Nos organisations condamnent plus singulièrement le recours systématique de l’Etat du Sénégal de plus en plus à une forme de justice princière en dehors des institutions judiciaires qu'il a lui-même instituées.
L’Etat reste et demeure un sujet de droit et du droit et il ne saurait être question de sécurité humaine sans un minimum de garanties des droits fondamentaux des citoyens.
Nos organisations appellent l’Etat du Sénégal à ouvrir sans délai des négociations avec les victimes concernées par les 402 Maisons démolies dont 181 Maisons R+1, 132 de Rez de chaussée et autres constructions afin qu’une solution qui répare l’important préjudice subi soit rapidement trouvée.
ONT SIGNE
Maitre Assane Dioma NDIAYE (L.S.D.H.)
Monsieur Aboubacry MBODJI (RADDHO)
Monsieur Seydi GASSAMA (AI/SN)
Madame Fatou JAGNE SENGHOR (ARTICLE19)/Afrique de l’Ouest
Dakar, le 15 juin 2015
L’Etat reste et demeure un sujet de droit et du droit et il ne saurait être question de sécurité humaine sans un minimum de garanties des droits fondamentaux des citoyens.
Nos organisations appellent l’Etat du Sénégal à ouvrir sans délai des négociations avec les victimes concernées par les 402 Maisons démolies dont 181 Maisons R+1, 132 de Rez de chaussée et autres constructions afin qu’une solution qui répare l’important préjudice subi soit rapidement trouvée.
ONT SIGNE
Maitre Assane Dioma NDIAYE (L.S.D.H.)
Monsieur Aboubacry MBODJI (RADDHO)
Monsieur Seydi GASSAMA (AI/SN)
Madame Fatou JAGNE SENGHOR (ARTICLE19)/Afrique de l’Ouest
Dakar, le 15 juin 2015