Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la rRecherche, après avoir sillonné le Sénégal pour voir l’état d’avancement des travaux des universités, a fait le bilan de la tournée qui a duré 6 jours. En effet, il renseigne : « C’est un long périple et l’objectif principal, c’est de partager ce qui est en train d’être fait, de constater ce qui est réalisé et terminé, ce qui est en cours de réalisation et de constater là où nous avons des difficultés réelles de terminer tel ou tel projet et que nous puissions réfléchir et trouver les voies et moyens ». « Il m’est même arrivé en cours de temps en temps de m’énerver, de taquiner telle ou telle structure. Ils savent bien que je le fais dans le bon sens et dans le bon esprit », tente-t-il toutefois de justifier ses humeurs lors de cette caravane.
Après avoir visité l’université de Ziguinchor, le Cre de Médina Yoro Foulah, le centre délocalisé et l’espace numérique ouvert (Eno) de Kolda, l’Ufr santé et développement durable et l’Eno de Diourbel, les nouvelles infrastructures de Bambey, de Thiès, de Saint Louis…, le ministre trouve qu’« il y a des inégalités et une sérieuse inégalité entre les instituts d’enseignement supérieure ». Aussi, estime-t-il qu’il faut « faire des efforts nécessaires pour que tous les citoyens Sénégalais, partout où ils se trouvent, aient la même qualité d’enseignement, le même environnement social, qu’ils aient, tout simplement, les mêmes chances ».
Selon le ministre, pour y parvenir, il ne suffit pas de croiser les bras et d’attendre tout du gouvernement ou des enseignants, il faudrait que les étudiants y mettent du leur en laissant de coté le débat politicien et adopter celui politique. « Ne choisissez pas de dire : le ministre, l’université, qu’est ce que vous faites pour nous, ce n’est pas la bonne attitude, il faut les accompagner, en collaboration, en contribution. Parfois, il suffit d’une petite idée pour changer complètement les choses. Ce pays est le nôtre, celui de tous les citoyens », a-t-il recommandé. Et M. Niane d’insister sur l’importance de la synergie de tous les acteurs qui interviennent dans le domaine de l’éducation en manifestant de la meilleure des manières, « c'est-à-dire, en apportant sa propre contribution ». Ce qui va encourager, d'après lui, les autorités, les enseignants qui sont sur place, qui sont allés chercher des financements à l’étranger pour les injecter au sein de l’université ». « Mais cela ne veut pas dire unanimisme, d’ailleurs, l’unanimisme tue l’enseignement supérieur qui est par essence critique. Mais la critique repose toujours sur le constat de ce qui est fait et c’est cela qui est important. Battons nous ensemble joignons nos efforts aux efforts du président de la République. En le faisant, nous allons bâtir quelque chose », assure-t-il.
Après avoir visité l’université de Ziguinchor, le Cre de Médina Yoro Foulah, le centre délocalisé et l’espace numérique ouvert (Eno) de Kolda, l’Ufr santé et développement durable et l’Eno de Diourbel, les nouvelles infrastructures de Bambey, de Thiès, de Saint Louis…, le ministre trouve qu’« il y a des inégalités et une sérieuse inégalité entre les instituts d’enseignement supérieure ». Aussi, estime-t-il qu’il faut « faire des efforts nécessaires pour que tous les citoyens Sénégalais, partout où ils se trouvent, aient la même qualité d’enseignement, le même environnement social, qu’ils aient, tout simplement, les mêmes chances ».
Selon le ministre, pour y parvenir, il ne suffit pas de croiser les bras et d’attendre tout du gouvernement ou des enseignants, il faudrait que les étudiants y mettent du leur en laissant de coté le débat politicien et adopter celui politique. « Ne choisissez pas de dire : le ministre, l’université, qu’est ce que vous faites pour nous, ce n’est pas la bonne attitude, il faut les accompagner, en collaboration, en contribution. Parfois, il suffit d’une petite idée pour changer complètement les choses. Ce pays est le nôtre, celui de tous les citoyens », a-t-il recommandé. Et M. Niane d’insister sur l’importance de la synergie de tous les acteurs qui interviennent dans le domaine de l’éducation en manifestant de la meilleure des manières, « c'est-à-dire, en apportant sa propre contribution ». Ce qui va encourager, d'après lui, les autorités, les enseignants qui sont sur place, qui sont allés chercher des financements à l’étranger pour les injecter au sein de l’université ». « Mais cela ne veut pas dire unanimisme, d’ailleurs, l’unanimisme tue l’enseignement supérieur qui est par essence critique. Mais la critique repose toujours sur le constat de ce qui est fait et c’est cela qui est important. Battons nous ensemble joignons nos efforts aux efforts du président de la République. En le faisant, nous allons bâtir quelque chose », assure-t-il.