L’élection présidentielle de demain, dimanche 24 mars, programmée en son premier tour, regorge d’enjeux cruciaux pour le devenir du Sénégal, tant la demande est forte et impérative à tous les niveaux. En effet, il ne s’agit pas seulement pour le futur président qui sortira du verdict des urnes de répondre de manière pragmatique et intelligente aux grands défis ayant trait à l’hyper-présidentialisme, à la réforme des institutions, à l’Etat de droit, au renforcement des droits de l’homme malmenés de 2021 à 2024.
Le successeur de Macky Sall est aussi appelé à régler, tant soit peu, toutes ces urgences qui accablent le quotidien du Sénégalais. Celles-ci ont minimalement pour noms cherté de la vie, insécurité alimentaire, mal gouvernance, corruption, non-redevabilité, accès fragmentaire aux soins de santé et aux spécialistes, malaise du système éducatif, sous-emploi et mal vivre de la jeunesse, déficit de confiance à l’endroit du système judiciaire entre autres. Sud Quotidien dresse un petit état des lieux.
Le successeur de Macky Sall est aussi appelé à régler, tant soit peu, toutes ces urgences qui accablent le quotidien du Sénégalais. Celles-ci ont minimalement pour noms cherté de la vie, insécurité alimentaire, mal gouvernance, corruption, non-redevabilité, accès fragmentaire aux soins de santé et aux spécialistes, malaise du système éducatif, sous-emploi et mal vivre de la jeunesse, déficit de confiance à l’endroit du système judiciaire entre autres. Sud Quotidien dresse un petit état des lieux.