Il faut dire qu’aujourd’hui, sur les 10 économies les plus dynamiques au monde, sept sont africaines selon le FMI et la Banque mondiale qui notent que le taux de rétention des travailleurs africains formés ne cesse de croître : le Nigeria, jadis fui par ses étudiants, est passé de la 112eme place à la 48eme place mondiale. Le Ghana qui figurait en 125eme position est passé en quelques années à la 53eme place. Voice of America cite un sondage effectué sur les jeunes Africains étudiant la gestion d’entreprise dans les principales universités américaines et européennes : 70% d’entre eux déclarent leur intention de regagner l’Afrique après leur diplôme.
Une tendance apparaît également en faveur de la formation en Afrique elle-même. Les nouvelles technologies bouleversent la donne et permettent aux universités africaines de dispenser des enseignements de plus en plus qualitatifs.
L’Ile Maurice se positionne sur ce gigantesque marché naissant de l’éducation en Afrique. Elle ouvrira bientôt une université francophone, l’Université des Mascareignes, qui viendra compléter les trois universités anglophones du pays. Cette université formera des étudiants africains selon le système européen Licence-Master-Doctorat, en ingénierie et développement durable (IDD), aux technologies de l’information et de la communication (TIC), ainsi qu’en économie et gestion (EG). Elle débutera dès cette année avec 900 étudiants pour atteindre rapidement les 2000 inscrits.
Le mois passé, l’Ile Maurice annonçait également la création de l’Institut africain de formation (ATI) qui vise à former des fonctionnaires capables de formuler et de mettre en œuvre des politiques macro-économiques et financières efficaces en Afrique subsaharienne.
Dans le même temps Microsoft annonçait le lancement de son initiative Microsoft 4Afrika qui vise « à mettre des dispositifs intelligents dans les mains de la jeunesse africaine », tels que la mise en ligne d’1 million de PME africaines ou la formation de 100 000 personnes à l’utilisation optimale des TIC. L’initiative ambitionne également d’accompagner 100 000 jeunes diplômés afin de développer leurs compétences et favoriser leur insertion professionnelle.
« L’Afrique sera la prochaine région motrice du monde. Forte de l’une des croissances les plus rapides du monde, d’une main d’œuvre de plus en plus qualifiée, d’un milliard d’habitants, d’un secteur privé ambitieux et d’un climat des affaires en amélioration constante, son potentiel est immense. » affirmait HEC Paris, en juin dernier, en ouverture de son colloque intitulé « Pour un leadership africain »
Une tendance apparaît également en faveur de la formation en Afrique elle-même. Les nouvelles technologies bouleversent la donne et permettent aux universités africaines de dispenser des enseignements de plus en plus qualitatifs.
L’Ile Maurice se positionne sur ce gigantesque marché naissant de l’éducation en Afrique. Elle ouvrira bientôt une université francophone, l’Université des Mascareignes, qui viendra compléter les trois universités anglophones du pays. Cette université formera des étudiants africains selon le système européen Licence-Master-Doctorat, en ingénierie et développement durable (IDD), aux technologies de l’information et de la communication (TIC), ainsi qu’en économie et gestion (EG). Elle débutera dès cette année avec 900 étudiants pour atteindre rapidement les 2000 inscrits.
Le mois passé, l’Ile Maurice annonçait également la création de l’Institut africain de formation (ATI) qui vise à former des fonctionnaires capables de formuler et de mettre en œuvre des politiques macro-économiques et financières efficaces en Afrique subsaharienne.
Dans le même temps Microsoft annonçait le lancement de son initiative Microsoft 4Afrika qui vise « à mettre des dispositifs intelligents dans les mains de la jeunesse africaine », tels que la mise en ligne d’1 million de PME africaines ou la formation de 100 000 personnes à l’utilisation optimale des TIC. L’initiative ambitionne également d’accompagner 100 000 jeunes diplômés afin de développer leurs compétences et favoriser leur insertion professionnelle.
« L’Afrique sera la prochaine région motrice du monde. Forte de l’une des croissances les plus rapides du monde, d’une main d’œuvre de plus en plus qualifiée, d’un milliard d’habitants, d’un secteur privé ambitieux et d’un climat des affaires en amélioration constante, son potentiel est immense. » affirmait HEC Paris, en juin dernier, en ouverture de son colloque intitulé « Pour un leadership africain »