Attrait à la barre du tribunal des flagrants délits de Dakar pour injures et menaces de mort, le prévenu, étudiant en licence à la Faculté des Sciences et Techniques, s’est confondu en excuses. Accusé d’avoir insulté Fatoumata Ndiaye du mouvement « Fouta Tampi », Mamadou Sarr alias Mara a été condamné, hier, à six mois de prison assortis du sursis.
D’ailleurs, il précise que, depuis la Division des investigations criminelles, il a regretté son acte. Toutefois, il a évoqué l’excuse de provocation. A l’en croire, la plaignante, qui était absente lors de sa comparution, l’avait traité de ‘’Gordjiguene’’ (homosexuel). « Mes mots ont dépassé ma pensée. J’ai parlé avec le cœur. Je n’ai jamais eu l’intention d’exécuter ces menaces », dit-il.
A la suite de Me Mouhamadou Moustapha Dieng qui a informé du désistement de sa cliente, le représentant du ministère public a requis deux ans de prison avec sursis. L’avocat de la défense, Me Seyba Danfakha a sollicité la clémence du tribunal. « Les quelques jours passés en prison lui ont fait comprendre qu’il y a des mots à ne pas dire et des actes à ne pas poser. Nous sommes dans un contexte politique, cela n’explique pas cet écart de langage. Ils défendent le même idéal », a plaidé la robe noire, renseigne "Enquêteplus".
D’ailleurs, il précise que, depuis la Division des investigations criminelles, il a regretté son acte. Toutefois, il a évoqué l’excuse de provocation. A l’en croire, la plaignante, qui était absente lors de sa comparution, l’avait traité de ‘’Gordjiguene’’ (homosexuel). « Mes mots ont dépassé ma pensée. J’ai parlé avec le cœur. Je n’ai jamais eu l’intention d’exécuter ces menaces », dit-il.
A la suite de Me Mouhamadou Moustapha Dieng qui a informé du désistement de sa cliente, le représentant du ministère public a requis deux ans de prison avec sursis. L’avocat de la défense, Me Seyba Danfakha a sollicité la clémence du tribunal. « Les quelques jours passés en prison lui ont fait comprendre qu’il y a des mots à ne pas dire et des actes à ne pas poser. Nous sommes dans un contexte politique, cela n’explique pas cet écart de langage. Ils défendent le même idéal », a plaidé la robe noire, renseigne "Enquêteplus".