Depuis mon départ à la retraite j’avais rangé mon écritoire dans les tiroirs de la retenue et mis en congé mes neurones, pour me consacrer à de longues retraites-prières nocturnes, pour me faire pardonner mes passions et mes intolérances passées.
Cependant, la situation politique tendue dans ce pays voisin m’impose le devoir fraternel et africain d’adresser à mes sœurs et frères de Guinée un message d’affection, de fraternité, d’amitié et surtout de tolérance à un moment historique de la vie de leur grande Nation que j’aime autant que mon Baol natal.
Samory TOURE, Fondateur de l’Empire du Wassalou a été aussi persécuté et déporté mais l’homme est resté debout, dans une divine verticalité, malgré la puissance des vents contraires, a rempli pleinement sa mission, il y a 122 ans. Votre pays, terroir de culture, d’histoire, aux sangs mêlés, de résistance et de grandeur fera face à son destin, le dimanche 18 octobre 2020, pour élire librement et sans passion, le prochain Président de la République de Guinée entre le sortant Alpha CONDE et le challenger Cellou Dalein DIALLO.
Au milieu de ce qu’on pourrait qualifier de champs de ruines, dans les dédales d’une démocratie avortée, depuis plusieurs décennies, la Guinée cherche à se frayer un chemin d’honneur de respectabilité au sein de la Communauté internationale. A l’épisode Lansana CONTE, insouciant et indolent a succédé le feuilleton Moussa Dadis CAMARA, cyclothymique, caractériel et imprévisible, qui a failli basculé la Guinée dans une guerre ethnico-civile, par le massacre du 28 septembre 2009.
La Guinée doit accepter de se réconcilier avec elle-même en brisant le cercle vicieux de la culpabilité et de la fatalité. La Guinée doit saisir cette ultime chance de l’élection présidentielle, en acceptant de s’agripper à cette main, généreuse et ouverte, que lui tend le destin. Ce pays frère n’a aucune leçon à recevoir en matière de dignité, de patriotisme et de courage politique. Sa classe dirigeante, à l’aube des guerres de libération, s’est déterminée par un choix historique, celui de l’indépendance en 1958, comparés à d’autres pays qui avaient fait la déplorable option de la dépendance.
Devant le Général De Gaulle, enthousiasmé à l’arrivée par un accueil chaleureux et cordial et irrité à son départ, par le discours on ne peut plus clair du Président Sékou TOURE sur ce que symbolise l’honneur et la dignité d’une Nation. Le peuple de Guinée, à défaut de célébrer l’Homme, doit honorer son courage historique inscrit dans l’ADN de chaque guinéen.
C’est dans ce sillage que s’inscrit l’action de l’honorable Cellou Dalein DIALLO qui constitue une véritable soupape de sécurité pour la Guinée par son refus de la violence et de l’injustice. En vrai paratonnerre, il s’est érigé en bouclier contre toutes les menaces de déstabilisation et autres plans machiavéliques pour le neutraliser et noyer la Guinée dans le sang de ses propres citoyens. Les langues de la postérité seront-elles assez justes pour lui reconnaitre cette hauteur et cet attachement quasi obsessionnel au bien-être de ses concitoyens ?
En acceptant de prendre part à l’élection présidentielle, il honore la Guinée de la manière dont les guinéens l’ont toujours honoré. Cette décision historique qui n’est pas la première, renseigne suffisamment sur la hauteur d’esprit de l’homme, car elle constitue un renoncement monumental à la tentation et à l’ambition du pouvoir pour le pouvoir. Le peuple de Guinée et sa diaspora ont déjà voté dans la rue et dans les chaumières, en s’indignant contre le troisième mandat, dans le cadre unitaire appelé Front National pour la Défense de la Constitution (FNDC). Sans surprise, le contenu des urnes confirmera ce que les guinéens ont déjà exprimé par voie protestataire en empruntant les rues comme médium de communication.
Monsieur Cellou Dalein Diallo a endigué et amorti, par son humanisme, son intelligence et sa tolérance toutes ces frustrations, ces envies de violences et ce goût de la vengeance, en une extraordinaire énergie positive qui sera canalisée vers les urnes porteuses d’espoir et de rupture, pour tout en peuple en souffrance. La Guinée doit être pacifiée politiquement et débarrassée des démons de la division qui sont pires que la Covid 19 et épouser le temps de la raison, de la mesure et de la responsabilité.
