Le Sénégal est dans une dynamique d’émergence porteuse d’un mieux-être social basé sur des performances économiques retentissantes. Cette trajectoire sera maintenue, renforcée et accentuée, pour permettre à notre pays de bâtir une croissance vigoureuse, durable et partagée. Mon ambition pour le Sénégal reste l’avènement d’un Etat de droit et d’une économie solidaire, de progrès social pour le bonheur de tous.
Plus qu’une séquence temporelle, certes déterminante dans la déclinaison des actions du pouvoir, la période 2012-2017 nous a permis de franchir des étapes fondamentales dans la transformation de notre pays qui, pendant longtemps, a subi les contraintes d’une conjoncture sociopolitique pas toujours favorable.
De mon programme fondamental, Yoonu Yokkuté, qui a tracé les sillons d’une nouvelle orientation économique assise sur une vision politique claire et un programme cohérent, le Plan Sénégal Emergent (PSE) devenu le référentiel unique des politiques publiques, que de chemin parcouru dans notre marche résolue vers l’émergence. Décliné autour de trois axes majeurs : «Transformation structurelle de l’économie et croissance» ; «Capital humain, protection sociale et développement durable», «Gouvernance, institutions, paix et sécurité», le Plan Sénégal vise une croissance à fort impact sur le développement humain pour garantir durablement la stabilité économique, politique et sociale.
Ce modèle de développement, qui s’inscrit dans la durée, est actuellement à la base d’une dynamique de croissance à la fois forte, vigoureuse et soutenue. Aujourd’hui, il est heureux de constater que les Sénégalais, dans une très large majorité, ont compris et accompagné le sens des ruptures annoncées à la faveur du choix militant et citoyen du 25 mars 2012 et des réformes entreprises depuis lors, pour consolider la démocratie et l’Etat de droit, renforcer les libertés publiques et individuelles, moderniser l’administration, améliorer l’environnement des affaires, créer une croissance forte, durable et inclusive, et repositionner le Sénégal sur la scène internationale.
Le financement du développement intègre deux aspects primordiaux : la mobilisation en priorité des ressources internes et le recours ultime aux ressources extérieures, en veillant à la viabilité et la soutenabilité de la dette. Pour la première fois, le budget du Sénégal a franchi le cap des 3000 Milliards FCFA en 2016? alors qu’il tournait autour de 2344 milliards de FCFA en 2012.
Cette progression est le reflet des gains budgétaires considérables obtenus grâce à la réforme du Code général des impôts en 2013, l’élargissement de l’assiette fiscale et la consolidation de la compétitivité locale. Cette dynamique a permis de restaurer la confiance des partenaires, qui ont choisi d’accompagner le financement du Plan Sénégal Emergent (PSE).
Faut-il le rappeler, la septième réunion du Groupe consultatif du Sénégal à Paris avait administré la preuve que le Sénégal demeurait une destination de choix des investisseurs étrangers. Les impressionnantes découvertes de gaz et de pétrole dans notre bassin sédimentaire, viennent renforcer notre capacité de financement du développement et ouvrent de nouvelles perspectives pour les générations présentes et futures.
Aujourd’hui, le temps des urgences a cédé la place au temps des opportunités et au temps de l’action. Les jalons pour arriver à un Sénégal émergent à l’horizon 2035, sont posés. Mieux, le bilan d’étape ressorti à travers ce livre blanc, est plus que rassurant ; il est même élogieux. Ce bilan d’étape qui cristallise tous les enjeux d’un développement centré sur la satisfaction de la demande sociale, est assez illustratif de mon sentiment de satisfaction du travail jusque-là accompli. J’ai en effet fait le choix du renouveau productif et infrastructurel, pour bâtir un Sénégal des possibilités.
J’ai la conviction que les infrastructures stimulent la croissance et rétablissent l’équité territoriale, qui est au cœur des ambitieux programmes déclinés, à travers notamment, le PUDC, le PROMOVILLES, le PUMA, les Bourses de sécurité familiale, la Couverture maladie universelle, le Programme de modernisation des cités religieuses. Ces acquis obtenus en si peu de temps nous exhortent à maintenir le cap et garder espoir d’un lendemain bien meilleur car, ce processus déclenché par le PSE est irréversible en ce sens qu’il porte en lui-même, les germes de sa consolidation.
