Le Centre hospitalier régional de Fatick réclame le remboursement d’une dette d’environ 100 millions de francs CFA contractée par l’Etat dans le cadre de l’initiative de gratuité des soins initiée pour la prise en charge de certains groupes vulnérables.
"La prise en charge gratuite de la césarienne, des lettres de garantie et les imputations budgétaires ne sont pas encore remboursées et le montant des ces arriérés s’élève à environ 100 millions de francs CFA", a révélé Cheikh Tidiane Diop, chef du service des soins infirmiers à l’hôpital régional de Fatick.
Il s’exprimait lors d’un Comité régional de développement (CRD) axé sur la revue annuelle conjointe 2017 de la région médicale de Fatick.
"C’est depuis plus d’un an que nous sollicitons le remboursement de cette dette auprès des services de l’Etat en charge de ce volet", a-t-il ajouté, soulignant que ce retard pose un problème d’investissement.
"A ce niveau, a-t-il souligné, nous avons des problèmes de recouvrement et depuis 2014 avec l’ouverture progressive des unités de soins de l’hôpital, le volume des activités ne cesse d’augmenter."
"C’est pourquoi, nous sollicitons une fois de plus le remboursement de cette somme, des ressources financières additionnelles en plus de doter l’hôpital de certaines spécialités", a-t-il ajouté.
Il a indiqué que le centre hospitalier régional de Fatick souffre du manque de certaines spécialités nécessaires à une prise en charge correcte des patients et à la réduction des évacuations vers les structures sanitaires des régions voisines.
Selon lui, "l’hôpital pour son meilleur fonctionnement, a besoin d’un chirurgien généraliste, d’un traumatologue, d’un pédiatre, d’un spécialiste en ORL ou encore d’un orthopédiste surtout que Fatick se trouve sur une zone accidentogène".
"Donc avoir ces spécialistes va permettre de réduire les évacuations vers les structures sanitaires voisines", a-t-il encore soutenu.
Le CRD a été présidé par l’adjoint au gouverneur de Fatick en charge du développement, Cheikh Ahmed Tidiane Ndoye, en présence du Médecin-chef de région Mamadou Sarr.
"La prise en charge gratuite de la césarienne, des lettres de garantie et les imputations budgétaires ne sont pas encore remboursées et le montant des ces arriérés s’élève à environ 100 millions de francs CFA", a révélé Cheikh Tidiane Diop, chef du service des soins infirmiers à l’hôpital régional de Fatick.
Il s’exprimait lors d’un Comité régional de développement (CRD) axé sur la revue annuelle conjointe 2017 de la région médicale de Fatick.
"C’est depuis plus d’un an que nous sollicitons le remboursement de cette dette auprès des services de l’Etat en charge de ce volet", a-t-il ajouté, soulignant que ce retard pose un problème d’investissement.
"A ce niveau, a-t-il souligné, nous avons des problèmes de recouvrement et depuis 2014 avec l’ouverture progressive des unités de soins de l’hôpital, le volume des activités ne cesse d’augmenter."
"C’est pourquoi, nous sollicitons une fois de plus le remboursement de cette somme, des ressources financières additionnelles en plus de doter l’hôpital de certaines spécialités", a-t-il ajouté.
Il a indiqué que le centre hospitalier régional de Fatick souffre du manque de certaines spécialités nécessaires à une prise en charge correcte des patients et à la réduction des évacuations vers les structures sanitaires des régions voisines.
Selon lui, "l’hôpital pour son meilleur fonctionnement, a besoin d’un chirurgien généraliste, d’un traumatologue, d’un pédiatre, d’un spécialiste en ORL ou encore d’un orthopédiste surtout que Fatick se trouve sur une zone accidentogène".
"Donc avoir ces spécialistes va permettre de réduire les évacuations vers les structures sanitaires voisines", a-t-il encore soutenu.
Le CRD a été présidé par l’adjoint au gouverneur de Fatick en charge du développement, Cheikh Ahmed Tidiane Ndoye, en présence du Médecin-chef de région Mamadou Sarr.