute la mise en place d’un fonds de commercialisation de 11,5 milliards logés à la caisse nationale du crédit agricole pour l’achat de cinquante mille tonnes de semences à un taux bonifié de 6% au lieu de 13%.
Récemment, les accords signés par le Sénégal avec la Chine permettront, à coup sûr, l’ouverture de débouchés conséquents susceptibles d’absorber la production afin que la filière arachidière puisse être dans une dynamique d’excellence. Au-delà de cet aspect, force est d’admettre que ces accords renforceront l’accès au marché par les producteurs sénégalais et de profiter de la solvabilité de la Chine. La diversification et la revalorisation des cultures vivrières, l’amélioration constante des techniques nouvelles de production et l’introduction de cultures industrielles décidées et réalisées par le gouvernement conformément à la volonté du Président, ont permis de relever et d’améliorer le niveau et la qualité de vie de nos masses paysannes.
Le mil, le mais et le riz, base essentielle de notre alimentation, qui, naguère manquaient de façon endémique, sont aujourd’hui produits en quantité, à peu prés suffisante. L’oignon, considéré comme culture d’appoint, est aujourd’hui une importante source de revenus monétaires. La réhabilitation des forages en panne et la construction dans un avenir proche de nouveaux forages attestent, si besoin en est, de l’intérêt que le gouvernement attache à la maîtrise de l’eau. Grâce à son penchant naturel pour une réelle démocratie, les libertés de pensée, de réunion et d’opinion sont renforcées et le carcan de la pensée unique desserré.
La signature du décret, le 12 avril 2012, autorisant l’importation des véhicules âgés de 8 ans, l’abrogation du décret 2011-1271 du 24 août 2011 relatifs aux appels entrants, l’augmentation du budget du fonds d’appui à l’investissement des Sénégalais de l’extérieur (de 350 millions à 1 milliard), pour ne prendre que ces exemples, sont de réels motifs de satisfaction pour nos populations essentiellement migratrices. La récente application de la loi sur l’enrichissement illicite qui a rencontré l’adhésion de sénégalais épris de justice et d’équité véhicule, au-delà du fait qu’elle soit le respect d’un engagement pris lors de la campagne électorale et la manifestation d’une farouche volonté de lutter contre les fossoyeurs de nos maigres ressources, en réalité, un message inspiré des Saintes Écritures : « tu gagneras ton pain à la sueur de ton front ». Par là , le Président nous invite au travail productif qui libère et ennoblit et entend mener un combat sans merci contre les paresseux et nostalgiques d’un passé à jamais révolu.
Au plus, avec la réactivation de la Cour de Répression de l’Enrichissement Illicite, le Président nous rappelle que c’est par le travail et seulement par le travail que l’homme s’épanouit par l’éclosion de toutes ses potentialités axiologiques. En cela, il rejoint les philosophes existentialistes pour qui l’homme n’est que le fruit de son propre travail selon la belle formule de Jules Laquier « Faire et en faisant se faire et n’est rien que ce l’on se fait ». La signature du décret d’application de la loi 14/ 2012 sur la déclaration de patrimoine est la preuve par neuf de la volonté du Président de reléguer au passé la dissimilation des biens publics par les autorités investies d’une mission de service public et autres enrichissements illicites.
Les jeunes et les femmes ne sont pas laissés pour compte. On en veut pour preuve, le financement par la banque africaine de développement d’un montant de 18 milliards au projet d’appui à la promotion de l’emploi des jeunes et des femmes. Cette action entre dans le cadre de la politique d’emploi initiée par le gouvernement. D’ailleurs, le Fongip et le Fonsis s’inscrivent dans ce sillage en tant qu’ils sont des mécanismes de financement pour accompagner la création d’entreprises.
Last but not least, le Programme Sénégal Emergent (PSE) dont l’exécution est imminente laisse présager que dans un proche avenir les difficultés tant économiques que sociales ne seront qu’un mauvais souvenir. Non pas qu’il décline de projets et programmes supposant une bonne gouvernance des finances publiques et une utilisation optimale et efficiente des ressources mobilisatrices mais surtout le fait que le Président ait très tôt compris que la création d’emploi ne doit et ne peut être stimulée que par l’investissement privé et le développement des PME et PMI. Après la longue énumération de ce florilège de réalisations, on peut aisément affirmer que les fallacieuses critiques de l’opposition évoquant à tout bout de champ, le manque ou l’absence de vision, sont désormais frappées de caducité.
