Dans le département de Podor, c’est pratiquement dans toutes les localités, que la pluie n’a pas été au rendez-vous. En effet, rares sont les villages, hameaux et bourgades qui ont été arrosés cette année. Conséquences de ce déficit pluviométrique, dans plusieurs localités du département, faute d’une pluviométrie abondante, l’exploitation des cultures qui permettait aux populations de vivre, a été aussi un véritable échec chez les paysans de la zone, ainsi que dans presque toute la vallée du fleuve.
Dans les villages, les paysans pour leur survie, se sont permis de valoriser quelques petites portions de terres appelées culture de décrue. Des cultures qui se font très souvent sur les berges du fleuve Sénégal. Là aussi, rares sont ceux-là qui se sont retrouvés avec de bonnes parcelles et de bons rendements vivriers.
Ces exploitations appelées «palé» où l’on y sème de la patate douce, du maïs, du gombo, des haricots et tomates, en cette période de récolte, ne présage pas d’un bon mieux être chez ces paysans. Des centaines de familles qui ne comptaient que sur cette culture de décrue, sont aujourd’hui dans la désolation. Le mil sorgho aussi tant convoité par les paysans qui remplissaient les greniers pendant une période de plusieurs mois n’a pas produit les résultats attendus lors de sa culture, renseigne un agent agricole.
Ce dernier interpelle les autorités pour qu’elles puissent prendre les devants pour parer à toute éventualité. Car selon ce dernier, il est véritablement à craindre des moments et lendemains incertains voire très difficiles pour les ménages. Ce sera une véritable période de soudure à laquelle on pourrait assister sous peu de temps. Donnant une exploitation à cette nouvelle donne, l’agent agricole de laisser entendre, que c’est parce que cette année beaucoup de zones qui devaient être inondées ne l’ont pas été. Et forcément, cela a eu comme conséquences et autres répercussions, la non valorisation de plusieurs hectares de terres qui permettaient aux populations des zones de mieux vivre.
Ce sont tous les quatre arrondissements de Saldé, Thillé Boubacar, Cas-cas et de Gamadji Saré qui ont été victimes et impactés par cette situation. Une situation extrêmement difficile voire dangereuse pour les jours à venir. Et selon d’ailleurs O. Hanne, un agriculteur situé dans la zone du Walo appelée l’Ile à Morphil, de nombreux paysans ont été victimes de ce désagrément pluviométrique.
Selon notre interlocuteur, les rares parcelles que les paysans ont exploitées, n’ont pas donné le rendement attendu. C’est pourquoi, les présidents de groupement de promotions, producteurs, exploitants familiaux ont tous invité les autorités à préconiser des mesures d’accompagnement pour éviter le pire dans bon nombre de foyers. Raporte Vipeoples .
Dans les villages, les paysans pour leur survie, se sont permis de valoriser quelques petites portions de terres appelées culture de décrue. Des cultures qui se font très souvent sur les berges du fleuve Sénégal. Là aussi, rares sont ceux-là qui se sont retrouvés avec de bonnes parcelles et de bons rendements vivriers.
Ces exploitations appelées «palé» où l’on y sème de la patate douce, du maïs, du gombo, des haricots et tomates, en cette période de récolte, ne présage pas d’un bon mieux être chez ces paysans. Des centaines de familles qui ne comptaient que sur cette culture de décrue, sont aujourd’hui dans la désolation. Le mil sorgho aussi tant convoité par les paysans qui remplissaient les greniers pendant une période de plusieurs mois n’a pas produit les résultats attendus lors de sa culture, renseigne un agent agricole.
Ce dernier interpelle les autorités pour qu’elles puissent prendre les devants pour parer à toute éventualité. Car selon ce dernier, il est véritablement à craindre des moments et lendemains incertains voire très difficiles pour les ménages. Ce sera une véritable période de soudure à laquelle on pourrait assister sous peu de temps. Donnant une exploitation à cette nouvelle donne, l’agent agricole de laisser entendre, que c’est parce que cette année beaucoup de zones qui devaient être inondées ne l’ont pas été. Et forcément, cela a eu comme conséquences et autres répercussions, la non valorisation de plusieurs hectares de terres qui permettaient aux populations des zones de mieux vivre.
Ce sont tous les quatre arrondissements de Saldé, Thillé Boubacar, Cas-cas et de Gamadji Saré qui ont été victimes et impactés par cette situation. Une situation extrêmement difficile voire dangereuse pour les jours à venir. Et selon d’ailleurs O. Hanne, un agriculteur situé dans la zone du Walo appelée l’Ile à Morphil, de nombreux paysans ont été victimes de ce désagrément pluviométrique.
Selon notre interlocuteur, les rares parcelles que les paysans ont exploitées, n’ont pas donné le rendement attendu. C’est pourquoi, les présidents de groupement de promotions, producteurs, exploitants familiaux ont tous invité les autorités à préconiser des mesures d’accompagnement pour éviter le pire dans bon nombre de foyers. Raporte Vipeoples .