Le mouvement d’humeur des travailleurs de la Justice s’intensifie. Les syndicalistes exigent la démission d’Aïssata Tall Sall de ses fonctions de Garde des Sceaux, ministre de la Justice, en raison de son échec dans la gestion du ministère de la Justice. En effet, selon le Syndicat des Travailleurs de la Justice (SYTJUST), la ministre a fini de prouver son incapacité à faire fonctionner correctement le service public de la Justice, relate "L'As".
A l’en croire, celle-ci est paralysée depuis son arrivée à la chancellerie. Les syndicalistes soutiennent qu’elle a fini de convaincre qu’elle n’a pas l’envergure d’un Garde des Sceaux, ministre de la Justice. Son magistère est une totale déception pour les usagers du service public de la Justice, les justiciables et les travailleurs de la justice.
Ce qui leur fait particulièrement mal, c’est que Aïssata Tall Sall, jusqu’à ce jour, n’a pris en charge aucune des doléances que le SYTJUST lui avait soumises lors de ses rencontres avec les plénipotentiaires du syndicat, le 15 novembre 2023 et le 2 février 2024.
C’est la preuve qu’elle ne se préoccupe guère du fonctionnement du service public de la Justice, déplorent-ils. Par conséquent, le SYTJUST continue la lutte, en décrétant une grève de 72 heures, les lundi 18, mardi 19 et mercredi 20 mars 2024, pour exiger la rectification des falsifications portées par les juristes du ministère de la Fonction publique, sur les deux projets de décrets que le gouvernement avait adoptés lors du Conseil des ministres du 25 juillet 2018.
A l’en croire, celle-ci est paralysée depuis son arrivée à la chancellerie. Les syndicalistes soutiennent qu’elle a fini de convaincre qu’elle n’a pas l’envergure d’un Garde des Sceaux, ministre de la Justice. Son magistère est une totale déception pour les usagers du service public de la Justice, les justiciables et les travailleurs de la justice.
Ce qui leur fait particulièrement mal, c’est que Aïssata Tall Sall, jusqu’à ce jour, n’a pris en charge aucune des doléances que le SYTJUST lui avait soumises lors de ses rencontres avec les plénipotentiaires du syndicat, le 15 novembre 2023 et le 2 février 2024.
C’est la preuve qu’elle ne se préoccupe guère du fonctionnement du service public de la Justice, déplorent-ils. Par conséquent, le SYTJUST continue la lutte, en décrétant une grève de 72 heures, les lundi 18, mardi 19 et mercredi 20 mars 2024, pour exiger la rectification des falsifications portées par les juristes du ministère de la Fonction publique, sur les deux projets de décrets que le gouvernement avait adoptés lors du Conseil des ministres du 25 juillet 2018.