C’était un village, c’est aujourd’hui une ville. Ourossogui, au Sénégal, à 700 km de Dakar. 20 000 habitants qui ne doivent qu’à eux-mêmes leur développement économique. Ici, on ne compte pas sur l’aide international. La plupart des infrastructures, c’est aux habitants partis travailler à l’étranger qu’on les doit : ce dispensaire flambant neuf, avec des équipements modernes, des quartiers entiers qui se construisent et depuis quatre ans, pour la première fois, un lycée parfaitement aménagé.
« On aurait attendu près de dix ans »
Le coût total de cet établissement est évalué à 459 000 euros. La somme a été payée a 30% par les migrants partis du village. Sur place, c’est cet habitant qui a géré les fonds pour la construction. « Si on avait compté sur l’État, on aurait attendu près de dix ans pour la construction. Là , au bout de trois ans, les élèves rentraient dans les classes toutes équipées », se désole-t-il. .
france 2
« On aurait attendu près de dix ans »
Le coût total de cet établissement est évalué à 459 000 euros. La somme a été payée a 30% par les migrants partis du village. Sur place, c’est cet habitant qui a géré les fonds pour la construction. « Si on avait compté sur l’État, on aurait attendu près de dix ans pour la construction. Là , au bout de trois ans, les élèves rentraient dans les classes toutes équipées », se désole-t-il. .
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