’’Le SYTJUSYT (...) a décidé de dérouler son 5ème plan d’action (...) et si cela n’est pas suffisant, nous irons vers une grève illimitée’’, a dit son secrétaire général, Me El Hadji Haya Boun Malick Diop, lors d’un point de presse.
’’Nous sommes en grève pour protester contre le nom respect des engagements que le gouvernement a pris avec le SYTJUST, le 8 août dernier’’, a-t-il rappelé.
Il a déploré le sort réservé à tout ce que le gouvernement avait pris comme engagements par les techniciens qui siègent dans des commissions susceptibles de produire les conclusions du projet des statuts que le ministère de la Justice avait établi.
Il a indiqué que le SYJUST est en train d’être entraîné "dans un dilatoire" à tel point que "le délai imparti du 29 août est largement dépassé, nous mettant ainsi dans un retard de 2 mois’’.
Il a rappelé que ces réformes vont dans le sens d’améliorer la qualité du service public de la Justice qui, a-t-il fait remarquer, est ’’très sensible’’, car étant ’’la clé de voûte d’un Etat de droit (...)’’.
’’Le secteur de la Justice ne peut exister si on ne met pas les travailleurs de la justice dans des bonnes conditions’’, a-t-il estimé.
Les mauvaises conditions de travail, a-t-il affirmé, sont à la base des départs de plusieurs greffiers dont environ 40 démissions enregistrées en moins de 5 ans.
’’Nous sommes en grève pour protester contre le nom respect des engagements que le gouvernement a pris avec le SYTJUST, le 8 août dernier’’, a-t-il rappelé.
Il a déploré le sort réservé à tout ce que le gouvernement avait pris comme engagements par les techniciens qui siègent dans des commissions susceptibles de produire les conclusions du projet des statuts que le ministère de la Justice avait établi.
Il a indiqué que le SYJUST est en train d’être entraîné "dans un dilatoire" à tel point que "le délai imparti du 29 août est largement dépassé, nous mettant ainsi dans un retard de 2 mois’’.
Il a rappelé que ces réformes vont dans le sens d’améliorer la qualité du service public de la Justice qui, a-t-il fait remarquer, est ’’très sensible’’, car étant ’’la clé de voûte d’un Etat de droit (...)’’.
’’Le secteur de la Justice ne peut exister si on ne met pas les travailleurs de la justice dans des bonnes conditions’’, a-t-il estimé.
Les mauvaises conditions de travail, a-t-il affirmé, sont à la base des départs de plusieurs greffiers dont environ 40 démissions enregistrées en moins de 5 ans.