Parmi les partis politiques du Sénégal, rares sont ceux qui structurent leur système de communication. Ce sont souvent les leaders et quelques personnalités du parti qui se mettent en scène, de façon improvisée, pour communiquer sur des actualités de l’heure.
Les sciences de la communication politique (un champ de recherche qui doit encore s’imposer au Sénégal) ont, en outre, pour programme de recherche, les mises en scène du pouvoir et ses stratégies de légitimation, la publicité et le marketing politiques, les influences réciproques du système médiatique et du système politique, et toutes les formes de médiation politique.
L’enjeu communicationnel des activités politiques ne peut se réduire à une approche improviste voire restrictive.
Au Sénégal, nous remarquons que seule la coalition BBY a une cellule de communication dynamique qui fonctionne en période électorale et non électorale.
La cellule de communication de BBY est la seule entité de communication politique sinon la plus visible dont l’influence englobe toutes les activités de communication liées aux détenteurs du pouvoir et à ceux qui aspirent à le devenir ainsi qu’aux institutions politico-administratives.
Cette approche pluridisciplinaire de communication où chaque sujet interpelle un profil spécifique, favorise le leadership de la majorité sur les questions d’opinion publique.
Elle facilite aussi la marche des processus de communication politique de la majorité.
Il faut aussi noter que la cellule de communication BBY est devenu, grâce au leadership de son coordonnateur, Pape Mahawa Diouf, un levier essentiel qui permet à la coalition BBY de lire un peu plus clairement dans les contextes bien déterminés (période pré-électorale, électorale et post-électorale) dans le jeu politique auquel discours (de polémique ou de préoccupation), la posture et le symbole constituent de bribes d’informations essentielles pour cerner la personnalité des protagonistes.
Conscient de la richesse et la complexité des liens unissant communication et politique, Pape Mahawa Diouf adopte un regard plus affiné sur les différentes composantes des messages politiques, lesquels sont fondamentalement polysémique et se prêtent à différentes formes d’interprétation.
L’heure n’est plus à rappeler le poids déterminant qu’ont pris les logiques de communication dans l’activité sociale, tant la chose est d’évidence. Devant la rude concurrence des débats polémiques imposés par les médias souvent défavorables au pouvoir, la cellule de communication BBY, s’oppose à ce diktat par l’opinion du sens commun et les questions de préoccupation.
Nous assistons actuellement à la montée en popularité des experts – en communication, en marketing – dans les organisations politiques, du fait de la place importante qu’occupe l’image et la réputation dans l’arsenal de communication électorale des partis politiques.
De plus en plus de candidats politiques s’entourent d’experts en communication qui leur promulguent des conseils sur l’art de gagner les faveurs des électeurs.
Mais malheureusement, ces initiatives s’arrêtent en période électorale alors que la cellule de Communication BBY dirigée par Pape Mahawa Diouf s’inscrit dans une certaine continuité du point de vue de la rigueur de l’analyse.
Les sciences de la communication politique (un champ de recherche qui doit encore s’imposer au Sénégal) ont, en outre, pour programme de recherche, les mises en scène du pouvoir et ses stratégies de légitimation, la publicité et le marketing politiques, les influences réciproques du système médiatique et du système politique, et toutes les formes de médiation politique.
L’enjeu communicationnel des activités politiques ne peut se réduire à une approche improviste voire restrictive.
Au Sénégal, nous remarquons que seule la coalition BBY a une cellule de communication dynamique qui fonctionne en période électorale et non électorale.
La cellule de communication de BBY est la seule entité de communication politique sinon la plus visible dont l’influence englobe toutes les activités de communication liées aux détenteurs du pouvoir et à ceux qui aspirent à le devenir ainsi qu’aux institutions politico-administratives.
Cette approche pluridisciplinaire de communication où chaque sujet interpelle un profil spécifique, favorise le leadership de la majorité sur les questions d’opinion publique.
Elle facilite aussi la marche des processus de communication politique de la majorité.
Il faut aussi noter que la cellule de communication BBY est devenu, grâce au leadership de son coordonnateur, Pape Mahawa Diouf, un levier essentiel qui permet à la coalition BBY de lire un peu plus clairement dans les contextes bien déterminés (période pré-électorale, électorale et post-électorale) dans le jeu politique auquel discours (de polémique ou de préoccupation), la posture et le symbole constituent de bribes d’informations essentielles pour cerner la personnalité des protagonistes.
Conscient de la richesse et la complexité des liens unissant communication et politique, Pape Mahawa Diouf adopte un regard plus affiné sur les différentes composantes des messages politiques, lesquels sont fondamentalement polysémique et se prêtent à différentes formes d’interprétation.
L’heure n’est plus à rappeler le poids déterminant qu’ont pris les logiques de communication dans l’activité sociale, tant la chose est d’évidence. Devant la rude concurrence des débats polémiques imposés par les médias souvent défavorables au pouvoir, la cellule de communication BBY, s’oppose à ce diktat par l’opinion du sens commun et les questions de préoccupation.
Nous assistons actuellement à la montée en popularité des experts – en communication, en marketing – dans les organisations politiques, du fait de la place importante qu’occupe l’image et la réputation dans l’arsenal de communication électorale des partis politiques.
De plus en plus de candidats politiques s’entourent d’experts en communication qui leur promulguent des conseils sur l’art de gagner les faveurs des électeurs.
Mais malheureusement, ces initiatives s’arrêtent en période électorale alors que la cellule de Communication BBY dirigée par Pape Mahawa Diouf s’inscrit dans une certaine continuité du point de vue de la rigueur de l’analyse.