Pour les deux prochaines années, ma priorité réside dans la consolidation des acquis de cette gouvernance qui tourne essentiellement autour d’un développement inclusif et solidaire. Car, le PSE doit être une passerelle pour permettre aux générations futures de résorber le gap entrepreneurial afin d’entrer de plain-pied dans le temps du développement. Je l’ai rappelé lors de mon adresse à la Nation du 3 avril 2017 : « Mon devoir, celui du Gouvernement, est de rester dans le temps de l’action, pour répondre aux aspirations légitimes de tous à une vie meilleure »
Son Excellence Monsieur Macky SALL, Président de la République
Plus qu’une séquence temporelle, certes déterminante dans la déclinaison des actions du pouvoir, la période 2012-2017 nous a permis de franchir des étapes fondamentales dans la transformation de notre pays qui, pendant longtemps, a subi les contraintes d’une conjoncture sociopolitique pas toujours favorable.
De mon programme fondamental, Yoonu Yokkuté, qui a tracé les sillons d’une nouvelle orientation économique assise sur une vision politique claire et un programme cohérent, le Plan Sénégal Emergent (PSE) devenu le référentiel unique des politiques publiques, que de chemin parcouru dans notre marche résolue vers l’émergence. Décliné autour de trois axes majeurs : «Transformation structurelle de l’économie et croissance» ; «Capital humain, protection sociale et développement durable», «Gouvernance, institutions, paix et sécurité», le Plan Sénégal vise une croissance à fort impact sur le développement humain pour garantir durablement la stabilité économique, politique et sociale.
Ce modèle de développement, qui s’inscrit dans la durée, est actuellement à la base d’une dynamique de croissance à la fois forte, vigoureuse et soutenue. Aujourd’hui, il est heureux de constater que les Sénégalais, dans une très large majorité, ont compris et accompagné le sens des ruptures annoncées à la faveur du choix militant et citoyen du 25 mars 2012 et des réformes entreprises depuis lors, pour consolider la démocratie et l’Etat de droit, renforcer les libertés publiques et individuelles, moderniser l’administration, améliorer l’environnement des affaires, créer une croissance forte, durable et inclusive, et repositionner le Sénégal sur la scène internationale.
Le financement du développement intègre deux aspects primordiaux : la mobilisation en priorité des ressources internes et le recours ultime aux ressources extérieures, en veillant à la viabilité et la soutenabilité de la dette. Pour la première fois, le budget du Sénégal a franchi le cap des 3000 Milliards FCFA en 2016? alors qu’il tournait autour de 2344 milliards de FCFA en 2012.
Cette progression est le reflet des gains budgétaires considérables obtenus grâce à la réforme du Code général des impôts en 2013, l’élargissement de l’assiette fiscale et la consolidation de la compétitivité locale. Cette dynamique a permis de restaurer la confiance des partenaires, qui ont choisi d’accompagner le financement du Plan Sénégal Emergent (PSE).
Faut-il le rappeler, la septième réunion du Groupe consultatif du Sénégal à Paris avait administré la preuve que le Sénégal demeurait une destination de choix des investisseurs étrangers. Les impressionnantes découvertes de gaz et de pétrole dans notre bassin sédimentaire, viennent renforcer notre capacité de financement du développement et ouvrent de nouvelles perspectives pour les générations présentes et futures.
Aujourd’hui, le temps des urgences a cédé la place au temps des opportunités et au temps de l’action. Les jalons pour arriver à un Sénégal émergent à l’horizon 2035, sont posés. Mieux, le bilan d’étape ressorti à travers ce livre blanc, est plus que rassurant ; il est même élogieux. Ce bilan d’étape qui cristallise tous les enjeux d’un développement centré sur la satisfaction de la demande sociale, est assez illustratif de mon sentiment de satisfaction du travail jusque-là accompli. J’ai en effet fait le choix du renouveau productif et infrastructurel, pour bâtir un Sénégal des possibilités.
J’ai la conviction que les infrastructures stimulent la croissance et rétablissent l’équité territoriale, qui est au cœur des ambitieux programmes déclinés, à travers notamment, le PUDC, le PROMOVILLES, le PUMA, les Bourses de sécurité familiale, la Couverture maladie universelle, le Programme de modernisation des cités religieuses. Ces acquis obtenus en si peu de temps nous exhortent à maintenir le cap et garder espoir d’un lendemain bien meilleur car, ce processus déclenché par le PSE est irréversible en ce sens qu’il porte en lui-même, les germes de sa consolidation.
Pour les deux prochaines années, ma priorité réside dans la consolidation des acquis de cette gouvernance qui tourne essentiellement autour d’un développement inclusif et solidaire. Car, le PSE doit être une passerelle pour permettre aux générations futures de résorber le gap entrepreneurial afin d’entrer de plain-pied dans le temps du développement. Je l’ai rappelé lors de mon adresse à la Nation du 3 avril 2017 : « Mon devoir, celui du Gouvernement, est de rester dans le temps de l’action, pour répondre aux aspirations légitimes de tous à une vie meilleure »
Son Excellence Monsieur Macky SALL, Président de la République