Face à Cellou Dalein Diallo, les Guinéens auront le Président Alpha CONDE, atteint d’une forme aigüe et récidivante de kleptomanie électorale et expert en détournement de suffrages, dont la soif inextinguible de pouvoir l’a poussé à franchir le rubicon, en briguant contre vents et marées un troisième mandat. Le mandat de la déraison. En trépignant sous la solennité et les notes sacrées de l’hymne national qui requiert concentration et gravité, il confirme sa déconnexion et son inaptitude à remplir cette haute et digne fonction.
On se souvient également de l’hilarité générale provoquée, en plein conseil de Ministres en France, par Bernard KOUCHNER qui cherchait, face à une improbabilité arithmétique, à convaincre le Président Sarkozy de soutenir entre les deux (2) tours, de l’élection présidentielle de 2010 Alpha CONDE, suite à l’avance irrattrapable de Cellou (46 % contre 20 %).
Le destin de la Guinée doit désormais se décider en Guinée et par les Guinéens. La Communauté internationale ne volera pas à votre secours, elle ne viendra pas pleurer à vos funérailles électorales. Elle se fendra, tout au plus, de communiqués aux mots choisis et peut être achètera des chrysanthèmes, pour fleurir la tombe de vos martyrs.
Le silence assourdissant du Tribunal Pénal International (TPI) et des défenseurs des droits de l’Homme est assez éloquent du peu d’intérêt qu’ils accordent à la vie d’honnêtes citoyens qui aspirent au changement ; massacrés en plein jour par des militaires sans parler de la tentative de meurtre sur la personne du leader de l’opposition.
Au même moment, des djihadistes sont libérés en échange des milliards de francs CFA payés à leurs « gentils » ravisseurs dans le but de se faire photographier, toutes dents dehors, sur le perron de l’Elysée avec une otage qualifiée de victime du syndrome de Stockholm, pour s’être convertie à l’Islam.
Les Guinéens doivent comprendre qu’ils ont des ennemis plus redoutables parmi lesquels la pauvreté et l’ignorance et « Ceux qui attisent le feu et qui viennent jouer aux pompiers, On a tout compris » comme disait Tiken Jah Fah KOLY. Qualifiée à juste titre de château d’eau, de Suisse de l’Afrique de l’Ouest et de scandale géologique, la Guinée doit se ressaisir par un choix décisif et responsable de ses dirigeants, dont la mission sera de lancer leur pays sur la rampe de l’émergence économique et sociale.
Le Président Alpha CONDE n’est pas « mandingue », il est Guinéen et c’est en cette qualité qu’il a accédé à la magistrature suprême. Il doit, par conséquent être jugé à ses actions, à son discours et à son bilan. Quant à Monsieur Cellou Dalein, sans craindre d’être accusé de parti pris, on doit reconnaitre à l’homme son sens élevé de l’Etat, des responsabilités et de la tolérance.
Il le doit évidemment à son parcours sans fautes au sein des arcanes du pouvoir à des niveaux stratégiques comme la Primature, les départements ministériels et les Assemblées élues. Cette consistance d’homme d’Etat, connu et respecté, au-delà des frontières de la Guinée, doit être considérée par les électeurs comme un avantage comparatif majeur dans la prise en charge des aspirations profondes du peuple de Guinée.
Monsieur Diallo n’est pas « peulh », il est Guinéen. Il doit aussi être jugé à son action politique, à la qualité de ses engagements et de son projet de société pour sortir la Guinée des marécages de l’incertitude, de la peur ainsi que la compétition ethnique ruineuse.
De ce point de vue, face aux pilleurs et autres prédateurs de ressources protéiformes qui, en embuscade, attendent impatiemment que la Guinée se délite pour s’accaparer dans la confusion de son âme, il devient impérieux et de l’ordre du sacrifice ultime, que chaque guinéen et guinéenne puise dans ce qu’il a de plus élevé, pour faire l’indépassable choix, celui de la tolérance et de l’avenir modestement incarné par Monsieur Cellou Dalein Diallo.
