En effet, dans une interview exclusive accordée à l’hebdomadaire « Allo Dakar », « l’amie » de Adja Diallo s’est épanchée sur une page où elle a osé déclarer qu’elle n’est jamais sortie avec quelqu’un à Dakar, ni avec un Sénégalais et, aussi, que Adja Diallo n’est pas son amie. Quel toupet !
Gawlo.net est en mesure de vous démontrer comment cette ancienne « play girl » de Khadafi sait mentir.
Primo, les épicuriens dakarois, habitués du Dakar by night, savent qu’avant son départ pour Dubaî, Karina était comme un pot de colle ou, même plus, une ventouse accrochée aux basques d’Adja Diallo. L’on ne pouvait voir l’une sans l’autre. Même des jumelles ne pouvaient faire plus.
Leurs quatre cents coups, elles les faisaient ensemble. Elles étaient souvent visibles dans les milieux huppés, les restaurants chics et lounges célèbres de Dakar. Leur compagnonnage était si criard que le « Dakar méchant » avait fini de les taxer de lesbiennes, conforté en cela par la publication, dans la presse écrite et en ligne, de photos très compromettantes.
Si maintenant elle veut dire qu’Adja Diallo n’est pas son amie, alors qu’elle nous donne donc la définition du mot ami !
Il est vrai que ne se sentant plus, après avoir reçu un important financement qui lui aura permis de se lancer dans le projet du « WHITE DREAM », elle considère, maintenant, Adja Diallo comme du menu fretin qui ne saurait être son alter ego.
Il est vrai, aussi, que la pauvre petite Adja n’a pas su, durant ses nombreuses pérégrinations, tirer les marrons du feu en assurant son avenir par des investissements rentables qui auraient pu lui permettre de se tailler une « retraite » paisible mais, quand même, Karina est mal placée pour lui jeter l’anathème.
Secundo, est ce que Karina voudra bien nous dire quelle est la position domiciliaire de la personnalité du monde de la politique et du business, qui lui aurait offert un appartement aux Almadies ? Pour sa gouverne, au cas elle ne s’en souviendrait pas, cette personnalité est un Sénégalais bon teint qui a blanchi sous le harnais à Dakar même, et a occupé d’importantes responsabilités dans ce pays.
« Gawlo.net » conseille à Karina Tavarez de voir un peu du côté de son investissement concernant le « WHITE DREAM », logé dans un local à problème et qui est tout ce qu’il y a de plus louche. Car celui qui le lui a filé doit beaucoup de mois de loyer ( des dizaines de millions ) au propriétaire des murs et 20 millions à Latyr Diop, proprio du Five, qui lui avait vendu le pas de porte. Latyr, las d’attendre pour rentrer dans ses sous, a fini par trainer le revendeur en justice. Le procès est en instance auprès du Tribunal de Dakar.
Vous voyez bien, chère Karina, que vous avez beaucoup de chemin à parcourir, avant de pouvoir dormir à points liés et faire des rêves de couleur blanche.
© Gawlo.net
Gawlo.net est en mesure de vous démontrer comment cette ancienne « play girl » de Khadafi sait mentir.
Primo, les épicuriens dakarois, habitués du Dakar by night, savent qu’avant son départ pour Dubaî, Karina était comme un pot de colle ou, même plus, une ventouse accrochée aux basques d’Adja Diallo. L’on ne pouvait voir l’une sans l’autre. Même des jumelles ne pouvaient faire plus.
Leurs quatre cents coups, elles les faisaient ensemble. Elles étaient souvent visibles dans les milieux huppés, les restaurants chics et lounges célèbres de Dakar. Leur compagnonnage était si criard que le « Dakar méchant » avait fini de les taxer de lesbiennes, conforté en cela par la publication, dans la presse écrite et en ligne, de photos très compromettantes.
Si maintenant elle veut dire qu’Adja Diallo n’est pas son amie, alors qu’elle nous donne donc la définition du mot ami !
Il est vrai que ne se sentant plus, après avoir reçu un important financement qui lui aura permis de se lancer dans le projet du « WHITE DREAM », elle considère, maintenant, Adja Diallo comme du menu fretin qui ne saurait être son alter ego.
Il est vrai, aussi, que la pauvre petite Adja n’a pas su, durant ses nombreuses pérégrinations, tirer les marrons du feu en assurant son avenir par des investissements rentables qui auraient pu lui permettre de se tailler une « retraite » paisible mais, quand même, Karina est mal placée pour lui jeter l’anathème.
Secundo, est ce que Karina voudra bien nous dire quelle est la position domiciliaire de la personnalité du monde de la politique et du business, qui lui aurait offert un appartement aux Almadies ? Pour sa gouverne, au cas elle ne s’en souviendrait pas, cette personnalité est un Sénégalais bon teint qui a blanchi sous le harnais à Dakar même, et a occupé d’importantes responsabilités dans ce pays.
« Gawlo.net » conseille à Karina Tavarez de voir un peu du côté de son investissement concernant le « WHITE DREAM », logé dans un local à problème et qui est tout ce qu’il y a de plus louche. Car celui qui le lui a filé doit beaucoup de mois de loyer ( des dizaines de millions ) au propriétaire des murs et 20 millions à Latyr Diop, proprio du Five, qui lui avait vendu le pas de porte. Latyr, las d’attendre pour rentrer dans ses sous, a fini par trainer le revendeur en justice. Le procès est en instance auprès du Tribunal de Dakar.
Vous voyez bien, chère Karina, que vous avez beaucoup de chemin à parcourir, avant de pouvoir dormir à points liés et faire des rêves de couleur blanche.
© Gawlo.net