Dans un rapport produit par la division des études prévention des conflits et analyse des risques(ISS en angalis) au bureau de Dakar, avec l'appui des autres membres de la division basés à Addis Abéba, Nairobi et Pretoria, «le Sénégal n'est pas totalement à l'abri d'une propagande djihadiste" .
Le document vise à "fournir aux décideurs de la communauté économique des Etats de l'Afrique de l'ouest (cedeao) des analyses sur les questions de l'heures en matière de sécurité humaine dans la région".
Le rapport souligne "le caractère transnational des acteurs, la porosité des frontières ainsi que la réduction de l'espace par les moyens de communication semble favoriser l’expansion du phénomène djihadiste dans la sous région ouest-africaine"
S'agissant du Sénégal, il est noté dans le rapport que " le rempart que constitueraient les marabouts et les confréries ne peut plus convaincre en raison de la contestation dont elles font l'objet en leur sein même et fait de fragmentation de l'autorité des califes, de l'existence de groupes situés en leurs périphéries, composés d'éléments quasiment embrigadés sous l'égide de chef charismatique(...)".
"L'Etat du Sénégal n'aurait qu'une emprise limité sur l'évolution de la situation», vu les limites des services de renseignement, note le rapport.
Le document note également une dualité du système éducatif Sénégalais dans sa forme actuelle pourrait générer dans les prochaines décennies.»
"Il est urgent de rétablir l'équilibre nécessaire et surtout d'affirmer une présence et une maitrise de l'Etat sur les questions aussi sensibles que le contrôle de moyen de transmission du savoir et de socialisation" estiment les spécialistes.
Le document vise à "fournir aux décideurs de la communauté économique des Etats de l'Afrique de l'ouest (cedeao) des analyses sur les questions de l'heures en matière de sécurité humaine dans la région".
Le rapport souligne "le caractère transnational des acteurs, la porosité des frontières ainsi que la réduction de l'espace par les moyens de communication semble favoriser l’expansion du phénomène djihadiste dans la sous région ouest-africaine"
S'agissant du Sénégal, il est noté dans le rapport que " le rempart que constitueraient les marabouts et les confréries ne peut plus convaincre en raison de la contestation dont elles font l'objet en leur sein même et fait de fragmentation de l'autorité des califes, de l'existence de groupes situés en leurs périphéries, composés d'éléments quasiment embrigadés sous l'égide de chef charismatique(...)".
"L'Etat du Sénégal n'aurait qu'une emprise limité sur l'évolution de la situation», vu les limites des services de renseignement, note le rapport.
Le document note également une dualité du système éducatif Sénégalais dans sa forme actuelle pourrait générer dans les prochaines décennies.»
"Il est urgent de rétablir l'équilibre nécessaire et surtout d'affirmer une présence et une maitrise de l'Etat sur les questions aussi sensibles que le contrôle de moyen de transmission du savoir et de socialisation" estiment les spécialistes.