Papa Aly Sow
Juriste
Paalysow532@gmail.com
Coordonnateur du Rassemblement des Etudiants Derrière Mansour Faye (REDEM)
Rapporteur de la Commission Formation et Stratégie de l’APR/ Saint-Louis
En déclarant que le Sénégal est en de bonnes mains, le Président Abdou Diouf ne s’y est pas trompé. Homme de progrès, discipliné, respectueux, généreux, pédagogue rigoureux et humaniste d’un grand cœur au point que certains esprits faibles n’hésitent pas à le taxer de président pris en otage par ses alliés , le Président Macky Sall, dès son accession à la magistrature suprême, s’est résolument engagé dans la bataille pour la restauration de l'Etat de droit, des valeurs de la République, du redressement économique, financier et dans l’âpre combat pour promouvoir un sénégalais nouveau, confiant en lui, travailleur, honnête et imbu de la culture de l'intérêt général.
Républicain, social libéral et décomplexé, partisan de la libération totale, de l’émancipation des peuples d’Afrique et de l’égalité des chances pour tous les hommes, son objectif de toujours n’a été rien moins que de sortir le Sénégal du sous-développement. Qu’on se comprenne bien, il ne s’agira pas dans ce papier de faire une énumération exhaustive des réalisations faites, l’aurais je voulu je n’y parviendrais pas, mais juste un bref exposé pour que nul n’en ignore que le slogan du premier ministre « au travail » plus qu’une vaine logomachie est en passe de devenir une réalité. Jugez-en par vous-même.
La lutte contre l’injustice sociale étant au cœur de ses préoccupations, le Président Macky Sall a, aux premières heures de sa gouvernance, fait voter une loi baissant les loyers des baux à usage d’habitation, instauré des bourses de sécurité pour les familles défavorisées et revalorisé le traitement salarial par une diminution d’impôts. Ces mesures ont entraîné non seulement une économie pour les fonctionnaires de l’ordre de 15% mais aussi la possibilité pour les ménages de subvenir à leurs besoins les plus élémentaires. Cela est la marque tangible de l’intérêt que le Président porte aux populations qui, mieux que quiconque, par delà la personne du Président qu’elles affectionnent, cependant beaucoup, apprécient davantage l’homme d’action qu’il est car, comme le dit Durkheim : « ce qui me lie à autrui, ce n’est rien de ce qui constitue son individualité empirique, c’est la fin suprême dont il est le serviteur et l’organe». Et Kant de considérer l'homme comme une fin et non comme un moyen.
Les dernières élections locales du 29 juin dernier en sont la parfaite illustration. L’alliance pour la République (APR) n’a-t-elle pas gagné les communes à hauteur de 80% et à 77% les départements ?
Convaincu comme Danton qui disait, au lendemain de la révolution française « qu’après le pain, l’instruction est le premier besoin du peuple », le Président a convoqué les Assises de l’Education afin de mettre au point un nouveau système éducatif qui, sans renoncer à prodiguer à l’enfant des connaissances théoriques, cherche surtout à lui assurer une compréhension globale du milieu physique, économique, social et culturel dans lequel il vit en vue de pouvoir y promouvoir des activités productrices lui garantissant des revenus monétaires.
Sachant par ailleurs que la sérénité de l’âme et la culture de l’esprit dépendent étroitement de la santé du corps, le Président a pris des mesures tout aussi pertinentes que salutaires. La gratuité des soins pour les enfants de moins de 5 ans en prélude de la couverture maladie universelle, et la création de cases de santé partout et pour tous, l’installation un peu partout de maternités rurales illustrent de façon éloquente l’importance que le Président accorde aux soins de santé primaire.
Grâce à la mise en œuvre de sa vision agricole et l’action dynamique des autorités en charge de l’agriculture (au sens large), l’ouverture prochaine d’universités exclusivement consacrées à l’agriculture, sans compter la création sous peu de centres de démonstration et de technique agricoles, sont des preuves certaines de la volonté du Président de permettre à nos paysans, pasteurs et pécheurs de produire mieux de commercialiser plus et partant, leur faire entrer dans une ère d’autarcie alimentaire. Plus est, le Sénégal est le seul pays de la sous-région à avoir diminué le prix des engrais nonobstant le contexte pluviométrique qui n’est pas des meilleurs. S’y ajoute la mise en place d’un fonds de commercialisation de 11,5 milliards logés à la caisse nationale du crédit agricole pour l’achat de cinquante mille tonnes de semences à un taux bonifié de 6% au lieu de 13%.
