Elle avait une confiance aveugle en sa domestique qui avait comme principale tâche les travaux ménagers et la cuisine. Elle bénéficiait des mêmes droits et privilèges que tous les autres membres de la famille. En effet, elle avait accès à toutes les chambres de la maison où elle était considérée comme une membre de la famille. « A. Ciss était mon bras droit. Elle seule connaissait les coins et les recoins où je gardais mes affaires les plus précieuses. Depuis quatre ans qu’elle travaillait pour moi, je n’avais jamais constaté de choses qui manquaient dans mes affaires » a raconté la victime, Marie Sène, aux enquêteurs.
Puis, un beau jour, elle a commencé à constater la disparition de ses objets de valeur. Et puisque la domestique était la seule à connaitre les endroits où elle gardait ses biens précieux, ses suspicions se sont dirigés vers elle. Surtout qu’elle avait constaté dans le même temps un changement de standing de sa domestique qui se baladait dans la maison avec des portables de luxe et aussi des habits que son salaire ne lui permettait pas d’acquérir.
La goutte de trop a été la disparition de son collier et de ses boucles en or. Quelques jours après, ce sont ses 700 000 FCFA destinés à payer son loyer et la scolarité de ses enfants qui ont été subtilisés. Et curieusement, c’est après ces dernières disparitions que la domestique s’est présentée devant sa patronne pour lui manifester son désir d’arrêter prétextant une exigence de ses parents de la voir retourner au village. N’ayant plus de doute sur l’auteur de ces récurrents vols et pensant que sa domestique était en train d’organiser sa fuite, elle a porté plainte contre elle.
Face aux enquêteurs, la mise en cause a nié les faits qui lui sont reprochés. « Je ne suis pas à l’origine de la disparition de ces objets. Depuis mon enfance, je n’ai jamais volé et ai toujours travaillé pour gagner ma vie », s’est-elle défendue, justifiant son changement de train de vie par les cadeaux que lui faisait son petit ami. Malgré ses dénégations, elle a été arrêtée et déférée au parquet, rapporte Le Témoin.
Puis, un beau jour, elle a commencé à constater la disparition de ses objets de valeur. Et puisque la domestique était la seule à connaitre les endroits où elle gardait ses biens précieux, ses suspicions se sont dirigés vers elle. Surtout qu’elle avait constaté dans le même temps un changement de standing de sa domestique qui se baladait dans la maison avec des portables de luxe et aussi des habits que son salaire ne lui permettait pas d’acquérir.
La goutte de trop a été la disparition de son collier et de ses boucles en or. Quelques jours après, ce sont ses 700 000 FCFA destinés à payer son loyer et la scolarité de ses enfants qui ont été subtilisés. Et curieusement, c’est après ces dernières disparitions que la domestique s’est présentée devant sa patronne pour lui manifester son désir d’arrêter prétextant une exigence de ses parents de la voir retourner au village. N’ayant plus de doute sur l’auteur de ces récurrents vols et pensant que sa domestique était en train d’organiser sa fuite, elle a porté plainte contre elle.
Face aux enquêteurs, la mise en cause a nié les faits qui lui sont reprochés. « Je ne suis pas à l’origine de la disparition de ces objets. Depuis mon enfance, je n’ai jamais volé et ai toujours travaillé pour gagner ma vie », s’est-elle défendue, justifiant son changement de train de vie par les cadeaux que lui faisait son petit ami. Malgré ses dénégations, elle a été arrêtée et déférée au parquet, rapporte Le Témoin.