Dès son arrivée triomphale à l’aéroport de Conakry Monsieur Cellou Dalein Diallo a fait une déclaration qui a retenu l’attention de tous les acteurs politiques en invitant ses soutiens à la retenue, aux respects des Institutions et aux forces de sécurité et de défense.
Il a aussi insisté, qu’une fois élu, il y a aura pas de chasse aux sorcières ni de règlements de compte. Aucun guinéen ne sera plus jamais inquiété pour des raisons politiques. Mieux il propose de réserver au Président Alpha CONDE un traitement digne à la hauteur de son rang et des fonctions qu’il a occupées. Il est important de saluer cet esprit républicain et fédérateur, tout à fait contraire, aux propos comminatoires auxquels certains responsables politiques nous ont habitués lors des joutes électorales, installant la peur et l’incertitude dans le landerneau politique, avec comme conséquence directe le réflexe de s’accrocher au pouvoir à n’importe quel prix.
Le limogeage récent de Madame Téninké TOURE, Directrice nationale des Droits de l’Homme ainsi que la mutinerie des soldats ayant conduit à la mort du Colonel Mamady CONDE, Commandant du bataillon spécial des Commandos à Kindia, à deux jours du scrutin présidentiel sont des éléments très préoccupants qui prouvent que le Président Alpha CONDE dirige le pays au doigt mouillé et à la va que je te pousse.
Sœurs et frères de Guinée, quand arrive le temps du destin certaines ruptures deviennent nécessaires. Dimanche,18 octobre 2020, allez voter, dans le calme et la sérénité pour la GUINEE, allez CHOISIR UN HOMME DE QUALITE, DE CONFIANCE, DE RETENUE QUI AVANCE ET QUI AGIT PAR LA RAISON pour l’émergence de la Guinée nouvelle.
Cet homme-là marcheur patient, profondément attaché à la paix, qui aime tous les guinéens d’un amour sincère et indifférencié, incarne la Tolérance, dont j’ai fait l’éloge tout au long de ma contribution, s’appelle Cellou Dallein DIALLO.
VIVE LA GUINEE
VIVE L’AFRIQUE Pape Mademba Diokhané
Diourbel, Sénégal
Cependant, la situation politique tendue dans ce pays voisin m’impose le devoir fraternel et africain d’adresser à mes sœurs et frères de Guinée un message d’affection, de fraternité, d’amitié et surtout de tolérance à un moment historique de la vie de leur grande Nation que j’aime autant que mon Baol natal.
Samory TOURE, Fondateur de l’Empire du Wassalou a été aussi persécuté et déporté mais l’homme est resté debout, dans une divine verticalité, malgré la puissance des vents contraires, a rempli pleinement sa mission, il y a 122 ans. Votre pays, terroir de culture, d’histoire, aux sangs mêlés, de résistance et de grandeur fera face à son destin, le dimanche 18 octobre 2020, pour élire librement et sans passion, le prochain Président de la République de Guinée entre le sortant Alpha CONDE et le challenger Cellou Dalein DIALLO.
Au milieu de ce qu’on pourrait qualifier de champs de ruines, dans les dédales d’une démocratie avortée, depuis plusieurs décennies, la Guinée cherche à se frayer un chemin d’honneur de respectabilité au sein de la Communauté internationale. A l’épisode Lansana CONTE, insouciant et indolent a succédé le feuilleton Moussa Dadis CAMARA, cyclothymique, caractériel et imprévisible, qui a failli basculé la Guinée dans une guerre ethnico-civile, par le massacre du 28 septembre 2009.
La Guinée doit accepter de se réconcilier avec elle-même en brisant le cercle vicieux de la culpabilité et de la fatalité. La Guinée doit saisir cette ultime chance de l’élection présidentielle, en acceptant de s’agripper à cette main, généreuse et ouverte, que lui tend le destin. Ce pays frère n’a aucune leçon à recevoir en matière de dignité, de patriotisme et de courage politique. Sa classe dirigeante, à l’aube des guerres de libération, s’est déterminée par un choix historique, celui de l’indépendance en 1958, comparés à d’autres pays qui avaient fait la déplorable option de la dépendance.