Récemment, les accords signés par le Sénégal avec la Chine permettront, à coup sûr, l’ouverture de débouchés conséquents susceptibles d’absorber la production afin que la filière arachidière puisse être dans une dynamique d’excellence. Au-delà de cet aspect, force est d’admettre que ces accords renforceront l’accès au marché par les producteurs sénégalais et de profiter de la solvabilité de la Chine. La diversification et la revalorisation des cultures vivrières, l’amélioration constante des techniques nouvelles de production et l’introduction de cultures industrielles décidées et réalisées par le gouvernement conformément à la volonté du Président, ont permis de relever et d’améliorer le niveau et la qualité de vie de nos masses paysannes.
Le mil, le mais et le riz, base essentielle de notre alimentation, qui, naguère manquaient de façon endémique, sont aujourd’hui produits en quantité, à peu prés suffisante. L’oignon, considéré comme culture d’appoint, est aujourd’hui une importante source de revenus monétaires. La réhabilitation des forages en panne et la construction dans un avenir proche de nouveaux forages attestent, si besoin en est, de l’intérêt que le gouvernement attache à la maîtrise de l’eau. Grâce à son penchant naturel pour une réelle démocratie, les libertés de pensée, de réunion et d’opinion sont renforcées et le carcan de la pensée unique desserré.
La signature du décret, le 12 avril 2012, autorisant l’importation des véhicules âgés de 8 ans, l’abrogation du décret 2011-1271 du 24 août 2011 relatifs aux appels entrants, l’augmentation du budget du fonds d’appui à l’investissement des Sénégalais de l’extérieur (de 350 millions à 1 milliard), pour ne prendre que ces exemples, sont de réels motifs de satisfaction pour nos populations essentiellement migratrices. La récente application de la loi sur l’enrichissement illicite qui a rencontré l’adhésion de sénégalais épris de justice et d’équité véhicule, au-delà du fait qu’elle soit le respect d’un engagement pris lors de la campagne électorale et la manifestation d’une farouche volonté de lutter contre les fossoyeurs de nos maigres ressources, en réalité, un message inspiré des Saintes Écritures : « tu gagneras ton pain à la sueur de ton front ». Par là , le Président nous invite au travail productif qui libère et ennoblit et entend mener un combat sans merci contre les paresseux et nostalgiques d’un passé à jamais révolu.
Au plus, avec la réactivation de la Cour de Répression de l’Enrichissement Illicite, le Président nous rappelle que c’est par le travail et seulement par le travail que l’homme s’épanouit par l’éclosion de toutes ses potentialités axiologiques. En cela, il rejoint les philosophes existentialistes pour qui l’homme n’est que le fruit de son propre travail selon la belle formule de Jules Laquier « Faire et en faisant se faire et n’est rien que ce l’on se fait ». La signature du décret d’application de la loi 14/ 2012 sur la déclaration de patrimoine est la preuve par neuf de la volonté du Président de reléguer au passé la dissimilation des biens publics par les autorités investies d’une mission de service public et autres enrichissements illicites.
Les jeunes et les femmes ne sont pas laissés pour compte. On en veut pour preuve, le financement par la banque africaine de développement d’un montant de 18 milliards au projet d’appui à la promotion de l’emploi des jeunes et des femmes. Cette action entre dans le cadre de la politique d’emploi initiée par le gouvernement. D’ailleurs, le Fongip et le Fonsis s’inscrivent dans ce sillage en tant qu’ils sont des mécanismes de financement pour accompagner la création d’entreprises.
Last but not least, le Programme Sénégal Emergent (PSE) dont l’exécution est imminente laisse présager que dans un proche avenir les difficultés tant économiques que sociales ne seront qu’un mauvais souvenir. Non pas qu’il décline de projets et programmes supposant une bonne gouvernance des finances publiques et une utilisation optimale et efficiente des ressources mobilisatrices mais surtout le fait que le Président ait très tôt compris que la création d’emploi ne doit et ne peut être stimulée que par l’investissement privé et le développement des PME et PMI. Après la longue énumération de ce florilège de réalisations, on peut aisément affirmer que les fallacieuses critiques de l’opposition évoquant à tout bout de champ, le manque ou l’absence de vision, sont désormais frappées de caducité.
Papa Aly Sow
Juriste
Paalysow532@gmail.com
Coordonnateur du Rassemblement des Etudiants Derrière Mansour Faye (REDEM)
Rapporteur de la Commission Formation et Stratégie de l’APR/ Saint-Louis