A Matam, l’Ambassadeur Mushingi s’est rendu à la frontière avec la Mauritanie pour discuter avec les agents de la douane et de la police des frontières de la circulation des personnes et des biens entre les deux pays et des défis auxquels les responsables de la police de l'immigration sont confrontés. Le poste frontalier de la police de Matam couvre l'immigration le long de la frontière nord du Sénégal, plus précisément la zone entre Kaedi et Bakel. En 2016, le service de sécurité de l’Ambassade des Etats-Unis à Dakar avait fourni à des responsables de l'application des lois du gouvernement du Sénégal une formation sur l'identification de documents de voyage frauduleux, la reconnaissance faciale et la détection des faussaires ; et des outils pour aider à l'identification de documents non authentiques. L’Ambassadeur Mushingi a également rencontré et discuté avec le Commandant de la brigade de Gendarmerie de Matam pour mieux comprendre les défis de la Gendarmerie dans cette région.
Après Matam, la délégation s’est rendue à Ndioum pour une rencontre avec une équipe du Haut-Commissariat des Nations Unies pour les Refugies et une trentaine de représentants des réfugiés mauritaniens qui vivent dans la vallée du fleuve Sénégal depuis 1989. L’Ambassadeur Mushingi a pu se familiariser avec l'histoire et la situation actuelle des réfugiés mauritaniens au Sénégal, la plus grande population de réfugiés du pays. Les réfugiés mauritaniens ont reconnu que le Sénégal reste un pays hospitalier, et qu’ils partagent des liens ethniques et culturels avec leurs hôtes sénégalais. Le Sénégal leur fournit des services de santé publique et d'éducation comme ceux que reçoivent ses propres citoyens. Les réfugiés ont aussi accès à la terre.
A quelques kilomètres de Ndioum, dans le village de Doubangue, l’Ambassadeur Mushingi a inauguré une salle de classe, un bloc sanitaire et un bâtiment administratif construits avec un financement spécial de plus de 7.000.000 FCFA du programme d'auto-assistance de l’Ambassade. Ce financement a également permis de rénover d’anciennes salles de classe, avec une contrepartie de l’association des parents d’élèves de l’école.
L'école primaire de Doubangue a démarré ses enseignements en 1999, mais avec le temps elle est devenue incapable de gérer le nombre croissant d'élèves issus des villages environnants. Certaines classes avaient des élèves assis jusqu'à quatre sur un banc ; cela avait entraîné un mauvais environnement d'apprentissage et un taux d'abandon élevé. Cette salle de classe construite avec le financement américain permettra de soulager aussi bien les élèves que le corps enseignants.
Pour constater de visu les projets financés par le gouvernement américain au Sénégal, l’Ambassadeur Mushingi a visité le centre de traitement des semences de riz à Richard Toll soutenu par l’USAID dans le cadre de son programmeFeed The Future, le périmètre rizicole des femmes de Ross Bethio et la case des Tout-Petits de Lampsar qui bénéficie du programme de nourriture à l’école du département de l’Agriculture américain, McGovern-Dole.
Le centre de traitement des semences de riz à Richard Toll aide à stimuler la capacité du Sénégal à soutenir la croissance exponentielle de sa production de riz. Le centre, et le laboratoire d'essai qu’il abrite, sont un investissement stratégique du programme Feed The Future, à travers le projet Naatal Mbay. Par le biais du projet qui a précédé Naatal Mbay, le Projet Croissance Economique, l'USAID avait financé la construction du laboratoire d'essai de semences et la rénovation et l'agrandissement du centre de test des semences. Cela a stimulé la productivité du centre, qui est passé d'une ligne de base de 2 500 tonnes métriques de graines de riz par an à 6 500 tonnes l'an dernier.
C’est le même projet Naatal Mbay qui appuie l'Union des Femmes Productrices de Ross Bethio, et a permis aux groupements féminins de riz de devenir des petites et moyennes entreprises compétitives dans la vallée du fleuve Sénégal. Elles cultivent actuellement et collectivement 20 hectares de terres et ont créé leur propre marque de riz qu’elles commercialisent dans tout le pays. Ces femmes contribuent également à la réduction du chômage dans la zone puisqu’elles emploient beaucoup de personnes dans leurs périmètres.
A côte de la croissance économique, la sécurité et l’emploi des jeunes, la traite des personnes est une thématique très important pour la mission diplomatique américaine. A cet effet, l’Ambassadeur Mushingi et sa délégation ont rencontré et discuté avec l’adjoint au Gouverneur de Saint-Louis ainsi que le Procureur de la région et l’Imam Ratib de la Grande Mosquée de Saint-Louis, et ont visité la Maison de la Gare.
Ce refuge, créé par M. Issa Kouyaté pour les talibés qui ont fui les daraas pour abus et les autres jeunes à risque, fournit des services (nourriture, soins médicaux et activités éducatives / récréatives) à environ 150 enfants vulnérables. En 2016, M. Kouyaté avait reçu le prix TIP Hero of the Year de l’ex secrétaire d’Etat John Kerry pour ses efforts au sein de cette structure.