Devant le Général De Gaulle, enthousiasmé à l’arrivée par un accueil chaleureux et cordial et irrité à son départ, par le discours on ne peut plus clair du Président Sékou TOURE sur ce que symbolise l’honneur et la dignité d’une Nation. Le peuple de Guinée, à défaut de célébrer l’Homme, doit honorer son courage historique inscrit dans l’ADN de chaque guinéen.
C’est dans ce sillage que s’inscrit l’action de l’honorable Cellou Dalein DIALLO qui constitue une véritable soupape de sécurité pour la Guinée par son refus de la violence et de l’injustice. En vrai paratonnerre, il s’est érigé en bouclier contre toutes les menaces de déstabilisation et autres plans machiavéliques pour le neutraliser et noyer la Guinée dans le sang de ses propres citoyens. Les langues de la postérité seront-elles assez justes pour lui reconnaitre cette hauteur et cet attachement quasi obsessionnel au bien-être de ses concitoyens ?
En acceptant de prendre part à l’élection présidentielle, il honore la Guinée de la manière dont les guinéens l’ont toujours honoré. Cette décision historique qui n’est pas la première, renseigne suffisamment sur la hauteur d’esprit de l’homme, car elle constitue un renoncement monumental à la tentation et à l’ambition du pouvoir pour le pouvoir. Le peuple de Guinée et sa diaspora ont déjà voté dans la rue et dans les chaumières, en s’indignant contre le troisième mandat, dans le cadre unitaire appelé Front National pour la Défense de la Constitution (FNDC). Sans surprise, le contenu des urnes confirmera ce que les guinéens ont déjà exprimé par voie protestataire en empruntant les rues comme médium de communication.
Monsieur Cellou Dalein Diallo a endigué et amorti, par son humanisme, son intelligence et sa tolérance toutes ces frustrations, ces envies de violences et ce goût de la vengeance, en une extraordinaire énergie positive qui sera canalisée vers les urnes porteuses d’espoir et de rupture, pour tout en peuple en souffrance. La Guinée doit être pacifiée politiquement et débarrassée des démons de la division qui sont pires que la Covid 19 et épouser le temps de la raison, de la mesure et de la responsabilité.
Face à Cellou Dalein Diallo, les Guinéens auront le Président Alpha CONDE, atteint d’une forme aigüe et récidivante de kleptomanie électorale et expert en détournement de suffrages, dont la soif inextinguible de pouvoir l’a poussé à franchir le rubicon, en briguant contre vents et marées un troisième mandat. Le mandat de la déraison. En trépignant sous la solennité et les notes sacrées de l’hymne national qui requiert concentration et gravité, il confirme sa déconnexion et son inaptitude à remplir cette haute et digne fonction.
On se souvient également de l’hilarité générale provoquée, en plein conseil de Ministres en France, par Bernard KOUCHNER qui cherchait, face à une improbabilité arithmétique, à convaincre le Président Sarkozy de soutenir entre les deux (2) tours, de l’élection présidentielle de 2010 Alpha CONDE, suite à l’avance irrattrapable de Cellou (46 % contre 20 %).
Le destin de la Guinée doit désormais se décider en Guinée et par les Guinéens. La Communauté internationale ne volera pas à votre secours, elle ne viendra pas pleurer à vos funérailles électorales. Elle se fendra, tout au plus, de communiqués aux mots choisis et peut être achètera des chrysanthèmes, pour fleurir la tombe de vos martyrs.
Le silence assourdissant du Tribunal Pénal International (TPI) et des défenseurs des droits de l’Homme est assez éloquent du peu d’intérêt qu’ils accordent à la vie d’honnêtes citoyens qui aspirent au changement ; massacrés en plein jour par des militaires sans parler de la tentative de meurtre sur la personne du leader de l’opposition.
Au même moment, des djihadistes sont libérés en échange des milliards de francs CFA payés à leurs « gentils » ravisseurs dans le but de se faire photographier, toutes dents dehors, sur le perron de l’Elysée avec une otage qualifiée de victime du syndrome de Stockholm, pour s’être convertie à l’Islam.
