Le monde du sport nage dans l’or, ses dirigeants sont parmi les plus respectés du monde. Ils sont régulièrement accueillis partout par des Emirs, des Princes et des Rois et ils taillent souvent bavette avec les hommes politiques les plus puissants du monde tout en étant des clients très prisés des grandes banques d’affaires. Puisqu’ils se déplacent beaucoup à travers le monde, les dirigeants du sport sont courtisés par les plus grandes compagnies aériennes et les meilleures chaînes d’hôtels parce qu’ils voyagent et réservent des suites présidentielles. Leurs passeports diplomatiques leur servent à discuter avec les grands de ce monde des prochains sites qui devront accueillir les plus grandes compétitions sportives au moment où les plus grandes chaînes de télévision du monde leur courent derrière pour avoir le privilège d’être le diffuseur exclusif des événements sportifs qui attirent les sponsors à coups de milliards de dollars. Pourquoi croyez-vous que les dirigeants du sport mondial sont les seuls qui sont élus quasiment pour l’éternité ?
A la Fifa le Français Jules Rimet, initiateur de la Coupe du monde de football est resté président pendant 33 ans, et le Brésilien Joao Havelange est resté en poste pendant 24 ans. Au CIO (Comité olympique international) le Baron Pierre de Coubertin a fait 26 ans, le Compte Henri Baillet Latour, 17 ans, l’Américain Avery Brundage, 20 ans et le Suisse Juan Antonio Samaranch 21 ans. Le pactole que génèrent les compétitions sportives mondiales est si important que les barons du sport rechignent à le confier à des mains «inexpertes», c’est-à -dire des gens qui ne seraient pas des spécialistes de «négociations en coulisses». Selon le dictionnaire en ligne «Wikipedia», rien que la Fifa a généré il y a deux ans la rondelette somme de 1,3 milliard de dollars de chiffre d'affaires et dispose de réserves évaluées à 1,4 milliard de dollar.
Mais aujourd’hui cette manne financière intéresse sans doute quelque puissance tapie dans l’ombre. Ce n’est pas pour rien que les scandales se multiplient, que des enquêtes sont ouvertes, des poursuites engagées et des arrestations opérées auprès des dirigeants les plus influents de ces instances supérieures du sport. Qui parle de pots de vins ou de corruption ? Peut-être ceux qui contrôlent la haute finance mondiale et les grands centres de décisions politiques mais qui ne parviennent pas, hélas, à mettre la main sur le magot du sport ? Honni soit qui mal pense aux Etats-unis d’où sont parties certaines enquêtes ou certaines «fuites» qui laissent à penser que les mauvais perdants -surtout lorsqu’ils savent qu’ils ont déjà pipé les dés- ne cessent jamais de ruminer leur défaite.
Magum Jëmm
Tange Tandian Administrateur www .vipeoples.net
tangetandian@gmail.com
A la Fifa le Français Jules Rimet, initiateur de la Coupe du monde de football est resté président pendant 33 ans, et le Brésilien Joao Havelange est resté en poste pendant 24 ans. Au CIO (Comité olympique international) le Baron Pierre de Coubertin a fait 26 ans, le Compte Henri Baillet Latour, 17 ans, l’Américain Avery Brundage, 20 ans et le Suisse Juan Antonio Samaranch 21 ans. Le pactole que génèrent les compétitions sportives mondiales est si important que les barons du sport rechignent à le confier à des mains «inexpertes», c’est-à -dire des gens qui ne seraient pas des spécialistes de «négociations en coulisses». Selon le dictionnaire en ligne «Wikipedia», rien que la Fifa a généré il y a deux ans la rondelette somme de 1,3 milliard de dollars de chiffre d'affaires et dispose de réserves évaluées à 1,4 milliard de dollar.
Mais aujourd’hui cette manne financière intéresse sans doute quelque puissance tapie dans l’ombre. Ce n’est pas pour rien que les scandales se multiplient, que des enquêtes sont ouvertes, des poursuites engagées et des arrestations opérées auprès des dirigeants les plus influents de ces instances supérieures du sport. Qui parle de pots de vins ou de corruption ? Peut-être ceux qui contrôlent la haute finance mondiale et les grands centres de décisions politiques mais qui ne parviennent pas, hélas, à mettre la main sur le magot du sport ? Honni soit qui mal pense aux Etats-unis d’où sont parties certaines enquêtes ou certaines «fuites» qui laissent à penser que les mauvais perdants -surtout lorsqu’ils savent qu’ils ont déjà pipé les dés- ne cessent jamais de ruminer leur défaite.
Magum Jëmm
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