Dans votre édition du samedi 6 octobre 2018, vous avez publié l’interview de Monsieur Mamadou Lamine Diallo que vous présentez comme étant le leader du Mouvement Tekki et par ailleurs député à l’Assemblée Nationale. Dans cet entretien, Monsieur Diallo dit ceci : « … Par exemple, je vous annonce que le Programme d’Urgence de Développement Communautaire (PUDC) est en faillite. Sur les 100 milliards, il y a au moins 25 milliards d’impayés. Je ne suis pas sûr que le PNUD va rester. Peut-être qu’ils vont prendre l’argent prêté récemment par la BAD pour payer les arriérés d’abord… »
Pour exercer notre droit de réponse nous vous demandons de publier cette clarification pour rétablir la vérité.
Ces déclarations, constituent un enchainement de contrevérités, colportées par un homme politique en mal de popularité qui s’accroche par le mensonge au PUDC pour mieux se faire connaître.
Il sait pertinemment que le PUDC a fini de montrer ses preuves par ses nombreuses réalisations dans les domaines de l’hydraulique rurale, de l’électrification rurale, des pistes de désenclavement des équipements post-récoltes et des périmètres agricoles ; il sait que le PUDC modèle de développement économique est plébiscité par 22 pays sur le continent africain ; il sait que des centaines de milliers de sénégalais vivant dans le monde rural, magnifient l’action de haute portée du gouvernement à travers ce programme, il sait aussi que les partenaires techniques et financiers à l’image de la Banque Africaine de développement, de la Banque Islamique de Développement et du Fonds Séoudien de Développement ont applaudi la réussite de ce programme ; il sait enfin que ce programme, initiative du président de la République, son Excellence monsieur Macky Sall, a fini d’être applaudi par toute la classe politique au Sénégal.
Et voilà que le leader du Mouvement Tekki et par ailleurs député se livre à un exercice d’annonceur de faillite, arguant des impayés de 25 milliards, montant que le PUDC devrait aux entreprises… Mensonge !
Dans le cadre de la première phase, le montant des engagements contractuels non encore exécutés par les entreprises s’élèvent à 26 milliards FCFA, une partie de ce montant ayant fait récemment l’objet de décomptes certifiés est en cours de paiement ; les autres décomptes reçus seront payés après la signature des accords tripartites de cession de contrats entre le PUDC, les entreprises et le PNUD dont le mandat d’agence d’exécution est arrivé à terme le 30 juin 2018.
Comment un programme qui, en ce moment, réalise l’électrification de dizaines de villages peut-il être en faillite ? Posons la question aux populations de Ngouloum (près de 10 000 habitants) dans la Commune de Ngathie Naoudé (Kaolack) ou à celles de Ngayène Sabakh (Kaolack), de Fandene (Thiès), de Samécouta (Kédougou), de Thioumadé (Louga) ; Posons-la à toutes ces populations des 10 régions du Sénégal qui bénéficient de l’électrification de leurs localités grâce aux travaux du PUDC…elle croiront tout de suite à la thèse du mensonge et de la désinformation !
Comment un programme peut-il être en faillite et réaliser un forage en partenariat avec l’Office des Forages dans le cadre de la préparation du Magal de Touba ?
Le député poursuit : il se lance dans un pronostic en disant que l’argent de la BAD servirait « à payer les arriérés d’abord… » ! Nous admirons son ignorance ! Pour son information, dans le cadre de l’exécution du PUDC, la Banque Africaine de Développement, partenaire stratégique du Sénégal nous a déjà octroyé un appui budgétaire de 28.5 milliards de Francs CFA en 2016.
Le prêt dont parle monsieur Diallo financera un programme d’investissement inscrit dans le document Stratégie Pays de la BAD (DSP 2016-2020) dénommé Projet d’Appui au Programme d’Urgence de Développement Communautaire (PA-PUDC). L’Accord de prêt, d’un montant de 39 357 milliards FCFA vient d’être signé par le ministre de l’Economie des Finances et du Plan ; ce financement permettra de faire bénéficier aux populations des zones non encore touchées, entre autres, celles des départements de Mbacké, de Kébémer et celles des régions de Sédhiou, Ziguinchor et Kolda, de nouvelles réalisations du PUDC.
