Le Respect de la justice par Ousmane Sonko constitue en amont les bases du Respect de l'État de Droit : La cour suprême a l’opportunité de restaurer l’autorité de l’État ce 17 Novembre 2023.
( par Abdoulaye Mamadou GUISSE )
Pape Alé Niang le symbole du journalisme alimentaire évoque inconsciemment le respect des dispositions légales, en particulier l'article 307 du code de la procédure pénale dans sa violation outrageuse de la décision de la cour suprême sur le dossier pendant de celui qui prédit sans ambages: « Si la juste me convoque, je ne vais pas répondre ».
Ce même Ousmane Sonko arrêté pour divers chefs de délits et crimes conséquences graves de ses propres paroles suivies d’actes criminels dont il est et reste l’instigateur suprême a t-il un seul droit dans un État de droit et dans une cour suprême ?.
Malgré tout l’État de droit fragilisé en amont par Ousmane Sonko et son projet macabre, terroriste découlant des appels au mortel combat et des morts qui s’en suivirent mérite t-il le respect par la cour suprême ?????
Dans le Respect de l'État de Droit , un tel Appel à la Cour Suprême du Sénégal de Pape alé Niang n’a aucun avenir dans l’immédiat et au-delà du 17 Novembre 2023.
Par simplement aucune controverse n’a entouré la radiation de Ousmane Sonko des listes électorales au Sénégal et encore moins soulevé des questions cruciales quant au respect des dispositions légales, en particulier l'article 307 du code de la procédure pénale:
En effet il s’agit tout court d’une administration caduque depuis quatorze années et dont la dissolution a été réclamée par Ousmane sonko lui même et cie appelée Comission Électorale Nationale Autonome ( CENA).
Finalement le président de la république du Sénégal soucieux d’une Élection présidentielle transparente et respectueux de la constitution par son renoncement à un second quinquennat a finalement par décret répondu au communiqué de notre parti politique Fulla Ak Fayda réclamant la fin du president retraité à la tête de la CENA .
Le débat universitaire n’aura aucun écho ni résonnement monsieur le journaliste alimentaire Pape Alé Niang depuis que Ousmane Sonko a brûlé la mémoire de l’université Cheikh Anta Diop aux rythmes et chants funéraires de la casamance séparatiste portée par le projet Pastef .
Pour rappel ,l’administration Sénégalaise symbolisait et centralisait l’excellence avant la naissance et l’arrivée sur le champ noble de l’art de gérer la cité, cette pollution qui a pour nom : Le juge Sabassy Faye , le capitaine touré , le procureur Ndao ect ….
La presse Polluée ne demeure pas en reste .
L’impératif aujourd’hui monsieur Pape
Pape Alé Niang est que cette institution agisse dans le strict respect de la restauration de l’autorité de l’État seule garante des dispositions de l'article 307 du code de la procédure pénale.
Or cet autorité a été fragilisée et anéantie pour la première fois dans la jeune histoire politique sénégalaise par votre mentor Ousmane Sonko.
Bien sûr que l'article 307, en tant que pierre angulaire du système juridique, exige une application juste et impartiale, mais comment y arrive si nous refusons tous de répondre à la convocation de notre justice ?
Ne pas répondre à la justice est une violation qui compromet non seulement la légitimité des processus judiciaires, mais également l'intégrité du système électoral et constitutionnel .
Monsieur Pape Alé Niang , certes le respect de l'État de Droit est essentiel pour préserver la stabilité démocratique et renforcer la confiance des citoyens dans le système judiciaire, mais nous devons au devoir citoyen d’ exhorter Ousmane Sonko à respecter rigoureusement le plier fondamental d’une société selon Jean Jacques Rousseau dans le contrat social, nous pouvons plaider en contre partie pour une justice équitable et transparente, éloignée de toute influence politique comme le fut dans le cas de votre leader Ousmane Sonko dans son refus de se soumettre citoyennement à la justice de son pays.
Dès lors Il sera impératif que la Cour Suprême du Sénégal, en tant que gardienne de la constitution et ultime arbitre de la justice, fasse preuve d'indépendance et de courage dans cette affaire.
La crédibilité de notre système juridique repose sur la capacité de ses hommes et femmes politiques à agir dans le respect de nos institutions et à préserver l'intégrité de la démocratie.
En concluant,
l'appel pressant est lancé à la Cour Suprême du Sénégal pour qu'elle se lève pour restaurer l’autorité de l’État et punir celui qui refuse de déférer à la convocation de la justice et quelque soit son statut .
Ousmane sonko mérite simplement la prison à perpétuité et non à une interprétation faussée d’avance par les actes qui parlent si fort au futur et à l’exemplarité .
JUSTICE à la place de juste .
