Les victimes d’une spoliation foncière à Tivaouane Peulh tirent sur le gouverneur de Dakar, Al Hassan Sall, le Directeur de l’Urbanisme Oumar Sow et le Préfet de Rufisque, M. Kane. Ces derniers sont accusés de vouloir faire main basse sur leurs 20 hectares octroyés par le président de la République à la Sipres. Ces victimes au nombre de 1 796, issues de familles modestes, se plaignent également de l’interdiction de leur marche vendredi dernier par le préfet de Rufisque.
Face à la presse, souligne-t-on dans "L'As", elles ont menacé d’en découdre avec ces autorités même s’il faut y laisser leurs vies. Elles annoncent une série de manifestations. Ces victimes de spoliation foncière demandent au Président Macky Sall, à Mahmoud Saleh et à Abdoulaye Daouda Diallo d’intervenir pour éviter que l’irréparable ne se produise dans la banlieue.
Selon Papa Magatte Guèye, l’un des responsables du collectif des victimes, les membres sont prêts à tout pour sauver leurs terres. «S’il faut s’immoler par le feu, on le fera», prévient-il. A l’en croire, le Président Sall est en train d’être trahi par une partie de l’administration qui refuse d’appliquer ses directives.
Face à la presse, souligne-t-on dans "L'As", elles ont menacé d’en découdre avec ces autorités même s’il faut y laisser leurs vies. Elles annoncent une série de manifestations. Ces victimes de spoliation foncière demandent au Président Macky Sall, à Mahmoud Saleh et à Abdoulaye Daouda Diallo d’intervenir pour éviter que l’irréparable ne se produise dans la banlieue.
Selon Papa Magatte Guèye, l’un des responsables du collectif des victimes, les membres sont prêts à tout pour sauver leurs terres. «S’il faut s’immoler par le feu, on le fera», prévient-il. A l’en croire, le Président Sall est en train d’être trahi par une partie de l’administration qui refuse d’appliquer ses directives.