En rouge : la frontière du Mali, du Niger, du Bénin et du Togo, les régions du Sahel, du nord et de l’est.
Cette nouvelle carte d’évaluation des risques illustre la dégradation sécuritaire dans le pays.
À Ouagadougou, une source proche du pouvoir juge « discourtoise » cette manière de procéder. « Cela contribue à instaurer dans notre pays, un climat de psychose », estime cette source à la Radio France Internationale.
«Ouagadougou en orange… mais toutes les capitales du monde sont soumises aujourd’hui au risque terroriste, à moins que ce soit juste pour légitimer son intervention», s’exclame toujours la même source.
Et de conclure : «C’est dommage de voir que les personnes qui travaillent avec nous contribuent à nous discréditer.»
Le 15 novembre 2019, l’Etat-major burkinabè a mis en garde, dans un courrier l’aviation française contre le survol de son espace aérien. Il a interpellé la France sur la présence d’engins volant dans son espace aérien.
Depuis le début de l’année 2015, les attaques attribuées aux groupes djihadistes, certains affiliés à Al-Qaïda, d’autres au mouvement Etat islamique, ont fait près de 700 morts au Burkina Faso, selon le comptage de l’Agence France Presse.
Cette nouvelle carte d’évaluation des risques illustre la dégradation sécuritaire dans le pays.
À Ouagadougou, une source proche du pouvoir juge « discourtoise » cette manière de procéder. « Cela contribue à instaurer dans notre pays, un climat de psychose », estime cette source à la Radio France Internationale.
«Ouagadougou en orange… mais toutes les capitales du monde sont soumises aujourd’hui au risque terroriste, à moins que ce soit juste pour légitimer son intervention», s’exclame toujours la même source.
Et de conclure : «C’est dommage de voir que les personnes qui travaillent avec nous contribuent à nous discréditer.»
Le 15 novembre 2019, l’Etat-major burkinabè a mis en garde, dans un courrier l’aviation française contre le survol de son espace aérien. Il a interpellé la France sur la présence d’engins volant dans son espace aérien.
Depuis le début de l’année 2015, les attaques attribuées aux groupes djihadistes, certains affiliés à Al-Qaïda, d’autres au mouvement Etat islamique, ont fait près de 700 morts au Burkina Faso, selon le comptage de l’Agence France Presse.