Au Sénégal et un peu partout en Afrique de l’ouest, les musulmans s’apprêtent à célébrer la fête la plus importante de l’Islam, l’ Aid el Kabir encore appelée Tabaski ou fête du mouton. Mais au pays de la Téranga, la fête ne sera pas une, comme constaté par KOACI.COM.
S’il en est ainsi c’est parce que, les différentes familles religieuses, qui sont très influentes dans le pays avec des millions de disciples, ne parviennent pas à s’accorder sur une date commune.
En effet, ceux sont communément appelés Ibadou Rahman ainsi que la famille Omarienne, très populaire dans le nord du pays, ont décidé de célébrer la Tabaski ce mardi 21 Août 2018. Alors que les autres familles religieuses à savoir les Tidjanes et les Mourides Mourides vont fêter, elles, l’Aid el Kabir le mercredi 22 Août.
À l’origine de cette division, une interprétation du saint Coran . En effet, certains considèrent que la fête de Tabaski doit toujours être célébrée au lendemain du jour d’Arafat alors d’autres, dans leur interprétation, notent que ce n’est pas une obligation.
Il faut dire que les Sénégalais se sont habitués à deux Tabaski. Mais force est de constater que depuis quelques temps, les écarts dans les interprétations des versets ont été considérablement amoindris.
S’il en est ainsi c’est parce que, les différentes familles religieuses, qui sont très influentes dans le pays avec des millions de disciples, ne parviennent pas à s’accorder sur une date commune.
En effet, ceux sont communément appelés Ibadou Rahman ainsi que la famille Omarienne, très populaire dans le nord du pays, ont décidé de célébrer la Tabaski ce mardi 21 Août 2018. Alors que les autres familles religieuses à savoir les Tidjanes et les Mourides Mourides vont fêter, elles, l’Aid el Kabir le mercredi 22 Août.
À l’origine de cette division, une interprétation du saint Coran . En effet, certains considèrent que la fête de Tabaski doit toujours être célébrée au lendemain du jour d’Arafat alors d’autres, dans leur interprétation, notent que ce n’est pas une obligation.
Il faut dire que les Sénégalais se sont habitués à deux Tabaski. Mais force est de constater que depuis quelques temps, les écarts dans les interprétations des versets ont été considérablement amoindris.