« Je me contrefous d’entrer dans l’histoire, ce qui m’importe, c’est de me qualifier. »
Quelques heures après avoir prononcé ces mots en avant-match, Luis Enrique se ravise et passe, bon gré mal gré, à la postérité. L’histoire, celle en majuscule, l’entraîneur asturien y entre de plain-pied après cette "remontada"de l’impossible face à des Parisiens décontenancés.
Jamais la Coupe d’Europe n’avait connu un tel renversement de situation après une débâcle de 4-0 à l’aller. Une soirée des premières, donc, pour le FC Barcelone qui se construit un nouveau monument.
Bientôt, aux côtés des cinq Ligues des champions et quelque 24 championnats qu’abritent les arcanes du Camp Nou, cette nuit du 7 mars 2017 aura une place de choix dans le panthéon blaugrana.
Car après avoir bâti ses innombrables succès sur une philosophie presque dogmatique, le Barça peut désormais ériger cette nuit épique comme un symbole de persévérance et de foi. À l’instar du Real Madrid, les Culés sont également des faiseurs de miracle.
So foot
Quelques heures après avoir prononcé ces mots en avant-match, Luis Enrique se ravise et passe, bon gré mal gré, à la postérité. L’histoire, celle en majuscule, l’entraîneur asturien y entre de plain-pied après cette "remontada"de l’impossible face à des Parisiens décontenancés.
Jamais la Coupe d’Europe n’avait connu un tel renversement de situation après une débâcle de 4-0 à l’aller. Une soirée des premières, donc, pour le FC Barcelone qui se construit un nouveau monument.
Bientôt, aux côtés des cinq Ligues des champions et quelque 24 championnats qu’abritent les arcanes du Camp Nou, cette nuit du 7 mars 2017 aura une place de choix dans le panthéon blaugrana.
Car après avoir bâti ses innombrables succès sur une philosophie presque dogmatique, le Barça peut désormais ériger cette nuit épique comme un symbole de persévérance et de foi. À l’instar du Real Madrid, les Culés sont également des faiseurs de miracle.
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