JAMRA avait constitué Maître Moussa Sarr aux fins de requérir, en sus de la sanction pénale prévue pour les délits de DIFFAMATION (articles 258 du Code pénal), de DIFFUSION DE FAUSSES NOUVELLES (article 255), le FRANC SYMBOLIQUE, au titre des dommages et intérêts, afin de laver son honneur.
L'ACTIVISTE PAPE OUMAR DIA, qui en était l'auteur, après avoir été auditionné le vendredi 31 mars dernier à la DSC (Division spéciale de la Cybercriminalité), vient de poser un acte courageux en reconnaissant son erreur.
TOUT LE MÉRITE revient surtout à son collègue activiste Mame Fallou, du "Collectif Ñoo Lank", qui avait offert ses bons offices, dès qu'il fut informé du dépôt de la PLAINTE DE JAMRA.
SA MÉDIATION vient de porter ses fruits. Pape Omar Dia a accepté de se rendre au siège de l'Ong Islamique JAMRA, à la Cité Djily Mbaye, à Yoff, ce Vendredi 14 avril, pour PRÉSENTER SES EXCUSES et RÉPARER DE VIVE VOIX le préjudice moral causé à JAMRA.
IL A ÉGALEMENT ESTIMÉ DEVOIR SAISIR CETTE OPPORTUNITÉ POUR ACTER SON ADHÉSION À JAMRA !
LES POSITIONS DE JAMRA SUR LE FLÉAU DES JEUX DE HASARD (carte xaaliss), dont des kiosques prolifèrent comme des champignons, surtout dans les quartiers populaires, sont connues de tous. JAMRA n'a eu de cesse de fustiger les ravages que les JEUX DE HASARD font au niveau de la frange la plus vulnérable de la société, à savoir la Jeunesse.
SURTOUT DANS UN PAYS SOUS-DEVELOPPÉ comme le Sénégal, où l'on devrait plutôt promouvoir dans le mental des jeunes les VALEURS DU TRAVAIL, au lieu d'inculquer aux adolescents le GOÛT DU MOINDRE EFFORT, tout en suscitant chez cette frange la plus vulnérable de la société, et avenir de la Nation, L'ATTRAIT DE L'ARGENT FACILE. Avec une incidence avérée sur les déperditions scolaires, le désoeuvrement, l'insécurité urbaine et les agressions. Susceptibles de saper les plus hardis programmes de développement économique et social.
CONNU EN EXÉGÈSE sous l'appellation générique de «maysir», le jeu de hasard, sous toutes ses formulations, est BANNI PAR TOUTES LES RELIGIONS monothéistes.
L’ISLAM, en l'interdisant, cible indistinctement «tous les jeux de hasard» : des jeux de dés aux paris d’argent, en passant par les LOTERIES, fussent-elles parrainées et organisées par les États :
«Ô CROYANTS, le VIN (al-khamr), le JEU DE HASARD (al-maysir) ne sont qu’abomination et œuvre du Diable. Écartez-vous-en, afin que vous réussissiez. À travers eux, le Diable ne veut que jeter parmi vous l’inimitié et la haine, afin de vous détourner de l'invocation d'Allah et de la prière. Allez-vous donc y mettre un terme ?» (Sôratul Mahida, v90-91).
(JAMRA).
L'ACTIVISTE PAPE OUMAR DIA, qui en était l'auteur, après avoir été auditionné le vendredi 31 mars dernier à la DSC (Division spéciale de la Cybercriminalité), vient de poser un acte courageux en reconnaissant son erreur.
TOUT LE MÉRITE revient surtout à son collègue activiste Mame Fallou, du "Collectif Ñoo Lank", qui avait offert ses bons offices, dès qu'il fut informé du dépôt de la PLAINTE DE JAMRA.
SA MÉDIATION vient de porter ses fruits. Pape Omar Dia a accepté de se rendre au siège de l'Ong Islamique JAMRA, à la Cité Djily Mbaye, à Yoff, ce Vendredi 14 avril, pour PRÉSENTER SES EXCUSES et RÉPARER DE VIVE VOIX le préjudice moral causé à JAMRA.
IL A ÉGALEMENT ESTIMÉ DEVOIR SAISIR CETTE OPPORTUNITÉ POUR ACTER SON ADHÉSION À JAMRA !
LES POSITIONS DE JAMRA SUR LE FLÉAU DES JEUX DE HASARD (carte xaaliss), dont des kiosques prolifèrent comme des champignons, surtout dans les quartiers populaires, sont connues de tous. JAMRA n'a eu de cesse de fustiger les ravages que les JEUX DE HASARD font au niveau de la frange la plus vulnérable de la société, à savoir la Jeunesse.
SURTOUT DANS UN PAYS SOUS-DEVELOPPÉ comme le Sénégal, où l'on devrait plutôt promouvoir dans le mental des jeunes les VALEURS DU TRAVAIL, au lieu d'inculquer aux adolescents le GOÛT DU MOINDRE EFFORT, tout en suscitant chez cette frange la plus vulnérable de la société, et avenir de la Nation, L'ATTRAIT DE L'ARGENT FACILE. Avec une incidence avérée sur les déperditions scolaires, le désoeuvrement, l'insécurité urbaine et les agressions. Susceptibles de saper les plus hardis programmes de développement économique et social.
CONNU EN EXÉGÈSE sous l'appellation générique de «maysir», le jeu de hasard, sous toutes ses formulations, est BANNI PAR TOUTES LES RELIGIONS monothéistes.
L’ISLAM, en l'interdisant, cible indistinctement «tous les jeux de hasard» : des jeux de dés aux paris d’argent, en passant par les LOTERIES, fussent-elles parrainées et organisées par les États :
«Ô CROYANTS, le VIN (al-khamr), le JEU DE HASARD (al-maysir) ne sont qu’abomination et œuvre du Diable. Écartez-vous-en, afin que vous réussissiez. À travers eux, le Diable ne veut que jeter parmi vous l’inimitié et la haine, afin de vous détourner de l'invocation d'Allah et de la prière. Allez-vous donc y mettre un terme ?» (Sôratul Mahida, v90-91).
(JAMRA).