Les Guinéens doivent comprendre qu’ils ont des ennemis plus redoutables parmi lesquels la pauvreté et l’ignorance et « Ceux qui attisent le feu et qui viennent jouer aux pompiers, On a tout compris » comme disait Tiken Jah Fah KOLY. Qualifiée à juste titre de château d’eau, de Suisse de l’Afrique de l’Ouest et de scandale géologique, la Guinée doit se ressaisir par un choix décisif et responsable de ses dirigeants, dont la mission sera de lancer leur pays sur la rampe de l’émergence économique et sociale.
Le Président Alpha CONDE n’est pas « mandingue », il est Guinéen et c’est en cette qualité qu’il a accédé à la magistrature suprême. Il doit, par conséquent être jugé à ses actions, à son discours et à son bilan. Quant à Monsieur Cellou Dalein, sans craindre d’être accusé de parti pris, on doit reconnaitre à l’homme son sens élevé de l’Etat, des responsabilités et de la tolérance.
Il le doit évidemment à son parcours sans fautes au sein des arcanes du pouvoir à des niveaux stratégiques comme la Primature, les départements ministériels et les Assemblées élues. Cette consistance d’homme d’Etat, connu et respecté, au-delà des frontières de la Guinée, doit être considérée par les électeurs comme un avantage comparatif majeur dans la prise en charge des aspirations profondes du peuple de Guinée.
Monsieur Diallo n’est pas « peulh », il est Guinéen. Il doit aussi être jugé à son action politique, à la qualité de ses engagements et de son projet de société pour sortir la Guinée des marécages de l’incertitude, de la peur ainsi que la compétition ethnique ruineuse.
De ce point de vue, face aux pilleurs et autres prédateurs de ressources protéiformes qui, en embuscade, attendent impatiemment que la Guinée se délite pour s’accaparer dans la confusion de son âme, il devient impérieux et de l’ordre du sacrifice ultime, que chaque guinéen et guinéenne puise dans ce qu’il a de plus élevé, pour faire l’indépassable choix, celui de la tolérance et de l’avenir modestement incarné par Monsieur Cellou Dalein Diallo.
Dès son arrivée triomphale à l’aéroport de Conakry Monsieur Cellou Dalein Diallo a fait une déclaration qui a retenu l’attention de tous les acteurs politiques en invitant ses soutiens à la retenue, aux respects des Institutions et aux forces de sécurité et de défense.
Il a aussi insisté, qu’une fois élu, il y a aura pas de chasse aux sorcières ni de règlements de compte. Aucun guinéen ne sera plus jamais inquiété pour des raisons politiques. Mieux il propose de réserver au Président Alpha CONDE un traitement digne à la hauteur de son rang et des fonctions qu’il a occupées. Il est important de saluer cet esprit républicain et fédérateur, tout à fait contraire, aux propos comminatoires auxquels certains responsables politiques nous ont habitués lors des joutes électorales, installant la peur et l’incertitude dans le landerneau politique, avec comme conséquence directe le réflexe de s’accrocher au pouvoir à n’importe quel prix.
Le limogeage récent de Madame Téninké TOURE, Directrice nationale des Droits de l’Homme ainsi que la mutinerie des soldats ayant conduit à la mort du Colonel Mamady CONDE, Commandant du bataillon spécial des Commandos à Kindia, à deux jours du scrutin présidentiel sont des éléments très préoccupants qui prouvent que le Président Alpha CONDE dirige le pays au doigt mouillé et à la va que je te pousse.
Sœurs et frères de Guinée, quand arrive le temps du destin certaines ruptures deviennent nécessaires. Dimanche,18 octobre 2020, allez voter, dans le calme et la sérénité pour la GUINEE, allez CHOISIR UN HOMME DE QUALITE, DE CONFIANCE, DE RETENUE QUI AVANCE ET QUI AGIT PAR LA RAISON pour l’émergence de la Guinée nouvelle.
Cet homme-là marcheur patient, profondément attaché à la paix, qui aime tous les guinéens d’un amour sincère et indifférencié, incarne la Tolérance, dont j’ai fait l’éloge tout au long de ma contribution, s’appelle Cellou Dallein DIALLO.
VIVE LA GUINEE
VIVE L’AFRIQUE Pape Mademba Diokhané
Diourbel, Sénégal