Le président
Abdoulaye Mamadou GUISSE
Du parti politique Fulla Ak Fayda
Conseiller spécial du président du conseil économique social et environnemental ( CESE )
( par Abdoulaye Mamadou GUISSE )
Pape Alé Niang le symbole du journalisme alimentaire évoque inconsciemment le respect des dispositions légales, en particulier l'article 307 du code de la procédure pénale dans sa violation outrageuse de la décision de la cour suprême sur le dossier pendant de celui qui prédit sans ambages: « Si la juste me convoque, je ne vais pas répondre ».
Ce même Ousmane Sonko arrêté pour divers chefs de délits et crimes conséquences graves de ses propres paroles suivies d’actes criminels dont il est et reste l’instigateur suprême a t-il un seul droit dans un État de droit et dans une cour suprême ?.
Malgré tout l’État de droit fragilisé en amont par Ousmane Sonko et son projet macabre, terroriste découlant des appels au mortel combat et des morts qui s’en suivirent mérite t-il le respect par la cour suprême ?????
Dans le Respect de l'État de Droit , un tel Appel à la Cour Suprême du Sénégal de Pape alé Niang n’a aucun avenir dans l’immédiat et au-delà du 17 Novembre 2023.
Par simplement aucune controverse n’a entouré la radiation de Ousmane Sonko des listes électorales au Sénégal et encore moins soulevé des questions cruciales quant au respect des dispositions légales, en particulier l'article 307 du code de la procédure pénale:
En effet il s’agit tout court d’une administration caduque depuis quatorze années et dont la dissolution a été réclamée par Ousmane sonko lui même et cie appelée Comission Électorale Nationale Autonome ( CENA).
Finalement le président de la république du Sénégal soucieux d’une Élection présidentielle transparente et respectueux de la constitution par son renoncement à un second quinquennat a finalement par décret répondu au communiqué de notre parti politique Fulla Ak Fayda réclamant la fin du president retraité à la tête de la CENA .
Le débat universitaire n’aura aucun écho ni résonnement monsieur le journaliste alimentaire Pape Alé Niang depuis que Ousmane Sonko a brûlé la mémoire de l’université Cheikh Anta Diop aux rythmes et chants funéraires de la casamance séparatiste portée par le projet Pastef .
Pour rappel ,l’administration Sénégalaise symbolisait et centralisait l’excellence avant la naissance et l’arrivée sur le champ noble de l’art de gérer la cité, cette pollution qui a pour nom : Le juge Sabassy Faye , le capitaine touré , le procureur Ndao ect ….
La presse Polluée ne demeure pas en reste .
L’impératif aujourd’hui monsieur Pape
Pape Alé Niang est que cette institution agisse dans le strict respect de la restauration de l’autorité de l’État seule garante des dispositions de l'article 307 du code de la procédure pénale.
Or cet autorité a été fragilisée et anéantie pour la première fois dans la jeune histoire politique sénégalaise par votre mentor Ousmane Sonko.
Bien sûr que l'article 307, en tant que pierre angulaire du système juridique, exige une application juste et impartiale, mais comment y arrive si nous refusons tous de répondre à la convocation de notre justice ?
Ne pas répondre à la justice est une violation qui compromet non seulement la légitimité des processus judiciaires, mais également l'intégrité du système électoral et constitutionnel .
Monsieur Pape Alé Niang , certes le respect de l'État de Droit est essentiel pour préserver la stabilité démocratique et renforcer la confiance des citoyens dans le système judiciaire, mais nous devons au devoir citoyen d’ exhorter Ousmane Sonko à respecter rigoureusement le plier fondamental d’une société selon Jean Jacques Rousseau dans le contrat social, nous pouvons plaider en contre partie pour une justice équitable et transparente, éloignée de toute influence politique comme le fut dans le cas de votre leader Ousmane Sonko dans son refus de se soumettre citoyennement à la justice de son pays.
Dès lors Il sera impératif que la Cour Suprême du Sénégal, en tant que gardienne de la constitution et ultime arbitre de la justice, fasse preuve d'indépendance et de courage dans cette affaire.
La crédibilité de notre système juridique repose sur la capacité de ses hommes et femmes politiques à agir dans le respect de nos institutions et à préserver l'intégrité de la démocratie.
En concluant,
l'appel pressant est lancé à la Cour Suprême du Sénégal pour qu'elle se lève pour restaurer l’autorité de l’État et punir celui qui refuse de déférer à la convocation de la justice et quelque soit son statut .
Ousmane sonko mérite simplement la prison à perpétuité et non à une interprétation faussée d’avance par les actes qui parlent si fort au futur et à l’exemplarité .
JUSTICE à la place de juste .
Le président
Abdoulaye Mamadou GUISSE
Du parti politique Fulla Ak Fayda
Conseiller spécial du président du conseil économique social et environnemental ( CESE )