« Nous demandons aux autorités de faire de telle sorte que Guadiawaye ne connaisse pas la même situation que Pikine et Rufisque, deux villes paralysées depuis plusieurs mois par les travaux du Ter », a notamment indiqué Mourtala Seck, le président dudit collectif sur la RFM.
Et de poursuivre, « nous demandons que pas le moindre espace ne soit rajouté aux 5 hectares qui doivent abriter la base du BRT. L’autre chose, c’est la situation des impactés. Nous demandons à ce qu’ils soient intégralement dédommagés et payés ».
Et de poursuivre, « nous demandons que pas le moindre espace ne soit rajouté aux 5 hectares qui doivent abriter la base du BRT. L’autre chose, c’est la situation des impactés. Nous demandons à ce qu’ils soient intégralement dédommagés et payés ».