Reste maintenant l’arrêt qui sera rendu par la Cour suprême. En fait, selon un juriste interpellé, la Cour d’appel ne pouvait que rejeter la demande de Cheikh Yérim Seck, car ordonner sa mise en liberté provisoire, ce serait « présager de la décision qui sera rendue par la Cour suprême ». Le journaliste a été condamné en première instance à trois (3) ans de prison en plus de trois (3) millions F Cfa à payer à la partie civile à titre de dommages et intérêts. Il a ainsi fait appel de la décision.
Cependant, la Cour statuant sur cette affaire, l’a une nouvelle fois reconnu coupable de viol avant de le condamner à deux (2) ans de prison. Les intérêts civils ont par ailleurs été revus à la hausse, car il a été condamné à payer dix (10) millions F Cfa. Non content de cette décision, Cheikh Yérim Seck avait fait un pourvoi en cassation. Mais, avant que l’arrêt de la Cour suprême ne tombe, il introduit une demande de mise en liberté provisoire, rappellent nos confrères. Ses avocats ont argué de la garantie de représentation que présente leur client.
Mais il y a mieux, Cheikh Yérim Seck a proposé de payer intégralement les intérêts civils, mais aussi de déposer sur la table du juge une caution qui sera fixée par ce dernier. Le journaliste avait également attiré l’attention de la Cour sur son état de santé fragile. Selon lui, il a des problèmes de vision et il perd ses dents. Il a également nié les faits de viol pour lesquels il a été condamné. Pour autant, cela n’a pas suffi pour convaincre la Cour d’appel. Cheikh Yérim Seck devra désormais porter ses derniers espoirs de recouvrer la liberté sur la Cour suprême.
Cependant, la Cour statuant sur cette affaire, l’a une nouvelle fois reconnu coupable de viol avant de le condamner à deux (2) ans de prison. Les intérêts civils ont par ailleurs été revus à la hausse, car il a été condamné à payer dix (10) millions F Cfa. Non content de cette décision, Cheikh Yérim Seck avait fait un pourvoi en cassation. Mais, avant que l’arrêt de la Cour suprême ne tombe, il introduit une demande de mise en liberté provisoire, rappellent nos confrères. Ses avocats ont argué de la garantie de représentation que présente leur client.
Mais il y a mieux, Cheikh Yérim Seck a proposé de payer intégralement les intérêts civils, mais aussi de déposer sur la table du juge une caution qui sera fixée par ce dernier. Le journaliste avait également attiré l’attention de la Cour sur son état de santé fragile. Selon lui, il a des problèmes de vision et il perd ses dents. Il a également nié les faits de viol pour lesquels il a été condamné. Pour autant, cela n’a pas suffi pour convaincre la Cour d’appel. Cheikh Yérim Seck devra désormais porter ses derniers espoirs de recouvrer la liberté sur la Cour suprême.