A ce financement s’ajoute celui de la Banque Islamique de Développement (22 milliards FCFA) et celui du Fonds Saoudien de développement (33.3 milliards FCFA)
Un programme en faillite ne peut drainer autant de financements ; nous l’invitons à se raviser et à bien méditer ce proverbe arabe qui dit : « Le mensonge te fait vivre une nuit et la vérité toujours. »
Le PUDC a choisi la vérité et demeure une vérité pour les populations du monde rural et pour l’Afrique
Le PUDC est en vie pour toujours !
Cheikh Diop est Directeur National du PUDC
Pour exercer notre droit de réponse nous vous demandons de publier cette clarification pour rétablir la vérité.
Ces déclarations, constituent un enchainement de contrevérités, colportées par un homme politique en mal de popularité qui s’accroche par le mensonge au PUDC pour mieux se faire connaître.
Il sait pertinemment que le PUDC a fini de montrer ses preuves par ses nombreuses réalisations dans les domaines de l’hydraulique rurale, de l’électrification rurale, des pistes de désenclavement des équipements post-récoltes et des périmètres agricoles ; il sait que le PUDC modèle de développement économique est plébiscité par 22 pays sur le continent africain ; il sait que des centaines de milliers de sénégalais vivant dans le monde rural, magnifient l’action de haute portée du gouvernement à travers ce programme, il sait aussi que les partenaires techniques et financiers à l’image de la Banque Africaine de développement, de la Banque Islamique de Développement et du Fonds Séoudien de Développement ont applaudi la réussite de ce programme ; il sait enfin que ce programme, initiative du président de la République, son Excellence monsieur Macky Sall, a fini d’être applaudi par toute la classe politique au Sénégal.
Et voilà que le leader du Mouvement Tekki et par ailleurs député se livre à un exercice d’annonceur de faillite, arguant des impayés de 25 milliards, montant que le PUDC devrait aux entreprises… Mensonge !
Dans le cadre de la première phase, le montant des engagements contractuels non encore exécutés par les entreprises s’élèvent à 26 milliards FCFA, une partie de ce montant ayant fait récemment l’objet de décomptes certifiés est en cours de paiement ; les autres décomptes reçus seront payés après la signature des accords tripartites de cession de contrats entre le PUDC, les entreprises et le PNUD dont le mandat d’agence d’exécution est arrivé à terme le 30 juin 2018.
Comment un programme qui, en ce moment, réalise l’électrification de dizaines de villages peut-il être en faillite ? Posons la question aux populations de Ngouloum (près de 10 000 habitants) dans la Commune de Ngathie Naoudé (Kaolack) ou à celles de Ngayène Sabakh (Kaolack), de Fandene (Thiès), de Samécouta (Kédougou), de Thioumadé (Louga) ; Posons-la à toutes ces populations des 10 régions du Sénégal qui bénéficient de l’électrification de leurs localités grâce aux travaux du PUDC…elle croiront tout de suite à la thèse du mensonge et de la désinformation !
Comment un programme peut-il être en faillite et réaliser un forage en partenariat avec l’Office des Forages dans le cadre de la préparation du Magal de Touba ?
Le député poursuit : il se lance dans un pronostic en disant que l’argent de la BAD servirait « à payer les arriérés d’abord… » ! Nous admirons son ignorance ! Pour son information, dans le cadre de l’exécution du PUDC, la Banque Africaine de Développement, partenaire stratégique du Sénégal nous a déjà octroyé un appui budgétaire de 28.5 milliards de Francs CFA en 2016.
Le prêt dont parle monsieur Diallo financera un programme d’investissement inscrit dans le document Stratégie Pays de la BAD (DSP 2016-2020) dénommé Projet d’Appui au Programme d’Urgence de Développement Communautaire (PA-PUDC). L’Accord de prêt, d’un montant de 39 357 milliards FCFA vient d’être signé par le ministre de l’Economie des Finances et du Plan ; ce financement permettra de faire bénéficier aux populations des zones non encore touchées, entre autres, celles des départements de Mbacké, de Kébémer et celles des régions de Sédhiou, Ziguinchor et Kolda, de nouvelles réalisations du PUDC.
A ce financement s’ajoute celui de la Banque Islamique de Développement (22 milliards FCFA) et celui du Fonds Saoudien de développement (33.3 milliards FCFA)
Un programme en faillite ne peut drainer autant de financements ; nous l’invitons à se raviser et à bien méditer ce proverbe arabe qui dit : « Le mensonge te fait vivre une nuit et la vérité toujours. »
Le PUDC a choisi la vérité et demeure une vérité pour les populations du monde rural et pour l’Afrique
Le PUDC est en vie pour toujours !
Cheikh Diop est Directeur National du PUDC