L’appui multiforme que le Grand Duché de Luxembourg apporte au développement économique et social du Sénégal a permis la réalisation de multiples activités au cours de ces dernières années, a déclaré le ministre sénégalais de l’Economie et des Finances.
Amadou Bâ s’exprimait lors de l’ouverture, lundi à Dakar, de la 10ème session de la commission de partenariat entre le Luxembourg et le Sénégal.
»Notre coopération bilatérale a permis de bâtir, au fil des années, un véritable socle sur lequel repose un partenariat fructueux », a indiqué le ministre.
Ce partenariat entre les deux pays qui se matérialise à travers le programme indicatif de coopération (PIC) qui en est à sa troisième phase (2012-2016), couvre plusieurs domaines notamment la santé, l’éducation et la formation professionnelle, l’eau et l’assainissement.
Ce qui fait dire à M. Bâ que ‘’cette coopération place l’atteinte des Objectifs du millénaire pour le développement (OMD) au centre de nos préoccupations ».
Le ministre s’est par ailleurs félicité qu’au terme d’un important processus caractérisé par une démarche participative, les deux pays sont arrivés à progressivement à mettre en place les dispositifs et outils nécessaires à la consolidation de l’approche programme et de la modalité de l’exécution nationale.
»Cette modalité de livraison de l’aide requiert une forte appropriation des mécanismes convenus d’un commun accord par l’ensemble des acteurs concernés par le PIC 3 », a soutenu le ministre.
Amadou Bâ s’exprimait lors de l’ouverture, lundi à Dakar, de la 10ème session de la commission de partenariat entre le Luxembourg et le Sénégal.
»Notre coopération bilatérale a permis de bâtir, au fil des années, un véritable socle sur lequel repose un partenariat fructueux », a indiqué le ministre.
Ce partenariat entre les deux pays qui se matérialise à travers le programme indicatif de coopération (PIC) qui en est à sa troisième phase (2012-2016), couvre plusieurs domaines notamment la santé, l’éducation et la formation professionnelle, l’eau et l’assainissement.
Ce qui fait dire à M. Bâ que ‘’cette coopération place l’atteinte des Objectifs du millénaire pour le développement (OMD) au centre de nos préoccupations ».
Le ministre s’est par ailleurs félicité qu’au terme d’un important processus caractérisé par une démarche participative, les deux pays sont arrivés à progressivement à mettre en place les dispositifs et outils nécessaires à la consolidation de l’approche programme et de la modalité de l’exécution nationale.
»Cette modalité de livraison de l’aide requiert une forte appropriation des mécanismes convenus d’un commun accord par l’ensemble des acteurs concernés par le PIC 3 », a soutenu le ministre.
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