Etudiant à l’université Cheikh Anta Diop de Dakar, Bassirou Tine a été arrêté par la Section de recherches (Sr).
Selon des informations de "Libération" reprises par "Senenews", il a été cueilli « discrètement » jeudi dernier vers Terrou-Bi, avant d’être placé en garde-à-vue, pour « appel à l’insurrection ». Il a fait des « notes vocales » dans lesquelles, il appelle ses camarades étudiants « à paralyser le pays », même s’il faut « recourir à la violence ».
1er juin 2023 – 23 octobre 2023. Voilà quatre mois et 22 jours que l’université Cheikh Anta Diop a fermé ses portes, à la suite des violences inouïes qui avaient éclaté à Dakar et un peu partout dans le pays et qui avaient occasionné des dégâts matériels énormes, dans l’enceinte de l’université.
Depuis, les étudiants ont été chassés du temple du savoir. Les examens et les cours sont suspendus, plongeant des milliers d’étudiants dans une situation de profonde inquiétude.
N’en pouvant plus de cette longue attente, des étudiants de la faculté de Médecine avaient voulu tenir, un point de presse pour demander la reprise des enseignements. Mais la rencontre a été dispersée par la police. Plusieurs étudiants ont été arrêtés, avant d’être libérés.
Selon des informations de "Libération" reprises par "Senenews", il a été cueilli « discrètement » jeudi dernier vers Terrou-Bi, avant d’être placé en garde-à-vue, pour « appel à l’insurrection ». Il a fait des « notes vocales » dans lesquelles, il appelle ses camarades étudiants « à paralyser le pays », même s’il faut « recourir à la violence ».
1er juin 2023 – 23 octobre 2023. Voilà quatre mois et 22 jours que l’université Cheikh Anta Diop a fermé ses portes, à la suite des violences inouïes qui avaient éclaté à Dakar et un peu partout dans le pays et qui avaient occasionné des dégâts matériels énormes, dans l’enceinte de l’université.
Depuis, les étudiants ont été chassés du temple du savoir. Les examens et les cours sont suspendus, plongeant des milliers d’étudiants dans une situation de profonde inquiétude.
N’en pouvant plus de cette longue attente, des étudiants de la faculté de Médecine avaient voulu tenir, un point de presse pour demander la reprise des enseignements. Mais la rencontre a été dispersée par la police. Plusieurs étudiants ont été arrêtés, avant d’être libérés.