Le bras de fer opposant le Directeur général du Café de Rome à certains de ses employés traînés en justice, est loin de connaitre son épilogue. Le tribunal correctionnel de Dakar, qui devait rendre son délibéré hier, l’a rabattu et renvoyé l’affaire au 24 juillet prochain à la demande du conseil du DG.
Michel Michelon est attrait à la barre pour dénonciation calomnieuse. La dame Marie Niang l’a traîné en justice, suite à la confirmation de sa relaxe par la Cour d’appel de Dakar, le 9 janvier dernier. Elle réclame 100 millions de francs Cfa pour laver son honneur. En fait, la plaignante fait partie des 13 employés qui avaient été poursuivis pour les faits d’association de malfaiteurs et d’abus de confiance. Ils avaient été tous placés sous mandat de dépôt avant d’être libérés après leur relaxe par le tribunal de Dakar, en novembre 2016.
Seulement, il y a eu retournement de situation, puisque le parquet qui avait pourtant requis la relaxe, avait fait appel, ainsi que la partie civile. Lors du procès en appel, le parquet général avait requis l’infirmation et la disqualification des faits en vol en réunion commis au préjudice de l’employeur. Il avait requis 1 an assorti du sursis contre tous les prévenus à l’exception de deux d’entre eux. Dans son verdict, la Cour d’appel a reconnu certains employés coupables et les a condamnés à 2 ans assortis du sursis. En revanche, la relaxe avait été confirmée pour d’autres dont Marie Niang qui a initié cette procédure.
Enquête
Michel Michelon est attrait à la barre pour dénonciation calomnieuse. La dame Marie Niang l’a traîné en justice, suite à la confirmation de sa relaxe par la Cour d’appel de Dakar, le 9 janvier dernier. Elle réclame 100 millions de francs Cfa pour laver son honneur. En fait, la plaignante fait partie des 13 employés qui avaient été poursuivis pour les faits d’association de malfaiteurs et d’abus de confiance. Ils avaient été tous placés sous mandat de dépôt avant d’être libérés après leur relaxe par le tribunal de Dakar, en novembre 2016.
Seulement, il y a eu retournement de situation, puisque le parquet qui avait pourtant requis la relaxe, avait fait appel, ainsi que la partie civile. Lors du procès en appel, le parquet général avait requis l’infirmation et la disqualification des faits en vol en réunion commis au préjudice de l’employeur. Il avait requis 1 an assorti du sursis contre tous les prévenus à l’exception de deux d’entre eux. Dans son verdict, la Cour d’appel a reconnu certains employés coupables et les a condamnés à 2 ans assortis du sursis. En revanche, la relaxe avait été confirmée pour d’autres dont Marie Niang qui a initié cette procédure.
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