L’Ambassadeur Mushingi a pu discuter avec les enfants et les responsables de la Maison de la Gare de la situation de la mendicité à Saint-Louis, des défis et des possibles solutions ainsi que de l’avenir des enfants. Il a partagé avec les bénéficiaires de la Maison un agréable après-midi autour de snacks et de rafraichissements qu’il a tenu à distribuer lui-même. Dans la nuit, la délégation a accompagné les responsables de la Maison de la Gare pour la ronde nocturne qu’ils effectuent deux fois par semaine pour recueillir les enfants qui dorment dans la rue.
Après Matam, la délégation s’est rendue à Ndioum pour une rencontre avec une équipe du Haut-Commissariat des Nations Unies pour les Refugies et une trentaine de représentants des réfugiés mauritaniens qui vivent dans la vallée du fleuve Sénégal depuis 1989. L’Ambassadeur Mushingi a pu se familiariser avec l'histoire et la situation actuelle des réfugiés mauritaniens au Sénégal, la plus grande population de réfugiés du pays. Les réfugiés mauritaniens ont reconnu que le Sénégal reste un pays hospitalier, et qu’ils partagent des liens ethniques et culturels avec leurs hôtes sénégalais. Le Sénégal leur fournit des services de santé publique et d'éducation comme ceux que reçoivent ses propres citoyens. Les réfugiés ont aussi accès à la terre.
A quelques kilomètres de Ndioum, dans le village de Doubangue, l’Ambassadeur Mushingi a inauguré une salle de classe, un bloc sanitaire et un bâtiment administratif construits avec un financement spécial de plus de 7.000.000 FCFA du programme d'auto-assistance de l’Ambassade. Ce financement a également permis de rénover d’anciennes salles de classe, avec une contrepartie de l’association des parents d’élèves de l’école.
L'école primaire de Doubangue a démarré ses enseignements en 1999, mais avec le temps elle est devenue incapable de gérer le nombre croissant d'élèves issus des villages environnants. Certaines classes avaient des élèves assis jusqu'à quatre sur un banc ; cela avait entraîné un mauvais environnement d'apprentissage et un taux d'abandon élevé. Cette salle de classe construite avec le financement américain permettra de soulager aussi bien les élèves que le corps enseignants.
Pour constater de visu les projets financés par le gouvernement américain au Sénégal, l’Ambassadeur Mushingi a visité le centre de traitement des semences de riz à Richard Toll soutenu par l’USAID dans le cadre de son programmeFeed The Future, le périmètre rizicole des femmes de Ross Bethio et la case des Tout-Petits de Lampsar qui bénéficie du programme de nourriture à l’école du département de l’Agriculture américain, McGovern-Dole.
Le centre de traitement des semences de riz à Richard Toll aide à stimuler la capacité du Sénégal à soutenir la croissance exponentielle de sa production de riz. Le centre, et le laboratoire d'essai qu’il abrite, sont un investissement stratégique du programme Feed The Future, à travers le projet Naatal Mbay. Par le biais du projet qui a précédé Naatal Mbay, le Projet Croissance Economique, l'USAID avait financé la construction du laboratoire d'essai de semences et la rénovation et l'agrandissement du centre de test des semences. Cela a stimulé la productivité du centre, qui est passé d'une ligne de base de 2 500 tonnes métriques de graines de riz par an à 6 500 tonnes l'an dernier.
C’est le même projet Naatal Mbay qui appuie l'Union des Femmes Productrices de Ross Bethio, et a permis aux groupements féminins de riz de devenir des petites et moyennes entreprises compétitives dans la vallée du fleuve Sénégal. Elles cultivent actuellement et collectivement 20 hectares de terres et ont créé leur propre marque de riz qu’elles commercialisent dans tout le pays. Ces femmes contribuent également à la réduction du chômage dans la zone puisqu’elles emploient beaucoup de personnes dans leurs périmètres.
A côte de la croissance économique, la sécurité et l’emploi des jeunes, la traite des personnes est une thématique très important pour la mission diplomatique américaine. A cet effet, l’Ambassadeur Mushingi et sa délégation ont rencontré et discuté avec l’adjoint au Gouverneur de Saint-Louis ainsi que le Procureur de la région et l’Imam Ratib de la Grande Mosquée de Saint-Louis, et ont visité la Maison de la Gare.
Ce refuge, créé par M. Issa Kouyaté pour les talibés qui ont fui les daraas pour abus et les autres jeunes à risque, fournit des services (nourriture, soins médicaux et activités éducatives / récréatives) à environ 150 enfants vulnérables. En 2016, M. Kouyaté avait reçu le prix TIP Hero of the Year de l’ex secrétaire d’Etat John Kerry pour ses efforts au sein de cette structure.
L’Ambassadeur Mushingi a pu discuter avec les enfants et les responsables de la Maison de la Gare de la situation de la mendicité à Saint-Louis, des défis et des possibles solutions ainsi que de l’avenir des enfants. Il a partagé avec les bénéficiaires de la Maison un agréable après-midi autour de snacks et de rafraichissements qu’il a tenu à distribuer lui-même. Dans la nuit, la délégation a accompagné les responsables de la Maison de la Gare pour la ronde nocturne qu’ils effectuent deux fois par semaine pour recueillir les enfants qui dorment dans la rue.